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23 décembre 2015 3 23 /12 /décembre /2015 19:33

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  carteanime.gifPar IvoireBusiness

 

Affaire Mandat d'arrêt contre Compaoré - Mariam Sankara à Ouattara sur RFI: "Gbagbo est à la CPI, Simone Gbagbo est jugée en C.I, Blaise Compaoré doit donc revenir au Burkina pour dire la vérité devant les tribunaux"

 

Affaire Mandat d'arrêt contre Compaoré - Mariam Sankara à Ouattara sur RFI "Gbagbo est à la CPI, Simone Gbagbo est jugée en C.I dans le cadre de la lutte contre l'impunité. Ouattara doit donc permettre à Blaise Compaoré de revenir au Burkina pour dire la vérité devant les tribunaux".

 

 

 

 

La veuve de Thomas Sanakara hier sur Radio France international, a affirmé que le Président ivoirien Alassane Ouattara, depuis sa prise du pouvoir en 2011, a fait de la lutte contre l’impunité, la priorité de ses priorités.
C’est la raison pour laquelle Laurent Gbagbo est à la Cour pénale internationale et Simone Gbagbo est en prison en Côte d’Ivoire.
Il doit donc permettre à Blaise Compaoré de revenir au Burkina Faso pour répondre de ses crimes comme l’exigent la justice burkinabé, le peuple, et la famille.
Elle a donc souhaité que le président Alassane Ouattara, facilite la procédure judiciaire enclenchée au Burkina en permettant à l’ex-président Blaise Compaoré sous le coup d’un mandat d’arrêt international été lancé depuis hier, de venir répondre des faits qui lui sont reprochés au sujet de l’ex-président Thomas Sankara.
Dans cet entretien accordé à la Radio France internationale (RFI) diffusé hier, Mariam Sankara s'est dite d'emblée "contente'' du mandat d'arrêt délivré par la justice militaire contre Blaise Compaoré, en exil en Côte d'Ivoire.

Elle a ensuite souhaité que le président ivoirien Alassane Ouattara permette à son "ami'' de revenir au Burkina afin de pouvoir "dire la vérité'' devant les tribunaux du pays.

"J'attends le jour où je le (Blaise Compaoré ndlr) verrai comparaître devant les tribunaux burkinabè (..) J'attends donc son rapatriement (…) Il nous dira enfin pourquoi. Il nous dira la vérité (…) pourquoi il a fait ça. Qu'il nous explique''.

Pour Mariam Sankara, "le peuple ivoirien et le peuple burkinabè sont des peuples frères''. Au regard des évènements récents qui ont frappés la Côte d'Ivoire, elle peut facilement tirer cette conclusion: "les autorités ivoiriennes ne cautionnent pas l'impunité''.

La veuve de Thomas Sankara ne s'est pas limitée aux autorités ivoiriennes, mais s'est également adressée au nouveau président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré.

"Depuis qu'il y a eu l'insurrection, le peuple burkinabè a émis certains souhaits : plus d'impunité dans ce pays. Et donc ce que Kafando (le président de la transition, ndlr) a commencé, je pense qu'il va être difficile pour Roch Kaboré de ne pas continuer dans ce sens'', a-t-elle affirmé.

Le capitaine Thomas Sankara, père de la Révolution burkinabè et président du Faso (1983-1987), a été assassiné le 15 octobre 1987, lors du coup d'Etat qui a propulsé Blaise Compaoré au pouvoir.

Dans le cadre de l'instruction judiciaire en cours sur son assassinat, un mandat d'arrêt international à été émis, en début décembre dernier, contre Blaise Compaoré, en exil en Côte d'Ivoire, depuis l'insurrection populaire de fin octobre 2014.

La police internationale Interpol, ainsi que les autorités ivoiriennes auraient déjà été saisies au sujet de ce mandat d'arrêt.

Pour le moment, les autorités ivoiriennes n'ont pas encore donné officiellement une suite à la demande de la justice militaire burkinabè. D'ailleurs, la réaction du président ivoirien Alassane Ouattara est très attendu sur ce coup.

Plus de détails dans nos prochains articles.

Serge Touré avec APA

 

 

Togo… En Attendant La Démocratie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
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22 décembre 2015 2 22 /12 /décembre /2015 21:28

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  carteanime.gifPar :  Ghys Fortuné Dombe-Mbemba

 

Élections 2016 et adresse à l’Assemblée de M. Sassou ou le nouvel affront de sassou au peuple .

 

 

 

 

 

 

Mboulou et son mentor ficèlent leur tricherie en menaçant et en excluant l’Opposition réelle

Bien installé dans son fauteuil, au Salon d’honneur de l’aéroport, sourire aux lèvres, Sassou-N’Guesso qui rentrait à Brazzaville mardi 15 décembre 2015 en provenance de Guinée Conakry déclarait : «J’aurai l’occasion de m’exprimer plus au fond sur cette question avant la fin de ce mois. En tout état de cause, la nouvelle Constitution devrait être mise en œuvre pour qu’il y ait toutes des institutions qui soient toutes en adéquation avec l’esprit et la lettre de cette nouvelle Constitution déjà promulguée».

