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28 octobre 2020 3 28 /10 /octobre /2020 19:09

 

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Monsieur Sassou Nguesso où est la tombe du Président Alphonse Massamba-Débat ? 

 

 

 

 

Nous assistons ahuris, nous peuple congolais esclave, en premier lieu aux commémorations de l’esclavagiste Savorgnan de Brazza qui a un mausolée en marbre à Brazzaville, et à présent au 80e anniversaire du Manifeste de Brazzaville du Général de Gaulle en perte de légitimité, père de la Françafrique, cette pieuvre qui empêche tout développement des pays africains francophones à cause de leur manque de souveraineté monétaire avec le franc CFA (Franc des Colonies françaises d’Afrique). Nous avons du mal à comprendre pourquoi et comment le deuxième Président de la république du Congo, le Président Alphonse Massamba-Débat n’ait aucune sépulture digne de son rang, mort lors de votre violente prise de pouvoir avec l’assassinat du Président Marien Ngouabi le 18 mars 1977.      

     

Le Président Alphonse Massamba-Débat a disparu comme par enchantement de cette terre.     

 

Vous avez déployé tant d’effort pour ramener d’Algérie vers Brazzaville les ossements du colonisateur Savorgnan de Brazza, alors que vous restez toujours silencieux sur les circonstances de la mort et de la disparition du Président Alphonse Massamba-Débat. En cette période de questions mémorielles qui ne concernent en rien le peuple congolais, il eut été judicieux de mettre tous les moyens pour retrouver la dépouille du Président Alphonse Massamba-Débat et lui offrir des obsèques dignes d’un ancien Président de la République du Congo qui a pour valeurs unité, travail et progrès.   

   

Nous Congolaises et Congolais sommes nombreux à ne pas trouver le sommeil à cause de cette énigme qui ne favorise en aucun cas la concorde nationale. En tant que Bantous, depuis plus de 43 ans, nous sommes privés de faire notre travail de deuil afin que l’âme du Président Alphonse Massamba-Débat qui erre çà et là puisse enfin se reposer et trouver la paix.   

 

Il est vrai qu’avec le Capitaine Florent Tsiba devenu le « Général du Petit Matin », vous avez ôté la vie de nombreux de nos compatriotes innocents rien que pour votre folie d’assumer le pouvoir. Souvenez-vous de tous ces noms, nos Martyrs, le Président Alphonse Massamba-Débat, le Cardinal Emile Biayenda, Lin Lazare Matsocota, Franklin Boukaka, Ange Diawara, Pierre Kiganga, Jean Pierre Bakekolo, Jean Bikoumou, Prosper Matoumpa Mpollo, Barthelemy Kikadidi, Daniel Kianguila, Daniel Kandza, Germain Mizele, Thaddée Kourissa, Etienne Kinkouba, Pierre Dianzenza, Albert Konda, Grégoire Kouba, Simon Sissoulou, Ndoudi-Ganga, Samba Dia-Nkumbi, Elie Itsouhou, Kimbouala-Nkaya, Jean-Baptiste Ikoko, Olouka, Pierre Anga, Marcel Tsourou, les 353 disparus du Beach et tous ceux dont j’ai oublié les noms. Comme par hasard les massacres de toutes ces personnes innocentes n’ont pas permis le développement du Congo-Brazzaville, mais au contraire le délabrement total dans lequel vous avez plongé ce pays.    

     

Nous autres, Congolaises et Congolais, pensons énormément à nos concitoyens morts pour rien et enfouies pour certains dans des charniers comme les 353 disparus du Beach. L’histoire triomphe toujours et cela ne fait aucun doute qu’une personne puisse parler pour soulager sa conscience.  

 

Il fut bien dommage que pendant la Présidence du Professeur Pascal Lissouba, élu démocratiquement, que son Ministre de la Justice et Garde des sceaux de l’époque n’ait effectué aucune démarche pour faire triompher la vérité. Ce gouvernement étant tellement obnubilé par sa victoire avec sa soif de se servir en monnaie sonnante et trébuchante en laissant les vrais problèmes des Congolais passer au second plan. Quand on a été élu démocratiquement, il y a lieu d’apporter des solutions aux victimes de révolutions primitives des apprentis marxistes-léninistes. Mais la priorité de ce gouvernement était ailleurs. Encore une occasion manquée.    

     

Le Congo-Brazzaville nous survivra tous. Mais, il est encore temps de réparer nos méfaits, de faire amende honorable devant le peuple congolais en se soulageant de ces poids qui pèsent dans nos cœurs. Aucun Congolais ne peut se satisfaire de vivre dans un pays qui est une dictature et dans lequel le pouvoir est au bout du fusil et non dans les urnes. Tout ceci a pour conséquence l’anéantissement d’une partie de la population majoritairement du Sud afin de régner ad vitam aeternam.  

 

Dans notre tradition Bantou, le Président Alphonse Massamba-Débat était le Père de la nation. Alors nous sommes à présent 5 millions de Congolaises et de Congolais orphelins et qui vous demandent la dépouille de notre Père. Il ne se passe aucun jour sans que le peuple congolais ne pense au Président Alphonse Massamba-Débat. C’est une plaie béante que nous porterons en nous en l’absence de pardon.    

     

Il arrivera un moment de vérité dans notre pays qui aboutira à la réconciliation nationale dans lequel chacun de nous reconnaitra sa part d’erreurs pour que ce pays maculé de sang puisse se développer, se reconstruire dans la fraternité et la concorde.    

   

  

Le Chili vient d’approuver le 25 octobre 2020 à 80% des votants en faveur d’une nouvelle Constitution pour remplacer celle en vigueur depuis le règne d’Augusto Pinochet votre corollaire. Nous Congolais ferons de même pour démontrer la nature démocratique, participative et pacifique de l’esprit congolais. La constitution doit être un espace d’unité, de stabilité et d’avenir. Il est inadmissible qu’un Congolais soit en danger de vie dans son propre pays comme à l’extérieur parce qu’il a un avis contraire aux dirigeants. C’est notre conception de la démocratie.  

  

Monsieur Sassou Nguesso, de votre vivant, vous ne laissez aucun legs au peuple congolais sinon que celui de la violence en politique, de la raison du plus fort, du Pantin des Français et des graves violations des droits de l’Homme dont pourra se saisir la Cour pénale internationale (CPI) bien qu’imparfaite.    

