LA CHRONIQUE DE BASSANGO YA SASSOULAND
LES DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND : LA COUILLONNADE D'UN TYRAN, CACHÉE DANS L'URNE .LE POUVOIR EST AU BOUT DU FUSIL
Attention. Tout ceci n'est bien sûr que du pur cinéma. Tu as longtemps cru qu'on n'allait jamais te démasquer. Depuis Avril 2016, cette couillonnade a été révélée aux yeux du monde entier, ce qui vaut à tous ceux qui y ont participé et que tu as jetés en prison, d'être accusés du motif fallacieux d'atteinte à la sécurité intérieure de ta nouvelle République des gros couillons, cousue et faite sur mesure pour les 8% de tes partisans plongés dans l'obscurantisme. Tu sais? ceux-là même que tu as soit corrompus, soit laissés volontairement dans l'ignorance en leur refusant le plus élémentaire des droits, le droit à la formation, et qui t'ont apporté leurs suffrages à cette mascarade inédite de ce mois d 'Avril 2016, qui a vu téléphone, Internet, réseaux sociaux, coupés pour organiser ton hold-up électoral..
Depuis Avril donc, plus personne n'accorde du crédit à cette escroquerie en bande organisée que les Congolais savait déjà, mais que le monde entier était loin de s'imaginer. Mais comment fais-tu pour tenir quand on a été complètement mis à poil ? Entre tyrans du continent, la question ne se pose même pas. Mais là où c'est étonnant , c'est quand tu te donnes toutes les peines du monde pour parcourir des milliers de kilomètres pour essayer d'aller t'afficher aux côtés des grands de ce monde. Tu sais pourquoi ils t'évitent? C'est tout simplement parce que tu es un tyran, tricheur par dessus tout.
------------------------------------------
Notre commentaire: Il faut le comprendre, ce mec. Le pouvoir, c’était sa planche de salut. Lui qui, dans d'autres cieux n'aurait jamais pu accéder à ce trône. Vous l'imaginez vriaiment aux côtés des gens civilisés, débattre sur un projet de société pour accéder démocratiquement au pouvoir? Le trône du Sassouland, c'est la chance inespérée de sa vie. Pas étonnant qu'il s'y accrcohe depuis 33 ans Sinon, qu'aurait-il pu faire d'autre?
/http%3A%2F%2Fscd.rfi.fr%2Fsites%2Ffilesrfi%2Fdynimagecache%2F0%2F132%2F3600%2F2034%2F1024%2F578%2Fsites%2Fimages.rfi.fr%2Ffiles%2Faef_image%2F000_Par8111650_0.jpg)
LES DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND : LU POUR VOUS. LES BARBOUZERIES D'UN TYRAN HORS LA LOI.
LE SASSOULAND, LE GOULAG DES TEMPS MODERNES POUR OPPOSANTS POLITIQUES
Au Congo-Brazzaville, Paulin Makaya reste en prison. La cour d'appel a confirmé ce mardi 21 mars le jugement de première instance de deux ans de prison ferme contre l'opposant pour avoir organisé une marche. Outre le cas de Paulin Makaya, d'autres personnalités politiques sont également derrière les barreaux. Les autorités nient l'existence de détention pour des motifs politiques, des faits contestés par plusieurs rapports parus depuis le mois dernier. L'Observatoire congolais des droits de l'homme parle de plus d'une trentaine de leaders, cadres de partis ou proches de candidats à la dernière présidentielle, emprisonnés. Ils seraient même plus de 100 selon le département d'Etat américain. Parmi eux, plusieurs cas emblématiques.
Maître Ibouaga s'inquiète. Il défend Paulin Makaya, mais également le général Mokoko, accusé lui aussi de troubles à l'ordre public. « Cette décision n'est pas de bon augure pour lui », explique l'avocat.
L'officier a été arrêté il y a neuf mois. Troisième de la dernière présidentielle, il est par ailleurs inculpé d' « atteinte à la sûreté de l'Etat » et « détention illégale d'armes ». L'instruction est toujours en cours. Sauf que, selon maître Ibouanga, la durée maximale d'une détention préventive, 6 mois, a été largement dépassée. L'officier se plaint également de ses conditions de détention. Un enfermement seul, 24h sur 24, sans pouvoir communiquer avec sa femme ni ses enfants. « C'est un militaire. Il est solide, mais il demande les mêmes droits que les autres prisonniers », indique maître Ibouanga.
L'avocat s'occupe d'un autre ex-candidat, André Okombi Salissa, poursuivi pour quasiment les mêmes chefs d'inculpation. Ses défenseurs ont demandé l'annulation de toutes les procédures. Les juges rendront leur décision jeudi 23 mars. « Même si le droit est de notre côté, l'espoir est mince », dit, l'air dépité, maître Ibouanga qui réfléchit déjà à un recours devant la Cour suprême.
Des personnes présumées proches de l'ex-rebelle pasteur Ntumi, sont aussi visées, comme le sergent Jugal Mayangui arrêté en novembre. Des ONG dénoncent les tortures qu'il aurait subies. Des faits réfutés par la police et plus globalement par les autorités, qui nient l'existence de prisonniers politiques. Elles parlent plutôt d'une application impartiale de la loi.

/http%3A%2F%2Fhhcsanford.org%2Fnews_3.gif)
/http%3A%2F%2Fdrakkar.747.voila.net%2Fgifs_animes%2Fdrapeaux%2Fcongo_fl_md_clr.gif)



/http%3A%2F%2Fscd.rfi.fr%2Fsites%2Ffilesrfi%2Fimagecache%2Frfi_16x9_1024_578%2Fsites%2Fimages.rfi.fr%2Ffiles%2Faef_image%2F000_9p6or_0.jpg)