La nouvelle Constitution dont parle le président Sassou a été promulguée par lui, le 06 novembre dernier. Pour avoir organisé un référendum sur fond de crises profondes dans le pays, ayant occasionné des pertes en vies humaines, des pertes matérielles et la perte de la crédibilité du pays, Sassou-N’Guesso, comme il le voulait, a forcé le passage. En dépit des appels de l’Union africaine, de l’Union européenne, de l’Organisation des Nations Unies et des Etats-Unis d’Amérique d’organiser un Dialogue sincère sur la question, le Chef de l’Etat ne l’a pas entendu de cette oreille. Conséquence : jusqu’aujourd’hui, les résultats de ce référendum n’ont jamais été salués par l’opinion internationale qui sait que la moitié des Congolais ont refusé de cautionner le coup d’Etat constitutionnel.

Curieusement, c’est sur cette Constitution manquant de crédibilité que le président Sassou-N’Guesso promet de s’exprimer «ce mardi 22 décembre 2015. 

Mise en œuvre de la nouvelle Constitution : une épine dans la gorge de Sassou

Il faut retenir que la mise en œuvre de cette Constitution pose problème. Car, en réalité, toute nouvelle République implique une remise à plat de tout le système politique du pays. Toutes les institutions issues de l’ancienne loi fondamentale devraient être dissoutes et remplacées par celles prévues par la nouvelle. Les conseillers en matière juridique du président, en insérant l’article 244 dans la nouvelle Constitution, ont tapé à côté sur toute la ligne : « Toutes les institutions issues de la Constitution du 20 janvier 2002 fonctionnent jusqu’à la mise en place des nouvelles institutions, sans pouvoir dépasser, pour les institutions pourvues par voie élective, l’expiration de leur mandat ». 

Cette disposition ne fixe pas la durée à observer entre la promulgation de la nouvelle Constitution et la mise en place des nouvelles institutions. Il suffit de ne pas dépasser l’expiration des mandats de celles pourvues par voie élective, comme le Parlement (Assemblée nationale, Sénat) et les Conseils départementaux et municipaux.

Peut-on aujourd’hui former un nouveau gouvernement sans l’élection d’un nouveau président ? Le gouvernement actuel a été formé par le président de la République élu le 14 août 2009 sur la base de la Constitution du 20 janvier 2002. Il ne peut pas y avoir un nouveau Premier ministre de la République nommé par un président de l’ancienne République ! Soit, le président Sassou anticipe l’élection présidentielle avant juillet 2016– ce qui se raconte dans les salons huppés de Brazzaville – soit il attend juillet 2016 pour organiser l’élection présidentielle qui doit sonner le glas de l’expiration de son deuxième mandat gagné sur la base de la Constitution de 2002, expiration fixée au 14 août de l’année prochaine. Pire, M. Sassou ne s’adresse pas au parlement réuni en congrès, mais à l’Assemblée nationale seulement. Peut-il nous dire, sur quel texte s’appuie-t-il ?

Bloqué certainement avec la nomination du Premier ministre et pour bien huiler sa machine à triche, Sassou-N’guesso aurait donné des instructions à Mboulou d’exclure l’Opposition réelle de la course, comme le justifie l’incident décrit dans le communiqué de presse de l’IDC-FROCAD.

Le diktat de Sassou à Mboulou

Le jusqu’au-boutisme et la ferme détermination de régler, coûte que coûte, les problèmes politiques du pays par la force des armes, affichés par le pouvoir depuis la tenue du référendum le 25 octobre 2015, et la promulgation, le 6 novembre dernier, de la nouvelle Constitution, persistent , malgré les appels répétés et persistants du FROCAD et de l’IDC qui exigent du régime Sassou l’organisation d’un Dialogue inclusif, avec l’assistance de la Communauté internationale, afin de préparer des élections apaisées, libres, transparentes et crédibles en 2016 et 2017.

Nombreux sont les Congolais qui pensaient que la farouche volonté de M. Sassou de marcher sur des cadavres pour se maintenir au pouvoir, ainsi que le bâillonnement de l’Opposition et l’arrestation de ses cadres et militants, devaient reculer d’un cran. Grosse erreur! Car, en dépit de l’inconstitutionnalité du référendum et de la nouvelle Constitution, selon le FROCAD et l’IDC, le pouvoir campe toujours sur ses positions. La preuve, les délégués du FROCAD et de l’IDC, qui, sur invitation du ministre de l’Intérieur et de la décentralisation, Raymond Zéphirin Mboulou, conformément à sa correspondance n° OOO584 MID/CAB du 7 novembre 2015, devaient prendre une part active à la séance de travail sur les questions liées à «la gouvernance électorale», ont été «accueillis» dans la salle de réunion comme des «petits malotrus».