     

Nous sommes tous les pères, mères, frères, sœurs, fils, filles et petits-enfants de tous ces Congolais que vous avez « au petit matin » écourté le séjour sur terre sans même leur laisser la possibilité d’admirer pour une dernière fois le lever du soleil, espoir d’un jour nouveau.      

 

Si comme le dit si bien dans sa chanson l’artiste Hardos Massamba que vous avez soi-disant livré le corps du Président Alphonse Massamba-Débat aux lions du parc zoologique de Brazzaville, alors vous êtes habité par une cruauté inhumaine.  

 

Il y a lieu de penser de votre vivant à quel animal sera livré votre corps car nous sommes tous de passage sur cette terre. Mais, n’ayez aucune crainte car nous ne le ferons pas parce que vous avez été et êtes Président de la République du Congo. Le peuple ne mérite que les dirigeants qu’il choisit. En tant que Démocrates ou Républicains vous recevrez les honneurs qui vous seront dus.  

 

Mais après avoir honoré les figurines blanches auxquelles vous voulez tant ressembler, il est plus que temps que le Président Alphonse Massamba-Débat ait des obsèques dignes d’un ancien Président et fils de ce Congo-Brazzaville. Ce dernier a réalisé en 5 ans de règne ce que vous n’arrivez pas à réaliser en 36 ans de règne absolu et cumulé.  

 

Si vous avez une conscience, cette petite lumière qui nous différencie des animaux, alors il faut nous libérer de ce poids si difficile à porter en nous confiants la dépouille du Président Alphonse Massamba-Débat. Même si votre république Bananière manque d’argent, nous Congolaises et Congolais allons lever des Fonds afin d’enterrer dignement Son Excellence Monsieur le Président Alphonse Massamba-Débat.    

 

Tant que cette question ne trouvera pas de réponse, nos cœurs meurtris ne seront pas sensibles au vivre ensemble décrété par ceux qui nous tuent en toute impunité. C’est en chiens de faïence que nous allons-nous regarder. Si on veut connaitre un peuple, il faut écouter ses doléances.  

 

Sachez que tous les jours du matin au soir, le peuple Congolais pleure le Président Alphonse Massamba-Débat. Nous avons besoin de sa dépouille pour entamer notre travail de deuil. Nous les enfants du Président Alphonse Massamba-Débat sommes tristes de l’absence de sépulture et attendons toujours un signe du ciel pour honorer convenablement ce dernier. Nous osons espérer que nous serons entendus.  

 

Nous déplorons que cette mémoire commune des Congolaises et des Congolais de l’absence de sépulture du Président Alphonse Massamba-Débat ait été si longtemps occultée à la place des mémoires qui ne nous concernent ni de près ou de loin sauf à contribuer à notre paupérisation dans des relations inégales valorisant le colonisateur, la France, qui est le premier prédateur de nos ressources. 

 

Souvenez-vous toujours de ceux qui vous ressemblent et de leur fin à savoir Bokassa, Pinochet, Mobutu, Idi Amin Dada, Staline, Nicolae Ceausescu, les Duvalier et autres.  

 

À toutes ces morts inutiles, la patrie congolaise reconnaissante.    

    

« L’incompréhension du présent nait fatalement de l’ignorance du passé » dixit Marc Bloch.    

  

Aux larmes Citoyens !   

 

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA 

 
 
 

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28 octobre 2020 3 28 /10 /octobre /2020 18:53

 

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RCI  Alassane Ouattara: «Difficile, même impossible, que je sois candidat en 2025»

 

 

 

Texte par :
Christophe Boisbouvier

 

À quatre jours de l’élection présidentielle en Côte d'Ivoire, le président Alassane Ouattara est l'invité de RFI et France 24. Interrogé par Christophe Boisbouvier (RFI) et Marc Perelman (France 24), il affirme que la Constitution lui interdit de changer la date du scrutin, estime qu'il est temps que Laurent Gbagbo rentre chez lui et propose de rétablir la limite d'âge pour les candidats. « Difficile, même impossible que je sois candidat en 2025, j'espère que la Constitution va nous régler ce problème », affirme-t-il.

C'est une image de sérénité que le Président Alassane Ouattara a voulu donner à quelques jours de la présidentielle du 31 octobre. Ses adversaires l'accusent de mégalomanie ? « C'est mon amour pour mon pays qui me pousse à être candidat. Avec moi, la défaite [de mes adversaires] est certaine. C'est pourquoi ils décident de ne pas y aller. »

Un report est-il possible ? « Ce serait un parjure, car la Constitution fixe l'élection au dernier samedi d'octobre. Elle aura donc lieu à cette date. » Un tête-à-tête avec Henri Konan Bédié avant le 31 ? « J'ai marqué ma disponibilité, mais le président Bédié n'en veut pas, je ne vais pas le bousculer. »

Pour ou contre le retour de Laurent Gbagbo ? « Son passeport est en cours de délivrance, il a déjà fait 9 ans [de prison] et je trouve qu'il est temps qu'il rentre en Côte d'Ivoire. » Sur 2025, le président sortant dit qu'il ne souhaite pas être candidat.

« Cela suffit comme ça. C'est un sacrifice que je fais pour cette année. Alors, [pour 2025], il me serait difficile, même impossible [de me présenter] et j'espère que la Constitution va nous régler le problème. » Alassane Ouattara fait ainsi allusion à l'éventuel rétablissement d'une limite d'âge à 70 ou 75 ans, ce qui exclurait automatiquement les candidatures de Laurent Gbagbo, de Henri Konan Bédié et de lui-même.

 

Lire la suite sur : .https://www.rfi.fr/fr/afrique/20201027-c%C3%B4te-d-ivoire-alassane-ouatt...

 
 

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27 octobre 2020 2 27 /10 /octobre /2020 21:49

 

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FOC : Déclaration consécutive à la communication du ministre de l’intérieur et de la décentralisation

 

 

 

 

 

 

 

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27 octobre 2020 2 27 /10 /octobre /2020 12:19

 

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LE VIEUX DICTATEUR SANGUINAIRE ET CORROMPU Denis Sassou-Nguesso, le dernier des mohicans de la Françafrique

 

 

 

I

A l’occasion de la célébration de l’Année de Gaulle et du 80e anniversaire du manifeste de Brazzaville, le Congo accueille, du 27 au 29 octobre 2020, plusieurs célébrations. Jean-Yves Le Drian, le patron du Quai d’Orsay, est attendu pour cet événement qui sera également marqué par la présence des dirigeants d’Afrique centrale.

