CONGO BRAZZAVILLE : LE CALVERE CONTINU
LES PRISONNIERS POLITIQUES
AU CONGO BRAZZAVILLE
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Réélu avec 88,4 % DES VOIX
Lelll
NON AU CALVERE DU PEUPLE CONGOLAIS
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On a souvent coutume de dire que les africains sont résistants et capable de tout supporter, mais il y a des calamités qu’ont imposent aux citoyens qui restent insupportables. Maintes promesses ont été formulées par Denis SASSOU NGUESSO depuis sa prise du pouvoir par un coup d’état sanglant et épouvantable 1995-1997. Au lieu de tier les leçons des précédentes gouvernances et des échecs des modèles de développement qui ont été expérimentés de par ses prédécesseurs, SASSOU continue à s’engluer dans ses politiques stériles. Plusieurs facteurs essentiels sont la cause de cette situation.
La faillite de l’opposition
Depuis son retour aux affaires, le système SASSOU a presque verrouillé tout le pays toutes les institutions régaliennes sont dirigées par, on peut le dire aujourd’hui sans prendre de risque de se tromper, une élite sans vision politique à moyen ou long terme. Cette élite, qui s’est substituée aux anciens colonisateurs, et s’est transformées en des véritables fossoyeurs du tissus social. Elle a été non seulement incapable d’ambition mais s’est davantage préoccupée d’elle-même que des peuples dont elle prétend défendre les intérêts. On a vu des responsables nommés le matin et devenir milliardaire à la fin de la journée en ne travaillant qu’une seule journée. C’est une Elite vengeresse qui s’est substituée a la place du colons et ce sous une autre forme dans les domaines politique, économique et culturel au fil des années. A cela, il faut ajouter l’insécurité de l’environnement économique qui ne favorise pas les investissements, et le règne de l’informel. C’est le règne du « boro o boso » « avoir un parapluie ». On pouvait tout se permettre confisquer les biens d’autrui, violer la femme de l’autre, licencié sans ordre…. Tout était possible dès lors qu’on avait un « boro o boso » « un parapluie ».
Faute de réflexions endogènes ou prospectives et de volonté politique en vue d’amorcer un changement par une synergie d’actions, un système innovant, les politiques actuelles sont une navigation vers des destinations inconnues, obscures voir lugubres. Ils on sont si fiers et ne s’en cachent pas « ALLONS SEULEMNET ». Le Congo est géré comme, nous ne cessons de le dire, « une épicerie familiale ». Les recettes sont gérées par des « pseudos ministres qui ne jurent qu’au nom de SASSOU. Certains sont fiers d’avouer ouvertement, qu’ils ne possèdent aucune vision de l’avenir du Congo. SASSOU décide ils s’exécutent, telle est le deal permanent de ce pouvoir.
Ce système va plus loin dans le brouillage politique. Il confère à l’opposition un rôle factice et d’allié. C’est ce que représente l’UPADS de TSATY MABIALA. Il n’a aucune idée contradictoire face aux dérives économiques observées. Il accompagne les opérations de pillage et de bradage de la république parce qu’il est lui-même un des responsables de ce pillage.
Les autres opposants vivent comme des souris devant un chat affamé. Au moindre égard de langage ils craignent forts pour leur vie et leur descendance. Être opposant au Congo signifie se taire et mange. Le reste n’est que distraction et manipulation.
L’opposition au Congo a du mal a tenir son pari, celui du rassemblement pourtant les causes de ses échecs sont connus pourquoi continue-t-elle a suivre un TSATY MABIALA qui joue parfaitement sa partition de traitre du peuple. la société civile est toujours prête à se mobiliser pour dénoncer les « atteintes à l’Etat de droit » mais reste sans un vraie soutien.
Il est évident que le Congo peut compter sur les doigts d’une seule main que le rêve d’un développement a venir s’éloigne. Or celui-ci est une condition sine qua non du de son avenir. Le Congo souffre de la faiblesse de son organisation sociale et politique. Tant et si bien que la conjugaison des conflits internes et des appétits voraces externes que suscitent ses richesses ne sont pas pour la prémunir de crises plus ou moins graves.
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La corruption est un véritable fléau au Congo. Elle devenu immuable et touche particulièrement les élites. En l’absence d’initiatives individuelles ou collectives de production de richesses, l’Etat reste la seule vache à lait. La politique est ainsi devenue le plus grand pourvoyeur d’emplois et le seul moyen de s’enrichir de façon licite ou illicite sans travailler. Cet état de fait inhibe toute initiative et transforme certains agents de l’Etat, mais surtout ceux qui sont au pouvoir ou proches, en de véritables sangsues. Les économies en sont du coup gangrénées.
Si l’argent qui part en fumée au moyen de la corruption était effectivement investi en faveur des populations, le Congo aurait fait un grand bond en avant sur la voie du développement. Mais qui refuse de gagner de l’argent sans travailler ? Ils ne sont pas légion, ces agents de l’Etat ou hommes politiques au Congo. De nos jours, ils sont malheureusement comme des espèces humaines en voie de disparition.
La bonne gouvernance n’est pas le fort des dirigeants congolais. Bien au contraire, c’est ce qui leur permet de rester au pouvoir en organisant des élections truquées d’avance par l’achat de conscience non seulement des électeurs en majorité analphabètes, mais aussi de ceux qui organisent les élections. Quand ils ne sont pas purement et simplement des dignes représentants de groupements économiques et politiques étrangers qui font feu de tout bois à cet effet.
À l’approche de l’échéance cruciale de Mars 2026 pour l’élection présidentielle Congolaise, le pays reste englué dans une crise politique prolongée. Les désaccords entre les principaux blocs parlementaires, les ambitions divergentes des candidats et les pressions internationales compliquent la perspective d’un déblocage institutionnel. Un processus électoral paralysé par l’attitude irresponsable de TSATY MABIALA. Le système « parentologique » verrouille l’institution judiciaire et comme l’appelle de tous ses vœux le peuple congolais, le scrutin prévu en Mars 2025 pourrait échouer en raison de l’absence d’un consensus entre les forces politiques.
En attendant, les Congolais, confrontés à une crise économique étouffante, perçoivent ces débats comme déconnectés de leurs préoccupations quotidiennes. DAC PRESSE rapporte que l’abstention lors des dernières élections reflète un profond désenchantement envers la classe politique, un sentiment qui pourrait se renforcer d’ici Mars 2026
Jean-Claude BERI
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