Les propos plus ou moins dérangeants, provocateurs, agressifs et insultants, prononcés par le ministre Raymond Zéphirin Mboulou, dans son mot introductif, en présence des participants à cette réunion de travail, dont ceux du FROCAD et de l’IDC, sont semblables aux slogans qui étaient à la mode après la victoire de M. Sassou en 1997, avec les Forces démocratiques unies (FDU). Il fallait être un combattant de la guerre du 5 juin pour bénéficier de quoi que ce soit. La condition était de savoir si l’on avait été au front : «Est-ce que obounda?». 

Aujourd’hui, les leaders des partis affiliés au FROCAD et à l’IDC, à l’identique des hommes politiques qui avaient perdu la guerre en 1997, n’ont, selon le régime Sassou, aucun droit à faire valoir. Le peuple meurtri et l’Opposition martyrisée ne doivent rien revendiquer : «Tout pour le pouvoir, rien que pour le pouvoir», comme au temps du Mono. 

Le Communiqué de presse du FROCAD et de l’IDC en dit long. Voici l’intégralité de ce texte rendu public le 9 décembre 2015.

Communiqué de presse de l’IDC-FROCAD

Par lettre n°000584 MID/CAB du 07 novembre 2015, Monsieur Raymond Zéphirin Mboulou, Ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, a invité les représentants de l’IDC-FROCAD à une séance de travail sur « les questions liées à la gouvernance électorale ».

Arrivée à l’heure indiquée, la délégation a été surprise de constater que la réunion avait déjà commencé. Reprenant son mot introductif, le ministre a indiqué que : 

- La présente réunion porte sur l’examen de la synthèse des contributions des parties ayant pris part à la première rencontre du 12 novembre 2015 ; 

- Le Dialogue sur la gouvernance électorale a déjà eu lieu à Sibiti et l’on ne peut concevoir un nouveau dialogue à ce sujet ; 

- Le Congo est un pays souverain et ne peut être géré de l’extérieur ;

- La délégation peut prendre le train en marche, sinon sa place n’est pas dans cette salle, car la présente réunion concerne les participants au Dialogue de Sibiti ; 

- La tenue de tout autre dialogue

relève de la compétence des plus hautes autorités de notre pays. 

Réagissant aux propos du Ministre, le chef de la délégation de l’IDC-FROCAD a dit que : 

- La question de la gouvernance électorale ne se résume pas à la simple modification de la loi électorale en vigueur ; 

- Celle-ci nécessite un dialogue national inclusif, avec la participation de la Communauté internationale ; 

- Un dialogue national alternatif s’est tenu à Brazzaville après celui de Sibiti, et les conclusions ont été adressées aux plus hautes autorités du pays ; 

- Des lettres ont été adressées à Monsieur le Président de la République et au Ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation pour souligner la nécessité de l’organisation et de la tenue d’un tel dialogue, afin de préparer les élections apaisées, libres, transparentes et crédibles en 2016 et en 2017. 

En considération de ce qui précède, la délégation de l’Opposition s’est vue dans l’obligation de se retirer de la salle.
Au regard de l’importance que les plateformes FROCAD-IDC accordent à la tenue des élections libres, démocratiques, fiables, équitables, crédibles dans un climat politique apaisé, en vue de l’alternance démocratique en 2016, l’Opposition réelle s’engage à tout mettre en œuvre pour apporter sa contribution à l’amélioration de la gouvernance électorale. 

Fait à Brazzaville, le 9 décembre 2015.

 

 

MESSAGE DU DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO DEVANT SES PARLEMENTAIRES LE 22 Décembre 2015

Le dictateur Denis Sassou Nguesso annonce l’élection présidentielle au premier trimestre 2016

 

 

« Monsieur le Président de l’Assemblée Nationale,
Mesdames et messieurs les députés,
Mes Chers Compatriotes,

Le 25 octobre dernier, nombre d’entre nous, en âge de voter, ont massivement approuvé le projet de nouvelle Constitution de notre République.

Le vote, partout où il s’est déroulé, a été libre, transparent et sincère. A certains endroits, peu nombreux, il a été perturbé ou empêché par quelques compatriotes qui ont voulu réveiller les vieux démons du passé.

Comme il fallait s’y attendre, la raison a pris le dessus sur l’irresponsabilité ; la réforme sur le conservatisme et le changement sur l’immobilisme.

En dépit des menaces et de quelques actes de terreur, les Congolais ont choisi la voie du renouveau de la République, en participant à 71% au scrutin référendaire et en accordant 94% de leurs suffrages au changement de la Constitution.

La détermination et l’espérance d’un meilleur avenir ont triomphé de la peur et de l’intox. Quelle belle leçon de courage et de civisme ! Quel profond attachement à la démocratie ! Ainsi est née la République nouvelle avec ses promesses d’égalité, de fraternité, de partage et de solidarité ; ses promesses d’équilibre et de collaboration harmonieuse des pouvoirs ; ses promesses de participation des forces vives à tous les chapitres de la vie de la nation.

C’est ici le lieu, et maintenant le moment de rendre un solennel et vibrant hommage au valeureux peuple congolais. Sa conduite exemplaire n’a d’équivalent que sa foi inébranlable en un Congo fort, sûr et stable ; un Congo qui progresse et qui refuse de retomber dans les errements du passé, un passé triste et tragique à jamais révolu. A tout le moins, nous osons y croire.