 

 

A défaut d’être un bon gestionnaire, Denis Sassou-Nguesso (DSN) est un véritable génie politique. Largement boudé par la France depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron à la présidence en 2017, l’autocrate congolais a cherché à prendre son homologue français à son propre jeu sur un sujet dont le disciple de Paul Ricœur raffole, les fameuses questions mémorielles. L’histoire le sert sur un plateau puisqu’il peut convoquer et célébrer, en ce 27 octobre, le général de Gaulle.

Après l’appel du 18 juin 1940, depuis Londres, le chef de la France libre va chercher à rallier les territoires de l’Afrique Equatoriale française (AEF), appartenant à l’empire français. Il prend la mer le 31 août, mais les troupes britanniques et françaises libres échouent à prendre Dakar, trois semaines plus tard.

Il met alors le cap sur Douala, puis N’Djamena et enfin Brazzaville où il arrive, le 24 octobre. Trois jours plus tard, il publie le manifeste de Brazzaville et créé le Conseil de défense de l’empire, embryon d’un gouvernement. Radio Brazzaville devient l’émetteur national de la France libre. Le général reviendra plusieurs fois à Brazzaville les années suivantes. Au Tchad, il monte la colonne Leclerc, base de la future 2e DB.

Depuis plus d’un an, DSN planifie cette célébration...

 

 

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27 octobre 2020 2 27 /10 /octobre /2020 12:07

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LES MANŒUVRES POLITICIENNES AUTOUR DU MANIFESTE DE BRAZZAVILLE DU 27 OCTOBRE 1940

 

 

 

« En résumé dans le Manifeste de Brazzaville, 27 octobre 1940, Le général de Gaulle lance à Brazzaville un manifeste annonçant la création d’un Conseil de Défense de l’Empire composé du général Catroux, de l’amiral Muselier, du général de Larminat, des gouverneurs Eboué et Sautot, du colonel Leclerc, du médecin-général Sicé, du professeur Cassin et du révérend père Thierry d’Argenlieu. La France traverse la plus terrible crise de son Histoire. Ses frontières, son Empire, son indépendance et jusqu’à son âme sont menacés de destruction. »

« De Gaulle, il est vrai, ne bénéficie au début d’août 1940 que de ralliements peu nombreux (7000 hommes environ) et d’aucune base territoriale. Tout va se jouer, à compter de cette période, avec la série de ralliements, mais également autour du jeu diplomatique entre la France de Vichy, l’Allemagne et l’Angleterre — jeu qu’il faut bien appeler équivoque, ambigu, de la part de la Grande-Bretagne. »

« Tout cela est capital pour saisir la portée de ce qu’on appelle le Manifeste de Brazzaville, qui fait partie d’un ensemble en réalité beaucoup plus complexe, et représente un tournant décisif dans l’histoire de la France Libre. C’est au fond, le passage de l’aventure personnelle au mouvement organisé, puis le passage du mouvement organisé à la préfiguration d’un gouvernement français. »

En ce qui nous concerne, l’Afrique équatoriale française (AEF) entre en guerre à l’instar des tirailleurs sénégalais qui serviront de chair à canon en allant renforcer l’armée française. L’ironie du sort c’est que cette France s’est servie de Brazzaville comme base arrière et de la capitale de la France libre.

L’anniversaire du Manifeste de Brazzaville du 27 octobre 1940 aurait dû être fêté par la France comme étant la reconnaissance et le sacrifice du peuple noir d’Afrique qui a contribué à sa libération. Cet anniversaire aurait dû être un moment de recueillement à l’égard de ces hommes morts au combat pour la France vis-à-vis de l’Afrique noire qui a participé à sa libération et dont elle méprise dorénavant ses descendants.

Ce tournant décisif dans l’histoire de la France libre ne concerne le Congo-Brazzaville qu’en tant que colonie et fournisseurs d’hommes de troupe morts pour la libération de cette dernière.

N’ayant pas compris l’importance de ce Manifeste du 27 octobre 1940, monsieur Sassou Nguesso et son gouvernement veulent en faire un moment de réjouissance. Tel est le drame du Congo-Brazzaville qui au lieu de se recueillir à la mémoire des soldats africains tombés au front, préfère s’adonner à un événement festif alors que les caisses de l’État sont vides. Cet anniversaire ne concerne actuellement aucun Congolais car il a servi exclusivement à mettre en selle le Général de Gaulle en quête de légitimité.

Nous assistons à un détournement de la vraie nature du Manifeste de Brazzaville du 27 octobre 1940 par un gouvernement en manque de légitimité. Cette manifestation n’est plus ni moins qu’un rassemblement des initiés qui tiendra loin des lumières les gueux congolais.

À la veille de la célébration du 80e anniversaire du Manifeste le 27 octobre 2020, les initiés se rencontreront pour donner aux yeux du monde l’apparence d’une république dans laquelle le pouvoir et l’opposition dialoguent pour le bien-être des populations. Pas de remous devant les Frères et les Sœurs invités car la fraternité est l’une de leur valeur. Il n’y a rien pour le peuple et tout est pour eux. Le plus fascinant c’est qu’en cas de grave crise, ils savent se retrouver dans des sociétés secrètes très loin du regard des peuples. Tout est prétexte pour sortir l’argent du trésor public alors que le pays va mal.

La sémantique du discours de l’opposition congolaise change. Du dialogue inclusif avec la libération des prisonniers politiques, nous passons maintenant à « la concertation politique. » Des vrais génies politiques pour enfumer le peuple congolais.

« La concertation est l’action pour plusieurs personnes de s’accorder en vue d’un projet commun. La concertation se distingue de la négociation en ce qu’elle n’aboutit pas nécessairement à une décision mais qu’elle vise à la préparer. » Les couteaux bien aiguisés sont de sortie. Rien que par cette définition de Wikipédia, nous voyons que le vrai projet de l’opposition congolaise responsable n’a rien en commun avec celui de monsieur Sassou Nguesso et compagnie qui consiste en une prédation des richesses en vue de les dilapider. La énième concertation politicienne à Madingou de novembre prochain n’est que l’illusion d’une démocratie confisquée avec une récompense pour les présents.

