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LES DESSOUS DE LA RENCONTRE ADO-BÉDIÉ
•Nov 12, 2020
CHRIS YAPI TV OFFICIEL
Après plusieurs mois sans se parler, Alassane Ouattara et Henri Konan Bédié se sont rencontrés en fin d’après-midi, ce mercredi 11 novembre 2020 à l’Hôtel du Golf à Cocody.
Cette rencontre a été organisée sur pression de la communauté internationale, notamment des ambassadeurs de France, des États-Unis et de l’Union européenne, qui se sont fixés pour mission d’être les « go-between » entre les deux hommes. Du côté d’Alassane Ouattara, on espérait qu’Henri Konan Bédié commettrait la faute de rejeter cette offre de dialogue, offrant ainsi un prétexte pour le durcissement du régime. Jusqu’au dernier moment, Ouattara espérait que cette rencontre n’aurait pas lieu.
Pierre Fakhoury, ami des deux hommes, a également été un des mécènes actionnés par la France pour obtenir cette rencontre.
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LIRE CE PASSAGE DU LIVRE DE JEAN FRANÇOIS PROBS
Que ceux qui n’ont jamais compris que Sassou Nguesso est un criminel au service de la France lisent cet extrait tiré de son livre « Chirac mon ami de trente »
Confessions de Jean François Probst, chargé d’affaire de Jacques Foccart le monsieur Afrique de l’Elysée. Dans son livre « Chirac mon ami de trente ans » paru en 2007 chez Denoël, l’auteur parle de Jacques Chirac, mais aussi de sa politique Africaine.
Voici donc ce qu’il dit dans un chapitre au nom bien évocateur : » le cahier de Sassou » de la page 151 à 159. Il dit je cite: (…) Jacques Foccart n’allait pas voir Denis Sassou Nguesso, Omar Bongo, Abdou Diouf ou Abdoulaye Wade. C’était eux qui venaient rue de Prony.(…) À cette époque, Jacques Foccart m’avait confié pour mission de m’occuper de Denis Sassou Nguesso, le président du Congo-Brazzaville. « Est-ce que vous connaissez Sassou ? » m’avait-il demandé. J’avais connu le dictateur-President[3], alors marxiste-léniniste « pur » et dur, en 1982.
Je lui avais rendu visite avec Jérôme Monod, à propos de la gestion des eaux de Brazzaville. Nous avions été reçus par un homme en costume gris, austère. J’avais pris connaissance de son dossier au Quai d’Orsay…(…) Après une première « révolte des jeunes gens », Sassou et ses amis avaient amené au pouvoir un premier président marxiste orthodoxe, Marien Ngouabi. Et plus tard, ils l’avaient éliminé. Selon le dossier du Quai, Sassou avait été l’executant[4]. (…) Pendant toutes ces années, Denis Sassou Nguesso avait soutenu Chirac… À la suite de sa défaite à l’élection présidentielle de 1992, il était devenu un Africain en exil.
« Est-ce que vous lui donneriez un coup demain ? » m’a demandé Foccart. J’ai donc aidé l’ancien président à partir de la fin 1995 jusqu’à son retour au pouvoir en 1997.(…) Il (Sassou) n’était pas interdit de séjour là-bas, mais ayant tenu le Congo d’une main de fer, il ne supportait guère l’idée de revenir dans un pays « démocratique »… Et puis, il avait pris des goûts de luxe, ce qui l’avait fait évoluer idéologiquement.(…) En sous-main, Jacques Foccart ne lui avait pas retiré sa confiance. Au contraire. J’ai donc préparé son retour médiatique, en janvier 1997…(…) Les élections ont donné l’occasion du coup d’Etat.
L’histoire officielle dit que le président Lissouba a engagé un char contre la villa de Sassou, en réalité il s’agissait d’une provocation montée de toutes pièces par la milice Cobra. Sassou était de l’autre côté du fleuve Congo, avec des jumelles. Le président Lissouba (…) et sa directrice de cabinet, Claudine Munari, n’ont pas compris ce qui était en train de leur arriver et ils ont été renversés. En juillet 1997, la guerre a commencé. Les combats ont duré tout l’été. J’ai aidé le clan Sassou à revenir là-bas.
Et je lui ai trouvé des armes au mois d’août 1997, après le décès de Jacques Foccart, à la demande de Pierre Oba, le ministre de l’Intérieur… Il fallait trouver de l’artillerie. Je n’ai jamais été marchand de canons, mais j’ai aiguillé Oba vers un spécialiste à Monaco. Et le président Angolais José Eduardo Dos Santos a aidé Sassou à donner le dernier coup de reins…[5].