Le livre de l’histoire de la République, ouvert à la date du 25 octobre 2015, laisse désormais apparaître, en lettres d’or, que ce jour là, par un vote massif, incontestable et nettement tranché, le peuple a ordonné et établi pour le Congo une nouvelle Constitution.

Ce fait historique ne saurait être dénié. L’acte est entré dans la vie de notre Nation. Il règle désormais notre République, définit les droits et les devoirs de ses citoyens ainsi que l’organisation et le fonctionnement de notre Etat.

C’est sans conteste la nouvelle loi fondamentale du Congo. C’est la vérité première qui s’impose à tous les citoyens Congolais. Nul ne peut s’en exonérer. Et, aucune aveugle obstination ne peut aujourd’hui la remettre en cause. Comme, d’ailleurs, n’a pas pu prospérer la tentative de l’étouffer dans l’œuf le 20 octobre 2015.

Mes Chers Compatriotes,

Je parle du 20 octobre non pas pour souffler sur les braises mais pour qu’ensemble nous conjurions les mauvais esprits qui nous hantent encore.

Les manifestations du 20 octobre, qui ont failli conduire notre pays au naufrage, étaient tout à fait absurdes et ne pouvaient être tolérées. Elles ont été arrêtées net. On ne peut que s’en féliciter. Le devoir inflexible de l’Etat est d’assurer l’ordre public.

Nous avons tous besoin d’un Etat fort car l’Etat faible fait le lit du terrorisme. Et, là où l’Etat a failli, en règle générale, la terreur s’est installée et se répand comme une traînée de poudre.

L’actualité de ces dernières années à travers le monde nous renseigne de manière fort éloquente.

Je voudrais ici rendre honneur à la force publique dont l’engagement et le professionnalisme ont été irréprochables. Cela aussi bien le 20 octobre, que peu avant et quelques jours après.

Unie, au service de la nation, la force publique a fait échec à toutes les tentatives de déstabilisation de l’Etat et de division du peuple congolais. L’Etat est bien resté en place et nos compatriotes peuvent continuer de chanter notre joie et notre fierté partagées d’être Congolais; de proclamer l’union de notre nation; de s’engager à oublier tout ce qui nous divise, afin d’être plus unis que jamais.

C’est cet Etat fort et cette nation unie que nous nous attelons à bâtir jour après jour. Il devrait toujours en être ainsi de génération en génération.

Parce que bâtir des institutions fortes au service de la communauté nationale est un devoir de tous et en particulier des femmes et des hommes politiques.

Faire l’unité de la Nation, la consolider, la préserver coûte que coûte est aussi un autre devoir de première importance. Tout comme le sont la défense de la souveraineté nationale et la réalisation du développement économique et social.

La nouvelle Constitution en vigueur a été inspirée, entre autres, par tous ces impératifs.

Mesdames et Messieurs les députés,

J’ai dit nouvelle Constitution en vigueur.

Oui, la Constitution adoptée le 25 octobre est bel et bien entrée en vigueur le 6 novembre dernier. D’ici, j’entends monter plusieurs interrogations du genre : « où sont donc les nouvelles institutions de la nouvelle République ? »

Il est bon avant tout de constater que ni l’Etat ni le pays ne sont en situation de crise institutionnelle. L’article 244 de la nouvelle Constitution nous met à l’abri de ce genre de situation. Le souverain primaire, dans sa grande sagesse, a été bien inspiré de prévoir cette disposition de précaution afin que le passage de la Constitution de 2002 à la Constitution actuelle se fasse harmonieusement ; et pour que les institutions nouvelles se mettent progressivement en place non pas au rythme de notre impatience, fût-elle juste et légitime, mais selon la concordance et l’intelligence de la nouvelle Constitution.

Les institutions nouvelles, comment les avons-nous voulues ?

Notre engagement collectif a été de doter notre pays d’institutions fortes et efficaces qui consacrent une véritable rupture avec l’ordre ancien et les routines néfastes du passé. Institutions fortes et efficaces dont le rôle fondamental est de soutenir la volonté politique nationale et l’autorité de l’Etat. Ces institutions, pour ne pas les citer toutes, sont pour l’essentiel :

– un gouvernement qui gouverne à travers la conduite de la politique économique et sociale de la nation. Gouvernement que dirige le Premier Ministre qui en est le chef ;

– un parlement qui exerce le pouvoir législatif et qui contrôle l’action du gouvernement ;

– un pouvoir judiciaire chargé de rendre la justice pour tous en assurant la liberté de chacun ;

– une Cour constitutionnelle, juge de la constitutionnalité des lois, des traités, des accords internationaux et de la régularité des élections ;

– des collectivités locales au pouvoir réellement décentralisé, suivant les compétences qui leur sont dévolues ;

– enfin, celle que j’aurais dû citer en premier, le Président de la République, institution primordiale établie par la Constitution comme étant la clé de voûte de l’ensemble des institutions, parce que garante du fonctionnement régulier des pouvoirs publics et de la continuité de l’Etat.