Les Congolais sont devenus un troupeau de moutons qui suivent un berger qui n’est autre que le loup en personne. Comme par hasard, c’est toujours à la veille de l’élection présidentielle que l’opposition congolaise est « tel cet âne qui a du mal à avancer sans motivation. Mais, si vous lui montrez une carotte, signe de récompense, ou si vous lui donnez un coup de bâton, dans les deux cas il avance. » Triste sort !

Dans l’opposition congolaise, certaines ou certains tentent de retrouver leur privilège perdu. Ils prennent le peuple pour des troubadours, des griots qui chantent leur louange pendant qu’ils sont à table en train de festoyer. Autant dire que nous le peuple congolais n’accepterons pas cette opposition minée par la faim et qui n’attend plus qu’à se remplir la panse.

Dans l’état actuel de déconfiture de la politique congolaise, il n’y a plus de différence entre l’opposition congolaise et le pouvoir, mais le menu à dévorer avec délectation reste le même, c’est à dire le peuple congolais. Ce même peuple qui continue à croire à des promesses non tenues ou qui est habité par un mysticisme politique pour mieux l’endormir.

Le dialogue c’est l’échange entre deux ou plusieurs personnes en vue de parler des choses qui dans notre contexte fâchent. Il est inadmissible qu’une seule famille s’accapare le pouvoir et le peuple qui s’en sort ramasse les miettes tandis que l’autre pleure de faim.

Il ne faut pas être un magicien pour comprendre les raisons du récent voyage de la diva congolaise en France. Longtemps privée de sortie elle s’envola comme par un coup de baguette magique pour la France. Ce voyage n’avait pour but que de préparer certains esprits faibles de la diaspora congolaise à cette mascarade de concertation. Certains avaient des agendas cachés. Ils se positionnent déjà pour l’élection présidentielle de 2021 en dégustant du Champagne quand d’autres de nos camarades croupissent dans les geôles insalubres du Congo-Brazzaville et que la majorité du peuple congolais vit avec moins de 2 dollars par jour sans eau potable ni électricité.

Ces opposants ayant déjà été aux affaires avec les mêmes qui sont au pouvoir actuellement, donnent lieu de se demander quel a été leur apport dans le quotidien des Congolais et qu’est-ce qu’ils feront de mieux une fois revenus au pouvoir ? Sortir avec des pagnes et une horde de femmes à sa suite ou en raphia pour arpenter les rues de Brazzaville n’est qu’une façon d’amuser la galerie. C’est de la politique spectacle.

Le Congo-Brazzaville est une république et non une coterie qui à ce niveau politique implique une notion mafieuse en vue de se répartir des postes. Pour certains faire partie de la coterie est un moyen d’agrandir leur réseau social, se donner un code moral, ou appartenir à une structure ordonnée et rassurante. Tendre la main à ses frères dans le besoin est l’un des principaux fondamentaux de cette coterie.

À presque 80 ans, le Manifeste du 27 octobre 1940 du Général de Gaulle n’a rien apporté aux Congolais, sinon que l’appauvrir en mettant des marionnettes au pouvoir en vue de mieux les manipuler. J’ai des larmes de sang car le peuple congolais est une fois de plus berné par les mêmes qui peuvent jouir dans un camp comme dans l’autre sans sourciller. La nuit tous les chats sont gris et cela est propice à des liaisons incestueuses. S’il faut sauver une sœur ou un frère, ils le feront au nom de la fraternité et non de la constitution qui accorde les mêmes droits à tout le monde.  C’est la pieuvre. Ce lien de fraternité est si fort que celui qui le transgresse a la gorge tranchée d’une oreille à une autre. Pour d’autres, c’est l’occasion de se faire des repas entre frères ou sœurs.

Dans cette coterie, il n’y a pas besoin de résultat. Tout ce que l’on veut c’est que le frère ou la sœur fasse de son mieux. Les individus doivent donner le meilleur d’eux-mêmes et délivrer les réponses avec la ferveur adéquate. Les individus permettent de prendre du recul par rapport à la vie, se remettre en question.  Mais ce n’est pas le cas au Congo-Brazzaville.

Cet anniversaire est l’occasion rêvée, mais inutile pour les Congolais, d’avoir une photo de famille des femmes ou des hommes habillés avec de tabliers. Les libertés de croyance, de culte, d’expression et autres sont intangibles et universelles. Mais, celles-ci ne peuvent prendre le dessus sur la constitution qui régit la vie d’une nation.

Les 3 grands principes sur lesquels cette coterie est fondée sont :

  • L’amour fraternel,
  • L’entraide,
  • Et la vérité.

 Les 3 degrés de réflexion sont :

  • La naissance,
  • La vie sur terre,
  • Et le départ de cette terre.

Cette coterie censée réfléchir sur les sujets de société se retrouve être le repaire de gangsters afin de piller les pays en Afrique.  Il est parfois pénible de vivre durement pour ses idées que de vivre en pantin à cause de la corruption de sa conscience.

Il est impensable que l’on ait besoin que des maçons pour construire un édifice. La meilleure œuvre du monde a été réalisée par le fils d’un charpentier qui nous a laissé un message fort : « Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé. » Tout Congolais quel que soit ses croyances doit apporter sa pierre à l’édification de notre nation. L’exclusion d’une partie de la population qui pense autrement est préjudiciable pour notre monde car nous avons tous besoin des uns des autres.

Ces frères et sœurs prônent pourtant l’humilité, la fraternité, la solidarité, le respect de la vie humaine, mais au Congo-Brazzaville c’est la loi du plus fort et la machine à broyer qui sévissent.

Son pouvoir vacillant, il est temps de faire du 80e anniversaire du Manifeste de Brazzaville du Général Gaulle un lieu fraternel de réjouissance quand le peuple congolais manque de tout et surtout en cette période de pandémie de la COVID-19.

Jadis lieu de réflexion, ces coteries sont devenues en Afrique des viviers de vipères pour mieux spolier le peuple. De la lumière, ils nous proposent des ténèbres. Beaucoup n’ont sans doute pas compris que de lumière, il s’agit de la connaissance, tel que l’ont prôné les philosophes du siècle des lumières. Mais quelle que soit la durée de la nuit, le soleil apparaitra et le Congo-Brazzaville resplendira.

