CONGO BRAZZAVILLE : L’opposition face au défi de la stratégie de l’union des forces.
CONGO BRAZZAVILLE : L’opposition face au défi de la stratégie de l’union des forces.
CONGO BRAZZAVILLE : LA COLÈRE DES HABITANTS FACE AUX COUPURES RÉCURRENTES DE COURANT
LE VIEUX DICTATEUR SANGUINAIRE ET CORROMPU Denis Sassou Nguesso brade le pétrole congolais pour se faire réélire avec l’onction de la France (Total).
Comme nous l’avions annoncé depuis juillet 2020 Total vient de tordre le cou de monsieur Sassou Nguesso en obtenant un rallongement de la gestion du terminal pétrolier de Djéno. C’est la marée noire qui se déverse sur les belles plages d’antan de la ville océane Pointe-Noire. Et c’est reparti pour un tour.
Après le vrai-faux suspense, Total rafle la mise au grand désespoir du peuple congolais en y incluant dans le deal une compagnie affiliée au pouvoir ainsi que la compagnie familiale pétrolière Africa Oil and Gas Corporation (AOGC), de Denis Auguste Marie Gokana, Conseiller spécial pour les affaires pétrolières à la présidence de la république du Congo-Brazzaville. Il ne faut pas oublier de la monnaie sonnante et trébuchante utile pour payer les salaires des fonctionnaires et organiser la pseudo-élection présidentielle. La Coupe est pleine, car la famille Sassou Nguesso de la Principauté d’Oyo, avec à sa tête le Roi Sassou Nguesso et ses sbires dirigent le Royaume du Congo-Brazzaville.
Le canular du 80e anniversaire du Manifeste de Brazzaville aura servi de prétexte à monsieur Jean-Yves Le Drian pour forcer la main de notre dictateur pour rallonger la durée de la gestion du terminal de Djéno.
Le diable est toujours dans les détails. Le Congo-Brazzaville n’a jamais commémoré ni le 50e, ni le 60e, encore moins le 70e anniversaire. Cependant contre toute attente, c’est le 80e anniversaire du Manifeste de Brazzaville qui l’a été, coïncidant en fait avec la fin du contrat léonin de la gestion du terminal de Djéno par Total. Fauché comme un rat d’église, monsieur Sassou Nguesso a voulu forcer les Français pour qu’ils mettent la main à la poche. Mais depuis quand dans ce monde le vassal donne des ordres au Roi ? Sentant son pouvoir menacé par ceux qui l’on placé sur le trône et pour ne pas perdre la face, c’est un contrat léonin de 20 ans que le petit émirat congolais accorde à Total.
Les Sassou-Nguesso et compagnie sont passés de pécheurs à Nababs. Les 80 ans du Manifeste de Brazzaville n’ont servi que d’entourloupe pour mieux faire avaler la pilule amère aux Congolaises et aux Congolais. Le mot clé étant les négociations du prolongement la gestion du terminal de Djéno par le Ministre des Affaires étrangères, monsieur Jean-Yves Le Drian. Une fois l’accord obtenu à Oyo la capitale administrative du Congo-Brazzaville par Patrick Pouyané le PDG de Total, monsieur Jean-Yves Le Drian n’a même pas daigné assister au déjeuner offert par son Sous-Préfet. Avant son départ pour Paris, le Ministres des Affaires étrangères des pays francophones du continent africain, Jean-Yves Le Drian a fait une recommandation le 27 octobre 2020 à Brazzaville valant décret de loi : « La France appelle l’Afrique à faire bloc avec elle contre la prédation. » Du Manifeste de Brazzaville, nous sommes passés au « Manifeste de la prédation de l’Afrique francophone par la France. ». Les Africains francophones savent depuis plus de 60 ans que le véritable prédateur des ressources africaines c’est la France. C’est l’histoire du serpent qui se mord la queue.
Le plus grand perdant dans cette histoire, c’est le peuple congolais qui continue de trimer sans un mot à dire. Il eut été nécessaire, dans une république, que ce contrat soit ratifié après son passage à l’Assemblée nationale et au Sénat. Comme ils sont tous nommés par le Parrain d’Oyo, ils ont préféré le silence de cathédrale que le retour à Mossaka. Triste pays ! Subliminalement, Oko ne montrait-il pas la mer à Tati pour bien lui signifier que ce bien était le sien ? Nous y sommes et Tati n’a plus que ses yeux pour pleurer car il est devenu un locataire indésirable sur son propre terroir.