Au regard de ce qui précède, le reste, par exemple la situation en RDCongo-Kinshasa et l’évacuation des occidentaux provenant de Kinshasa, n’était donc qu’un prétexte, puisque la France n’a pas pris en charge les évacués de Brazzaville à partir de Kinshasa.
Ceux qui suivent ce développement comprennent bien les enjeux commandés par la cupidité, l’avidité et la concussion au détriment et au grand mépris des vies humaines ainsi sacrifiées. Seulement voilà ! Bien que connaissant son homme lige quant à sa propension à la violence et aux crimes, Paris (la France) connaissait-elle les intentions profondes et les non-dits de l’homme qu’elle remettait au pouvoir au Congo-Brazzaville ? Nous pouvons répondre par l’affirmative, puisque dans ses mémoires posthumes publiés par Jeune Afrique (B.B.Y.), Foccart aurait confié à ses scribes « héritiers » que Sassou Nguesso était un homme dangereux et très rancunier, et qu’il doutait de ses capacité et volonté de rassemblement et de restauration de la paix et de la démocratie dans son pays.
Pour preuve, « la demande de Sassou Nguesso adressée à Elf pour assassiner des opposants trop remuants et gênants »[8]..Ceci confirme ce qu’avait déjà exprimé sur son lit d’hôpital à Paris, feu président Jacques Opangault, qui avait dit : « Tant que le petit au signe du diable sur le front sera toujours là, le Congo ne connaîtra jamais de paix, encore moins de réconciliation nationale »[9].
NB: l’auteur dit plus loin que Sassou est recruté par la DGSE depuis 1963 lors de sa formation à Saint Maixent. Il évoque aussi que c’est à Abidjan que fut planifié par Houphouët Boigny la mort de Ngouabi ce, en présence de Sassou et de certains dignitaires Africains. Le tout assisté bien entendu par l’Elysée.Jean-François Probst a travaillé pendant trente ans pour le RPR.
Collaborateur de Jacques Chirac à Matignon, bras droit de Jérôme Monod, de Charles Pasqua, de Michèle Alliot-Marie, ami de Dominique de Villepin et conseiller de Jean Tiberi, il a œuvré sous les ordres du mystérieux Jacques Foccart… Sa mission principale ? Officiellement la » com » de ses patrons. En réalité cet agent d’influence s’est occupé des relations avec les parlementaires et a passé son temps à manipuler la presse quand il ne montait pas des » coups « .
En 1995, dans le plus grand secret et sur ordre direct de Jacques Chirac, il a été chargé de torpiller la campagne d’Édouard Balladur… avec l’aide des réseaux Foccart. Aujourd’hui indépendant et libre, Jean-François Probst regarde avec lucidité le parcours de ces trente années qui ont mené Jacques Chirac jusqu’à l’Élysée.
Son témoignage raconte des années de coulisses : comment l’argent arrivait, comment il était dépensé, mais aussi le rôle de tous ces courtisans et courtisanes qui font la « France du président ». Jean-François Probst revient sur les origines, la famille, le train de vie de Jacques Chirac et sur les multiples » assassinats politiques » qu’il a ordonnés. Au passage, il nous livre une galerie de portraits au vitriol des hommes et des femmes du président.
Source: « Confessions de Jean François Probst, »
EDITORIAL
Nous avons tous été confrontés un jour ou l’autre à un fait choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.
Mais désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant
soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des
problèmes qui nous rongent.
La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du grand nombre dans la
dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu, qui poseraient
des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :
-des abus de tout genre ;
-des injustices vis-à-vis des plus faibles ;
-des scandales économiques, politiques, judiciaires…
La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.
La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps
comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons, grâce à elle, à
atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les
invulnérables.
Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les
enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des
agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :
-des propos indélicats ;
-du culte de la division ;
-des accusations affamantes ;
-des observations désobligeantes ;
-des contre vérités…
Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera
purement et simplement écarté.
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Le symbole de la liberté
Non à la dictature
L' INCORRUPTIBLE
La colombe de la paix et de l'esperance
Non à l' omerta
BONGO - CHIRAC - SASSOU les principaux acteurs
du coup d' Etat sanglant du 5 Juin 1997 au Congo Brazzaville
Pour une Jusitce transparente et équitable
Au pillage des richesses en Afrique
Kwame NKRUMAH
Emery Patrice LUMUMBA
Alphonse MASSAMBA - DEBAT
Marien NGOUABI
Cardinal Emile Biayenda
Thomas SANKARA
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Pour une alternance démocrtique au Congo
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