Souvenons-nous toujours des morts inutiles causées par la folie des anciens communistes convertis à la démocratie pour les besoins de la cause, et dire plus jamais ça. Quoi qu’il en soit nous devrons répondre de nos actes et de nos conduites.

Nous devrons améliorer notre mode de vie par la connaissance de soi-même en tant qu’individu afin de perfectionner l’humanité, comme actuellement dans la lutte contre la COVID-19. Nous devrons avoir en soi toujours les règles éthiques et morales comme, « tu ne tueras point. » L’élévation de l’âme n’est autre que la main tendue à son frère dans la détresse.

La justice infaillible et impartiale qui définit les limites du bien et du mal est celle qui nous unit tous selon qu’on a respecté ou non les commandements divins. C’est dans cette ligne droite et immuable que nous progresserons ensemble vers l’unité, le travail et le progrès.

Depuis trop longtemps se déverse sur le Congo-Brazzaville des laves de sang d’un volcan en éruption que nous devrions arrêter tous ensemble.

« Si l’amour est la clé de l’humanité, la haine en est le gouffre, qu’il vaut mieux éviter… » dixit Joëlle Laurencin.

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA

 

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23 octobre 2020 5 23 /10 /octobre /2020 18:20

 

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CONGO BRAZZAVILLE UNE NOUVELLE SUPERCHERIE EN PESPECTIVE : PRÉSIDENTIELLE DE 2021 LE MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR ET LES PARTIS POLITIQUES EN CONCERTATION À MADINGOU EN NOVEMBRE PROCHAIN

 

 

 

 
 

Le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou et compagnie sont à pied d’œuvre pour la mise à jour du fichier des partis politiques conformément à la loi en vue de l’élection présidentielle de 2021. 

Les partis politiques de toutes obédiences ont eu une séance de travail ce jeudi 22 octobre à Brazzaville présidée par le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou. 

Deux points étaient à l’ordre du jour de la rencontre politique, à savoir, la révision du fichier des partis politiques et la tenue d’une concertation politique en novembre prochain à Madingou, dans le département de la Bouenza en vue de l’échéance électorale à venir. 

Sur le 1er aspect, le ministre a laissé entendre qu’il ne compte ménager aucun effort pour mettre de l’ordre dans les fichiers des partis politiques. 

Il promet la mise à l’écart des partis politiques qui n’apparaissent qu’à l’orée des grands événements politiques, et assure que les partis qui n’existent que dans une localité seront également « mis de côté ».

Pour lui, et conformément à la Loi no 20-2017 du 12 mai 2017, portant loi organique relative aux conditions de création, d’existence et aux modalités de financement des partis politiques, un parti politique reconnu en République du Congo doit être présent sur l’ensemble du territoire national. 

Au sujet de la concertation politique prévue en novembre à Madingou, dans le département de la Bouenza, il ressort que seuls les partis politiques en conformité avec la Loi électorale seront autorisés à participer, a ajouté le ministre de l’Intérieur. 

 
 
 
 

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17 octobre 2020 6 17 /10 /octobre /2020 19:51

 

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LE VIEUX DICTATEUR SANGUINAIRE ET CORROMPU Denis SASSOU NGUESSO et le Cartel de Brazzaville.

 

 

 


Le Congo-Brazzaville est un État voyou (rogue state) dirigé par des voleurs en col blanc. Notre économie est en coupe réglée par la famille régnante prédatrice.  


Monsieur Sassou-Nguesso, vous avez perdu l’estime du peuple congolais et il est à présent temps que partez. Le fleuve Congo est tellement devenu rouge du coté de Brazzaville car c’est le sang de nos martyrs qui y coule.  


Non content d’avoir fait main basse sur toutes les richesses du pays, notamment les 14 000 milliards de francs CFA, surgi de nulle part et comme par hasard le Club de Brazzaville qui n’est autre que le Cartel de Brazzaville constitué par les familles Sassou-Nguesso, Nguesso, Okemba Jean-Dominique, Jean-Jacques Bouya, Gilbert Ondongo, Rodolphe Adada, Henri Lopes et leurs courtisans.  


Le Club de Brazzaville (ou Cartel de Brazzaville) composé des prête-noms de dignitaires congolais véreux ayant dilapidé l’argent des contribuables Congolais, prête à son tour pour 300 milliards de francs CFA, une partie du braquage, à l’État congolais pour payer la dette intérieure avec les intérêts inhérents à cette dette. Ce stratagème n’est autre qu’une opération de blanchissement d’argent sale.  

  

Nul ne doute que les entreprises chinoises ayant construit des « chinoiseries » au Congo-Brazzaville appartiennent au clan mafieux avec à sa tête monsieur Jean-Jacques Bouya. Après avoir pillé le peuple congolais et n’ayant plus accès au crédit sur le plan international, ils sortent leur argent planqué dans leurs maisons. C’est du haut vol en matière d’associations de malfaiteurs. Le Congo-Brazzaville doit maintenant de l’argent à la famille Sassou-Nguesso originaire d’un petit village de pécheurs, Oyo, qui n’avait ni industrie, ni banque, ni économie viable.  


Si nous n’arrêtons pas cette escroquerie, nous deviendrons des sujets de cette famille qui percevra légalement un pourcentage sur notre fiche de paie.  


Plus aucune institution internationale ne veut prêter de l’argent au Congo-Brazzaville qui brille par la dissimulation de sa dette extérieure et par sa mauvaise gestion des deniers publics. Le Congo-Brazzaville est devenu le pays d’Ali baba et les 40 voleurs. L’agence de notation Standard et Poor (S&P) a dégradé le 05 septembre 2020 à CCC+/C.  


Le Congo-Brazzaville ayant vu sa notation revue à la baisse car incapable d’honorer ses créances, fait appel à l’agence Bloomfiel pour fournir des notations en fonction de la réalité locale, tout en sachant que le franc CFA est arrimé à l’Euro. Encore une plaisanterie pour faire croire aux Congolaises et aux Congolais que le Congo-Brazzaville est un pays viable sur le plan économique. Cette réalité locale n’est ni plus ni moins que de la corruption. La fin approche et ils sont en train de brader tout ce qui nous reste.  