Cette affaire relève de la survie et des conditions de vie de notre pays. Nos oppositions légale et illégale ne disent un mot depuis que cette affaire a pris de l’ampleur sur les réseaux sociaux. De Mathias Dzon, ancien ministre des finances de monsieur Sassou Nguesso, devenu amuseur public devant les journalistes, de Guy Brice Parfait Kolélas le fils adoptif de Sassou Nguesso, de Tsaty Mabiala le caméléon de Loudima, de Claudine Munari Mabondzot la diva de la politique congolaise et de tous les autres menus fretins, un silence de moine leur est imposé de peur de perdre une partie du gâteau au moment des préparatifs de la prochaine élection présidentielle et donner l’apparence d’une démocratie. À bien y voir ce sont tous les mêmes et le recyclage politique est leur marque de fabrique. L’opposition congolaise serait-elle la plus malléable du monde ? C’est au peuple de répondre. Qu’attendre de cette opposition congolaise qui se concerte avec le pouvoir pour un hypothétique partage de rôle. Nous ne sommes pas dupes.
Après avoir éliminé ses opposants, c’est le peuple congolais aux abois qui est assassiné pour des intérêts personnels. Total, qui après avoir perdu près de 8,335 milliards de dollars lors du deuxième trimestre de 2020, doit se refaire une santé financière et verser des dividendes aux actionnaires.
Pour information, « Total voit rouge au terme du troisième trimestre avec l’effondrement des cours du brut. Le résultat net de la société s’est chiffré à 202 millions de dollars, soit 93% de moins que les résultats à la même période en 2019, pour un cash-flow à 4,3 milliards de dollars, soit une baisse de 41% sur la même période. »
Peuple congolais, du Nord au Sud, de l’Est à l’Ouest et du Centre, il est temps de se lever comme un seul Homme pour dire NON au bradage de nos ressources (bois, pétrole…). Le pétrole appartient à la famille Sassou Nguesso et le bois en co-gestion entre monsieur Henri Djombo en grand prédateur et la famille régnante.
Le vrai problème des Congolais n’est pas politique, mais pécuniaire ; Notre argent que la famille Sassou Nguesso dilapide au vu et au su de tout le monde. Dans un État démocratique ces affaires auraient été traitées dans des commissions parlementaires au niveau des deux chambres. Mais le Congo-Brazzaville étant une dictature, les Sénateurs et les députés sont nommés.
En ayant obtenu une rallonge de 20 ans pour la gestion du terminal de Djéno, monsieur Jean Yves Le Drian vient de valider l’élection présidentielle de mars 2021 en donnant d’office monsieur Sassou Nguesso gagnant. Dans ce cas, il ne servira à rien d’aller voter car la France, tutrice du Congo-Brazzaville a déjà donné son quitus pour le tripatouillage électoral au Congo-Brazzaville et à la énième mort de la démocratie congolaise. Les sorts du Général Jean-Marie Michel Mokoko et des autres prisonniers politiques ont-ils été abordés ? Cela montre le peu de sérieux de la diplomatie française qui privilégie les affaires au détriment des droits de l’Homme. Comme disait le Père de la Françafrique, le Général de Gaulle : « Les États n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts. »
Les mensonges éhontés devant la nation congolaise de Jean-Marc Thystère-Tchicaya, Ministre des Hydrocarbures, qui disait : « qu’à la fin du contrat de la gestion du terminal pétrolier par Total E&P 63% et ENI Congo SA. 37% depuis 1972 », ce dernier reviendrait à 100% au peuple congolais. Comme disait Jean-Pierre Chevènement : « Un ministre, ça ferme sa gueule. Si ça veut l'ouvrir, ça démissionne. » Après avoir menti aux yeux du monde entier sur sa dette, ce gouvernement continue sur sa lancée. Selon leur expression consacrée : « Allons seulement dans le mur. » Un gouvernement qui ment à son peuple n’est pas digne et laisse place à une mafia.
Sous les tropiques les anciens sont des sages, mais au Congo-Brazzaville, ils deviennent des brigands de grand chemin. Il est plus que temps que le Congo-Brazzaville plongé dans les ténèbres sorte de sa léthargie. Un réveil du peuple congolais dans un coma artificiel est nécessaire.
Pendant que la pandémie de la COVID-19 redouble d’ardeur dans le monde, monsieur Sassou Nguesso organise des colloques bidons pour sortir l’argent du trésor public congolais et mettre les invités à risque de contamination. En manque de notoriété, monsieur Sassou Nguesso met la vie et la santé des Congolais en danger. Pour quel résultat ?
Comme disait le Révérend Martin Luther King : « Nous devons accepter une déception finie, mais nous ne devons jamais perdre un espoir infini. »
Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA
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EDITORIAL
Nous avons tous été confrontés un jour ou l’autre à un fait choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.
Mais désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant
soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des
problèmes qui nous rongent.
La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du grand nombre dans la
dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu, qui poseraient
des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :
-des abus de tout genre ;
-des injustices vis-à-vis des plus faibles ;
-des scandales économiques, politiques, judiciaires…
La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.
La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps
comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons, grâce à elle, à
atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les
invulnérables.
Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les
enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des
agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :
-des propos indélicats ;
-du culte de la division ;
-des accusations affamantes ;
-des observations désobligeantes ;
-des contre vérités…
Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera
purement et simplement écarté.
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