J’ai fait ce rappel des principales institutions avec leurs attributions, pour que leur mise en place se fasse en tenant compte de l’ordonnancement du nouvel édifice institutionnel.

Le bon sens commande que l’élection présidentielle soit, après le vote de la nouvelle Constitution, le tout premier acte qui consacre l’entrée effective dans la nouvelle République. La césure entre les deux Républiques datera du jour de la prise de ses fonctions par le nouveau Président de la République.

A partir de ce jour-là, s’enclenchera la réorganisation de l’Etat ainsi que le processus de mise en place des nouvelles institutions prévues dans la Constitution du 25 octobre 2015.

Mes Chers Compatriotes,

Je comprends parfaitement votre volonté en même temps que votre exigence de voir s’instaurer, au plus vite, une nouvelle dynamique dans le pays, consécutive au vote de la nouvelle Constitution.

Accélérer la marche du Congo sur le chemin de son développement est un souci partagé par tous. Le renouvellement des institutions de la République participe de cette accélération.

Voilà pourquoi le conseil des ministres sera rapidement amené à convoquer le corps électoral plus tôt que prévu afin que l’élection présidentielle se tienne dans le courant du premier trimestre de l’année 2016.

Je voudrais ici faire remarquer qu’aux dires de l’ensemble des dirigeants politiques et participants aux diverses concertations organisées dans notre pays, tout a déjà été dit sur la gouvernance électorale. Il ne resterait plus qu’à mettre en œuvre, avec rigueur et un suivi conséquent, les recommandations ou les décisions issues des différents dialogues et concertations.

Dans cette perspective, j’ai demandé au ministre de l’intérieur d’élaborer un avant-projet de loi électorale qui définit de nouvelles dispositions sur la préparation, l’organisation et le déroulement des élections dans notre pays, en se conformant aux principales conclusions du dialogue national de Sibiti ainsi qu’aux recommandations des concertations et consultations qui avaient précédé ce dialogue.

Tous les partis et autres associations à caractère politique ont été invités à se joindre au ministre de l’intérieur dans le cadre de l’élaboration de l’avant-projet susmentionné. J’ai appris, avec satisfaction, que tous y ont répondu favorablement.

Dans les prochains jours, le Parlement sera saisi afin de donner à notre pays une nouvelle loi électorale. Notre souhait profond est qu’elle fasse l’objet d’un large consensus.

Pendant la période qui nous sépare de l’élection présidentielle, le gouvernement actuel continue d’assurer la charge des affaires de notre pays.

Ainsi, sans qu’il n’y ait eu rupture dans le fonctionnement de l’Etat ni flottement dans la vie de la nation, ceux qui auront la responsabilité de la mise en place de l’ensemble de l’édifice institutionnel, le feront conformément à l’esprit et à la lettre de la nouvelle République, en des délais raisonnables qui soient en nécessaire adéquation avec la légalité et la légitimité nouvelles portées par les nouvelles institutions.

Au bout de ce processus que je vous propose avec confiance, notre peuple aura, avec bonheur, achevé l’œuvre démocratique mise en chantier le 25 octobre 2015.

Vive la République !

Vive le Congo ! »

 

 

Togo… En Attendant La Démocratie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
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18 décembre 2015 5 18 /12 /décembre /2015 19:41

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  carteanime.gifPropos recueillis par Joan Tilouine :  Résultat de recherche d'images pour "LE MONDE"

 

Charles Zacharie BOWAO: « JE CRAINS QUE LE POUVOIR NE SOIT DÉBORDÉ PAR UNE INSURRECTION »

 

 

 

charles-zacharie-bowao

 

 

 

Ancien ministre de la défense de Denis Sassou Nguesso, Charles Zacharie BOWAO a rallié l’opposition après avoir démissionné du Parti congolais du travail (PCT, au pouvoir) en septembre. Depuis, il est l’un des chefs de file de l’Initiative pour la démocratie au Congo (IDC), qui rassemble les dissidents de la majorité présidentielle, alliée au Front républicain pour le respect constitutionnel et l’alternance démocratique (FROCAD). Cette alliance de circonstance a échoué à faire annuler la tenue du référendum sur le changement de Constitution qui s’est déroulé le 25 octobre 2015 et a ouvert la voie d’un troisième mandat présidentiel à Denis Sassou Nguesso. Après de longs mois à Paris, Charles Zacharie BOWAO, est de retour à Brazzaville Jeudi 17 décembre 2015.

Pourquoi décidez-vous de rentrer au Congo maintenant ?

Charles Zacharie Bowao Car je n’ai plus rien à faire en France. En tant que philosophe de formation, j’avais une mission à accomplir dans le cadre d’un partenariat universitaire. Je n’étais pas en exil. A Brazzaville, je vais reprendre mes cours à l’université Marien Ngouabi et continuer mes activités politiques et apporter ma contribution à la réflexion et aux actions de l’opposition pour sortir le pays de cette impasse.