Incapable de gérer le pays, de payer les fonctionnaires, les étudiants surtout ceux de l’extérieur, les retraités qui sont maltraités, tel un paon monsieur Sassou Nguesso déploie son plus beau plumage et parade pour organiser à coup de milliards de francs CFA le 27 octobre 2020 les festivités du 80e anniversaire du manifeste de Brazzaville du Général de Gaulle, alors que peuple crie famine. C’est une abomination. Quand on a perdu l’estime des siens, il est temps de partir car le Congo-Brazzaville nous survivra tous. Nous avons le devoir de laisser un État viable pour les générations futures.  

 

Le FMI (Fonds monétaire international) a débloqué de nouveaux fonds, une deuxième tranche d’aide au COVID-19 pour 28 pays très pauvres, mais le Congo-Brazzaville n’y figure pas. Pays devenu infréquentable faute de ne pas avoir mis en place les 48 mesures du plan de relance du FMI pour faire face à la crise économique. Tout n’a fait qu’aggraver le chômage et la pauvreté au Congo-Brazzaville en cette période de pandémie du COVID-19. L’impact négatif de la chute du prix du pétrole et la pandémie du COVID-19 fragilisent la situation budgétaire ainsi que la solvabilité du Congo-Brazzaville.  


Le Congo-Brazzaville va mal. La répartition des 300 milliards de francs CFA du Cartel de Brazzaville est prévue de la sorte :  

  

- 110 milliards de francs CFA pour les entreprises chinoises contrôlées en grande partie par Jean-Jacques Bouya avec l’assentiment de son oncle,  

 

- 100 milliards de francs CFA pour les banques ayant des créances vis-à-vis de l’État congolais. Comme par magie, la banque sino-congolaise et la BGIF appartiennent aux hommes du pouvoir, 

 

- 60 milliards de francs CFA pour payer les salaires, les bourses, les retraités en vue d’assurer un semblant de paix avant l’élection Présidentielle de mars 2021,  

 

- 30 milliards de francs CFA pour les opérateurs locaux dont la réelle dette intérieure s’élève entre 450 à 500 milliards de francs CFA.  


Nul ne doute que c’est un subterfuge pour mieux nous faire avaler une pilule amère ; C’est la grande lessiveuse en marche.  


Après s’être emparé sur les logements sociaux loués à des prix exorbitants, normalement destinés aux plus démunis d’entre nous ou la classe moyenne congolaise si elle existe encore, c’est la privatisation du Congo-Brazzaville par la famille Sassou-Nguesso qui s’amorce. Le peuple congolais doit être fièrement debout pour faire face à cette dégringolade commune. Le Congo-Brazzaville prend une mauvaise tournure. Par ailleurs, le Cartel a dérobé des biens immobiliers de l’État congolais. C’est la mafia au somme de l’État.  


De la colonisation française, le Congo subit la néocolonisation des Sassou et Nguesso. Aucune tête ne doit dépasser. La population congolaise s’accommode à l’injustice.  


Les dirigeants du Congo-Brazzaville sont incapables de gérer la crise multifactorielle qui nous assaille à cause des choix hasardeux politique et économique. C’est l’oppresser qui détermine l’arme de l’opprimé. Il est de notre devoir de mettre fin à cette mascarade. Un pays qui ruse avec ses principes est un pays moribond car n’ayant plus aucune perspective à offrir à la population.  


Monsieur Sassou-Nguesso nous impose le prix du sang pour la libération du Congo-Brazzaville. Mais le peuple congolais pacifique trouvera le moyen de le déloger de son haut trône car plus dure sera sa chute.  


Après la disparition de 14 000 milliards de francs CFA, le scandale du terminal pétrolier de Djeno, nous voilà avec un prêt de 300 milliards avec des intérêts pour la famille des Sassou et Nguesso ceux là même qui pillent notre pays depuis des lustres.  


Les humiliations quotidiennes aux détentions arbitraires, le Congo-Brazzaville est devenu un pays sans foi ni loi. Une chape de plomb s’abat sur le Congo-Brazzaville. Même en cette période de pandémie du COVID-19, le Congo-Brazzaville ne bénéficie d’aucune aide de la communauté internationale. Cela montre à quel point notre pays a perdu toute crédibilité vis-à-vis des bailleurs internationaux. C’est au peuple congolais de décider s’il veut devenir la propriété des Sassou-Nguesso ou de vivre en Homme libre responsable de son propre destin. La fraternité est une valeur qui permettra la réconciliation de toutes les congolaises et tous les Congolais.  


Le Congo-Brazzaville n’est plus qu’une façade appelée République, et ce qui s’y passe derrière n’est pas reluisant car géré par le Cartel de Brazzaville. Le bonheur ne vaut que lorsqu’il est partagé. Mais dans notre pays le peuple est devenu un mendiant au service de ses dirigeants.  


Plus que jamais l’heure de la révolte a sonné et le peuple congolais doit se prendre en main. Le système actuel a échoué et n’a plus rien à offrir. Il est temps de le remplacer par des Compatriotes soucieux du bien-être de toutes les Congolaises et de tous les Congolais. L’édification d’une société congolaise juste est un combat digne et noble pour tout citoyen congolais. Nul ne doit faire abstraction de cette lourde tâche pour un Congo nouveau et meilleur. Le courage est le prix que la vie exige pour accéder au bien-être et à la paix. Dans ce combat nous devons avoir des résolutions pour bâtir et non des regrets. La tâche est lourde mais pas insurmontable. Il est du devoir de chacun d’entre nous de s’y atteler pour en finir avec ces mensonges et trahisons envers notre peuple.  


C’est Harry Truman ex-Président des États-Unis qui disait « On ne peut pas devenir riche en étant politicien à moins d’être un escroc. »  

  

 

Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA  

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17 octobre 2020 6 17 /10 /octobre /2020 16:42

 

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Nicolas SARKOZY LE PRESIDENT VOYOU DE LA CINQUIEME Nicolas République mis en examen pour la quatrième fois dans l’affaire du financement libyen de sa campagne

 

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11 octobre 2020 7 11 /10 /octobre /2020 09:54

 

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CONGO BRAZZAVILLE : DÉSORDRE ET PILLAGE À TOUS LES ÉTAGES

 

 

 

L’ordre émis par Isaïe (dans le plus grand best-seller) à dénoncer le mal trouve sa justification dans les clans régnant en Afrique. Ces clans prennent plaisir à piller les deniers du peuple qu’ils recyclent avec la complicité des Occidentaux, au grand dam de la population misérable. La transparence, les risques des pays (environnement réglementaire ou judiciaires garanties, climat des affaires ou économique propice, risques politiques et sociales), l’expertise, sont les piliers des investisseurs sauf, dans des «démocratures» tel le Congo où la «tricherie» est érigée en sport national.

Tenez! Pendant que toutes les agences de notation financières abaissent considérablement la note du Congo, un club dit de Brazzaville naît pour injecter 300 milliards de F CFA dans les tuyaux: à défaut d’être un flou artistique, plus d’une personne pense que c’est «l’hôpital qui se moque de la charité».

Les textes, le siège, le capital et même un simple site internet de ce club sont introuvables. On ne sait pas si ce club s’occupe des créances commerciales ou publiques comme le font, respectivement, ceux de Londres et de Paris.

Il sied de relever que ces banques (Banque gabonaise, française et internationale -BGFI Bank-, Eco Banque, La Congolaise des Banque -LCB- la Banque Sino Congolaise pour l’Afrique -BSCA-) qui constituent le club de Brazzaville, a l’exception de la BSCA, sont plus ou moins performantes même quand celles-ci bénéficient d’un matelas solide, de la Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC) et des surliquidités des dépôts qui leur permettent de prêter.

Les dépôts ou l’épargne des clients ne peuvent constituer la taille d’une banque dans des pays instables où, des troubles sont légions avec le risque de voir, des gens retirer leurs avoirs au même moment. C’est plutôt l’ensemble des produits vendus qui font la grandeur des banques. Or, les banques qui composent le club de Brazzaville ne vendent pratiquement rien pour obtenir assez des commissions.

Le club de Brazzaville interroge

S’il est vrai que ce club parle d’un financement destiné à soutenir les entreprises, cependant, plusieurs interrogations taraudent les esprits.

Pourquoi les contours de ce financement n’ont-ils pas été scrutés par les parlementaires ?

Ce prêt, ne masque-t-il pas un recyclage de fonds?

Qui ignore que, non seulement, la BGFI Bank est le prolongement de la Banque Française Intercontinentale (FIBA) de triste mémoire mais aussi, elle est au cœur des comptes de la société nationale des pétroles du Congo ?

Qui ne sait pas que Paul Obambi qui refuse de céder la présidence de la chambre de commerce depuis des décennies, Henri Claude Oyimba et cohorte qui président ce club ont mauvaise presse ?

La BSCA, malgré son capital social de cent millions de dollars n’est-elle pas suspectée de blanchir l’argent depuis 2015 ?

Actuellement, elle serait chargée des adjudications des OAT. Pour un montant de 12 milliards qui sont souscrit à hauteur de 30 à 32 milliards, le coupon de 6% est détaché à l’émission et les OAT sont à échéance de 5 ans.

Plus d’une personne pense a une opération de blanchiment massive d’argent des dignitaires qui se passerait chaque mois. Ces dignitaires se retrouvent ainsi dans la position de créanciers privilégiés de l’État congolais.

Des inquiétudes sur ce club de Brazzaville et ses fonds

L’inquiétude qui gagne le commun des mortels n’est pas due au fait que ce club veuille relancer l’économie. Mais, c’est d’entrer dans un cycle vicieux des dettes qui vont continuer à hypothéquer l’avenir des générations futures.

Le français Serge Berrebi et Cie qui ont élu domicile dans les couloirs des institutions financières internationales de Bretton Woods, dès juillet 2019, avaient sévèrement critiqué notre avis émis à Washington qui stipulait: «pour éviter des risques d’explosion et d’asphyxie du peuple, le FMI avec certaines conditions, a l’obligation d’aider le Congo».

Serge Berrebi et 16 élus américains qui demandaient de couler les pays trop endettés avec la Chine dont le Congo, semblent avoir raison. Rien ne justifie aujourd’hui que le Congo s’endette au club de Brazzaville. En effet, le FMI en décaissant la première tranche d’aide (au titre de la facilité élargie de crédit) avait exigé de payer la dette intérieure et encourager les entreprises à relancer l’économie.

Mais la direction prise par cette bagatelle et celle de la Task Force n’est connue que par le président du Congo Brazzaville monsieur Sassou Denis et ses ministres Gilbert Ondongo et Calixte Ganongo. De là, il n’y a qu’un pas à franchir pour les accuser de détournements. Sans gêne, Gilbert Ondongo, indexés par des médias occidentaux et services de polices dans des affaires de corruption est venu en France, a la tête de la délégation de la CEMAC quémander des fonds et autres. Peine perdue ! Pratiquement, aucun média de la place de Paris ne mentionne ce tourisme contrairement aux mensonges que balance la chaîne de M. Sassou. Ce qui confirme l’adage « A beau mentir vient de loin ».

Le climat d’affaires ne favorise pas les investissements au Congo sauf pour des commerçants préfabriqués par le système Sassou et des Libanais qui sortent la tête de l’eau. M. Sassou et son gouvernement ne respectent aucun engagement, ils aiment entretenir le désordre et sont spécialistes du dénie.

La preuve, il y en a tellement que l’on peut s’y noyer:

  • les enseignants vacataires et les étudiants n’ont pas leurs émoluments depuis des mois;
  • les budgets des ministères des enseignements posent toujours problèmes;
  • les ex-combattants ne sont intégrés dans l’armée moins encore;
  • le statut de leur chef Ntumi n’est effectif nonobstant;
  • les accords de cessation des hostilités sont bafoués dans le département du Pool malgré la signature entre les parties.

Sur le plan judiciaire, économique et autre, le constat est le même. Le droit des manifestations n’est pas respecté. Des policiers avec leurs engins, a défaut de les voir se positionner devant les établissements scolaires et universitaires, etc, matent constamment les manifestants. Conséquences, plusieurs partenaires du Congo et chefs d’État se lassent et zappent ce petit pays riche mais si mal géré.

Emmanuel Macron, malgré le forcing et l’invitation du pouvoir de Brazzaville, n’assistera pas aux festivités de la célébration du 140ème anniversaire de Brazzaville et autres.