L’opposition portée par l’IDC-FROCAD a multiplié les appels à la désobéissance civile et n’est pas parvenue à mobiliser massivement la population ni à empêcher la tenue du référendum sur le changement de Constitution. Considérez-vous que c’est un échec ?

Il faut comprendre que Denis Sassou Nguesso mène un coup d’Etat anticonstitutionnel qui est toujours en cours. Contrairement aux résultats annoncés (92,96 % de votes favorables et une participation de 72,44 %), le taux de participation n’a pas dépassé les 5 %. Le pouvoir de Denis Sassou Nguesso n’a plus de légitimité. Ce n’est plus qu’un président de fait.

Le peuple congolais a démontré sa capacité d’opposition et a boudé ce référendum. On s’attendait à ce que Denis Sassou Nguesso agisse comme un grand chef d’Etat capable d’être à l’écoute de son peuple. Il n’en fut rien. Et son obsession sécuritaire l’a mené à la répression de manifestants pacifiques. Dont acte.

Certains pointent une absence de véritable leadership au sein de cette opposition…

L’opposition, au moment de la tenue du référendum, était encore en train de se structurer. On a été, il est vrai, un peu surpris par l’usage de la force et les moyens mis en œuvre pour nous faire taire. Plus que l’absence de leadership, c’est bien l’obsession sécuritaire du président qui a bloqué toute mobilisation de l’opposition. J’en tire les leçons. L’IDC et le FROCAD aussi. Nous sommes la majorité républicaine et nous travaillons à une organisation plus cohérente, plus efficace.

A Pointe-Noire, des manifestants brandissaient des banderoles appelant à l’aide le général Jean-Marie Michel Mokoko, ancien chef d’état-major de l’armée pendant la conférence nationale de 1991 qui a mené au multipartisme et ancien chef de la force africaine en Centrafrique. Peut-il, selon vous, jouer un rôle d’union au-delà des logiques partisanes ?

Indéniablement, le général Mokoko, tout comme d’autres officiers, ont un rôle à jouer et leurs analyses de la situation comptent. Il y a au Congo des hauts responsables militaires et des cadres qui sont disposés à contribuer à œuvrer pour la démocratie. Je suis d’ailleurs en contact avec certains d’entre eux. Et il faut les intégrer à la réflexion sur cette question de leadership au sein de l’opposition, et plus généralement de l’alternance à Denis Sassou Nguesso.

Concrètement, quels sont les plans de l’opposition d’ici à l’élection présidentielle, prévue en juillet 2016 ?

Dans cette situation assez illisible, il me semble important de sortir de cette nébuleuse constitutionnelle. Cette crise paralyse le pays, aggrave la misère et excite les haines.

Notre feuille de route est claire. Revenir à la Constitution du 20 janvier 2002 qui empêche au chef d’Etat de briguer un troisième mandat. Et parvenir à un dialogue sur la gouvernance électorale pour la mise en place d’une véritable commission électorale indépendante selon les critères de l’Union africaine et des Nations unies. Sur ce dernier point, pouvoir et opposition sont d’accord.

Et si ce dialogue sur la gouvernance électorale n’aboutit pas ?

La communauté internationale a bien constaté que ce référendum s’est déroulé dans des conditions inacceptables. Et je crois savoir que des pressions sont mises sur le pouvoir en place. Je ne doute pas qu’un retour à la raison nous permette de sortir de cette logique de coup d’Etat. Autrement, je crains que le pouvoir ne soit débordé par une insurrection. On peut tous être débordé par cela. Le temps est court, mais je veux encore croire que le génie des Congolais peut faire des miracles.

Résultat de recherche d'images pour "LE MONDE" Joan Tilouine

 

 

 

Togo… En Attendant La Démocratie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
        
 

 

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18 décembre 2015 5 18 /12 /décembre /2015 19:34

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NOUVEAU BUREAU DE LA PLATEFORME IDC

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Togo… En Attendant La Démocratie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

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17 décembre 2015 4 17 /12 /décembre /2015 19:51

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André OKOMBI SALISSA : " QUE Monsieur Le DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO COMPRENNE, QU'IL EST EN FACE D'UN MUR, MAIS EN BÉTON ARMÉE "

 

 

 

 

André Okombi Salissa: "Que monsieur Sassou Nguesso comprenne, qu'il est en face d'un mur, mais en béton armé"

Congo: le président Denis Sassou-Nguesso limoge des ministresMur de soutènement en béton armé / modulaire / préfabriqué T Milbury

 

 

En dépit des vagues d'arrestations en son sein et des intimidations quotidiennes, l'opposition congolaise continue son combat "" Pour un Congo débarrassé de la dictature ". C'est le lmessage qu'a fait passer André Okombi Salissa hier après son élection comme président de l'IDC.