Idem pour Total E&P Congo qui a satisfait partiellement les désirs de M. Sassou qui exigeait d’eux des centaines des millions d’euros pour rempiler son contrat d’exploitation pétrolier du Terminal de Djéno qui prendra fin le 18 novembre 2020; tout récemment, la Banque Mondiale, l’AFD, l’UNESCO, etc n’ont pas assister a la grande réunion AUF- UNICEF. Des membres l’UNICEF que nous venons de contacter ont résolu d’être plus regardant sur le Congo. Par ailleurs, Tracfin (service français de renseignement placé sous l’autorité du Ministère de l’Action et des Comptes publics qui concourt au développement d’une économie saine en luttant contre les circuits financiers clandestins, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme) se penche actuellement sur l’origine des transactions financières de la société de Makosso (différent de Makosso le ministre) et de 29 personnalités congolaises.

Que faire pour le Congo Brazzaville ?

«Ne demande pas ce que ton pays peut faire pour toi, demande ce que tu peux faire pour ton pays», déclarait John Fitzgerald Kennedy.

Alpha Blondy dans «Journaliste en danger», rappelle aux peuples que la démocratie du plus fort est toujours la meilleure.

«Faire renaître le pays dans la liberté» nous conseille Abraham Lincoln dès novembre 1863.

Il n’est donc pas question de condamner l’activiste Faye Monama et autres qui prennent des initiatives face au déclin de la démocratie au Congo et devant des opposants qui bénéficient des présents de l’État.

Nombreux sont les congolais interrogés qui pensent qu’il est temps de se lever et de bâtir le Congo selon le modèle inspiré par Mahatma Gandhi, Jésus Christ et Martin Luther King pour le bien-être et l’avenir harmonieux des générations futures.

Point n’est besoin de s’appuyer sur des opposants qui ne disent mot sur l’avenir des enfants, sur le bradage des mines et sur l’écocide que ce pays connaît.

Pour ces populations, participer à l’élection présidentielle de mars 2021 sans maîtriser les opérations électorales est synonyme d’être le cheval de Troie de Sassou Denis.

Le groupe Total en signant avec le gouvernement congolais malgré le manque de transparence confirme bel et bien que la FrançAfrique n’a pas encore disparu. Les intérêts des multinationales restent au-dessus de toute considération.

Ghys Fortune BEMBA – DOMBE

 
 

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11 octobre 2020 7 11 /10 /octobre /2020 09:24

 

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CÔTE D'IVOIRE : L' OPPOSITION IVOIRIENNE EN ORDRE DE BAITAILLE POUR LE RESPECT DE LA CONSTITUION. UNE SEUL MOT D'ORDRE LA DESOBEISSANCE CIVILE 

 

 

 

Président Bédié au stade FHB "J'invite Antonio Guterres à s’auto-saisir pour la mise en place d’un organe crédible avant le scrutin du 31 Octobre 2020"
 
Pour Pascal Affi N'guessan le samedi 10 octobre 2020 au stade Felicia: Ce qui est bouclé sera coupé et ce qui est calé sera décalé.
 
AmonTanoh depuis le Félicia « nous sommes prêts à mourir pour notre pays. Nous ne reculerons plus ».
 

 

 
Un peuple uni, jamais ne sera vaincu !” | Le discours historique de Mamadou Koulibaly au stade FHB 
Samedi 10 Octobre 2020

 

https://www.youtube.com/watch?v=rwS1wUBMV80

 
 

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La Voix Du Peuple

  • : Le blog de la voix du peuple
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POUR UN CONGO LIBRE ET DEMOCRATIQUE

 

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      VISITEURS                           
         VISITEURS                               

 

 fl8.jpg EDITORIAL                                               

 

 

Nous avons tous  été confrontés un jour ou l’autre à un fait  choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.

Mais  désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant

soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des

problèmes qui nous rongent.

La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du  grand nombre dans la

dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu,  qui poseraient

des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :

           -des abus de tout genre ;

           -des injustices vis-à-vis des plus faibles ;

           -des scandales économiques, politiques, judiciaires…

La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.

La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps

comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons,  grâce  à elle, à

atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les

invulnérables.

Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les

enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des

agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :

           -des propos indélicats ; 

           -du culte de la division ;

           -des accusations affamantes ;

           -des observations désobligeantes ;

           -des contre vérités…

Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera

purement et simplement écarté.

email2.gifNous contacter :

dpeuplelavoix@yahoo.fr  

 

 

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  Le symbole de la liberté

  

         Non à la dictature

    

   

   

 

      L' INCORRUPTIBLE       

     Légende d'Afrique

  

  

 

       La colombe de la paix et de l'esperance

        

 

 

 

         Non à l' omerta

   

 

 

BONGO - CHIRAC - SASSOU les principaux acteurs

du coup d' Etat sanglant du 5 Juin 1997 au Congo Brazzaville

   

   

 

 

 

  Pour une Jusitce transparente et équitable

  

 

     

 

   

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  undefinedAu pillage des richesses en Afrique

 

 

    Capture

     Kwame NKRUMAH

   

 

        Emery Patrice LUMUMBA

   

 

  Alphonse MASSAMBA - DEBAT

          

 

  

        Marien NGOUABI

       

 

        Cardinal Emile Biayenda

  

             Thomas SANKARA

  

          drapeau des états unis

       Martin Luther KING

  

 

    

   

 

       Mahatma GANDHI

   

 

         Nelson MANDELA

    

 

          John Fitzgerlald KENNEDY  

    

 

       

 

   Pour une alternance démocrtique au Congo

     

     à la santé des Biens mal acquis  

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                              drapeau france

    

                          Le TonTon

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           Un grand et un petit

   

 

 

         

                   Non à la chasse à l' homme

        

 

     

      

 

        

 

                

   

 

     

 

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               La métamorphose

      

 

           

            La tour de contrôle

      

 

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         billet 500 euros

           portefeuille dollard

        

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        Aux massacres

        

 

            

         Des jeunes patriotes Ivoiriens tombés sous les bales

        

 

   Bombardement  de la résidence de Laurent GBAGBO

                          

       Des hélicoptères ont bombardé la résidence de Laurent Gbagbo.

 

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     Le  chemin  d' avenir, le chemin sans issue

                  

            

 

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      L'eau une denrée rare à Brazzaville, pourtant vitale

      

 

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                          Le fleuve Congo

        

     Le bord du fleuve Congo à Brazzaville pourtant les habitants manquent cruellement l' eau potable

         

 

       

 

                    

 

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