 

 

L'ancien collaborateur du DSN, ayant passé 15 ans au gouvernement, encore membre du PCT et en dissidence n'a pas usé de mots tendre pour qualifier la gouvernance de son ex mentor. "La barbarie et le gangsterisme que nous vivons aujourd'hui, est signe d'un bateau ivre naviguant dans des eaux troubles. L'abondance des biens ne nuisant pas dans leur conscience, sans honte et sans scrupule, ils gèrent le pays avec deux constitutions, mais, qui ni plus - ni moins, constitue en n'en point douté, la pire escroquerie du siècle entamé", déclare Okombi Salissa, s'adressant à ses amis de l'IDC. "Il serait urgent que monsieur Sassou Nguesso comprenne, qu'il est en face d'un mur, mais en beton armé. Le mur de Berlin est tombé sans coup férir", a t-il lancé d'un ton ménaçant.

 

Un bilan catastrophique

Profitant de sa nouvelle fonction en tant que président de l'IDC, André Okombi Salissa a fait le bilan des 32 ans de DSN à la tête du pays de Marien, en oubliant sans doute d'évoquer sa part de responsablité dans ce bilan chaotique.

"Monsieur Denis Sassou Nguesso a échoué largement en 32 ans de pouvoir sans limite. La litanie de cet échec ne peut être exhaustive : chômage des jeunes, système éducatif délabré, tissu social en berne, le système sanitaire embryonnaire, sinon inexistant à certains endroits de notre pays, une économie avec une croissance atone, tirée par le seul fait du brut, dont les revenus sont d'ailleurs confisqués par un clan - Une agriculture inexistante qui fait que le pays vit à 99% des importations alimentaires - ce qui est un danger sanitaire pour notre population. Une administration publique qui manque de tout - Une force républicaine qui n'en est que de nom...Des institutions travaillant sous ordre..." a assené Okombi Salissa.

 

 

 

Togo… En Attendant La Démocratie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
        
 

 

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 20:08

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  carteanime.gifAuteur : Charles Zacharie BOWAO

 

COMMUNIQUÉ DE PRESSE Paris, le 15 décembre 2015

 

CHARLES ZACHARIE BOWAO RÉAFFIRME LE SENS D’UNE GOUVERNANCE DÉMOCRATIQUE EFFICACE EN AFRIQUE CENTRALE ET ANNONCE SON IMMINENT RETOUR AU CONGO-BRAZZAVILLE 

 

 

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« L’efficacité des politiques publiques dépend beaucoup de la façon dont sont prises les décisions. Il est absolument nécessaire de mettre en avant l’intelligence collective des citoyens pour construire ensemble l’intérêt général et des perspectives de développement viables, durables et nécessaires au Congo-Brazzaville». Charles Zacharie Bowao A l’occasion d’une série de dialogues politiques pour l’Afrique Centrale lancée et organisée par l’Institut International IDEA, et dans le cadre spécifique du dialogue qui s’est tenu à Libreville les 14 et 15 décembre 2015 autour de la problématique « Comment renforcer la transition vers une gouvernance démocratique en Afrique Centrale ? », Charles Zacharie Bowao, ancien ministre de la Défense et membre fondateur de l’Initiative pour la Démocratie au Congo, a rappelé combien il est attaché à ce que la participation des citoyens aux décisions qui les concernent soit garantie. Dès ses débuts en politique, il n’a cessé d’œuvrer à l’orientation du dialogue politique du Congo-Brazzaville vers le chantier de la démocratie participative en réaffirmant les principes de libertés requises, de débats et de dialogue national, seul garant de la stabilité du pays. Comme il l’a déjà fait à différentes reprises, notamment dans ces deux lettres ouvertes adressées au président congolais Denis Sassou Nguesso en janvier et juillet 2015, Charles Zacharie Bowao a insisté sur la nécessite de se recentrer autour de valeurs communes, inaliénables et immuables sans lesquelles aucune perspective d’avenir durable et positive ne peut voir le jour. Dénonçant le contexte économique alarmant et la situation socialement explosive qui règne au Congo-Brazzaville, Charles Zacharie Bowao a expliqué que « le champ politique n’a pas pu être recomposé du fait de l’instrumentalisation ethnique du jeu politique lancée par le pouvoir depuis quelques années, rendant caduques les valeurs démocratiques si durement acquises. ». Ayant établi un état de siège qui ne dit pas son nom, le pouvoir clanique du président Denis Sassou Nguesso a apporté une paix aujourd’hui fragilisée par le funeste projet de confiscation du pouvoir qui est au cœur de la non constitution du 25 octobre 2015. « Plutôt qu’un choc de gouvernance, la république du Congo-Brazzaville subit aujourd’hui un choc de mal gouvernance, autrement dit un crime d’ingouvernabilité. » 2 Le dialogue à Libreville est l’occasion de réfléchir sur le défi du renforcement de la transition vers la gouvernance démocratique en Afrique centrale et au CongoBrazzaville en vue : § D’évaluer les réponses au problème qui ont été proposées par les gouvernements à ce jour, § D’explorer les voies et moyens de renforcer le lien entre gouvernance démocratique et développement dans la région, § De réfléchir sur les voies, moyens et mécanismes par lesquels les pays d’Afrique centrale pourraient réaliser l’objectif de promotion des démocraties de développement, § D’élaborer un programme d’actions pour divers acteurs de la démocratie, y compris dans les domaines nécessitant un renforcement des capacités et des connaissances approfondies de la dynamique en question. A cette occasion, Charles Zacharie Bowao a également annoncé son retour imminent au Congo-Brazzaville dans l’objectif de fédérer tous les acteurs de la classe politique, ceux de l’opposition traditionnelle comme les dissidents de la majorité présidentielle qu’il appelle à le rejoindre en nombre, autour de trois conditions intangibles pour renforcer la transition vers la gouvernance démocratique au CongoBrazzaville: § le respect de l’ordre constitutionnel du 20 janvier, § le retour des conditions nécessaires de libertés et la libération des différents congolais emprisonnés arbitrairement, § la mise en place de la gouvernance électorale sans attendre, dans la plus grande transparence et le respect des procédures applicables. Après l’échec des négociations ouvertes tant par l’ONU et son représentant Abdoulaye Bathily, que par l’Union Européenne, Charles Zacharie Bowao entend désormais contribuer depuis Brazzaville à la stratégie élaborée par l’alliance IDC/FROCAD qui souhaite aujourd’hui redynamiser cette stratégie et la réadapter à la réalité du terrain et aux attentes des Congolais. La désobéissance civile et citoyenne doit selon lui se poursuivre sans désemparer jusqu’à la mise en déroute effective du régime autocratique qui n’est plus en phase avec l’espérance collective, et ceux jusqu’au départ du Président Denis Sassou Nguesso, qui après plus de 30 ans cumulés au pouvoir, a atteint un point de non retour.
CHARLES ZACHARIE BOWAO

 

 

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au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
        
 

 

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 19:58

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Devant le DICTATEUR Denis Sassou Nguessou, le Président de la cour constittutionnelle de Guinée Kéléfa Sall met en garde Alpha Condé contre toute modification de la constitution

 

 

 

 

Congo/Guinée : Denis Sassou N’Guesso présent à l’investiture d'Alpha Condé

 

 

 

Le président de la Cour Constitutionnelle, Kéléfa Sall a mis en garde le président Alpha Condé contre toute tentative de modification de la constitution dans l’optique de briguer un troisième mandat à la tête de la Guinée. C’était à l’occasion de sa prestation de serment ce lundi 14 décembre.
Kéléfa Sall a été plutôt courageux ce lundi au palais Mohamed V où prêtait serment le président Alpha Condé. Devant une dizaine de chefs d’Etats africains dont Denis Sassou Nguessou du Congo qui a modifié sa constitution pour se maintenir au pouvoir, Me Sall a mis en garde le président Condé contre toute forme de modification de la constitution.
« Gardez-vous de succomber à la mélodie des sirènes révisionnistes car, si le peuple de Guinée vous a donné et renouvelé sa confiance, il demeure cependant légitimement vigilant», a-t-il conseillé.
En mai dernier, dans un entretient avec jeune Afrique, Alpha Condé répondant à une question à savoir si la limitation à deux mandat par la constitution guinéenne lui parait-il suffisant ? Il répondait
« La question est complexe. Les pays asiatiques ont fait des progrès économiques et sociaux considérables avec des dictatures. Aux pays africains, on demande de réaliser la même chose, mais avec des démocraties exemplaires, si possible parfaites.
L’ancien Premier ministre Mahathir, le père du miracle malaisien, qui est resté vingt-deux ans au pouvoir, ne m’a pas caché qu’il était hostile aux limitations de mandats : s’il avait dû partir au bout de dix ans, m’a-t-il dit, son pays ne serait jamais parvenu à de tels résultats. Il a raison. Mais son raisonnement ne tient que si l’on a affaire à un bon président. Conclusion : le débat est ouvert », disait-il.

Ne dit-on pas  que "qui s'assemble se ressemble".

Conakry, Fall BANGOURA pour la voix du Peuple

 

 

Togo… En Attendant La Démocratie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
        
 

 

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16 décembre 2015 3 16 /12 /décembre /2015 19:39

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  carteanime.gifAuteur: Paul MAKAYA

 

MESSAGE DE Paulin MAKAYA AU PEUPLE CONGOLAIS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
        
 

 

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13 décembre 2015 7 13 /12 /décembre /2015 11:08

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  carteanime.gifAuteur: Bienvenu MABILEMONO

 

LE PLAN DU DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO POUR VERROUILLER LES OPPOSANTS

 

 

 

 

 

 

 

Après Paulin Makaya, Okombi Salissa, Parfait Kolelas, Pascal TsatyMabiala, Pasteur Ntumi etc., bientôt aux arrêts
Dans la perspective de la présidentielle de 2016, Sassou ne lésine pas sur les moyens pour rempiler à la tête du Congo. Ses sécurocrates échafaudent déjà de sombres plans pour museler les plus récalcitrants des opposants dits radicaux : Okombi Salissa, Parfait Kolelas, Pascal Tsaty Mabiala, Pasteur Ntumi… Le cas Paulin Makaya étant déjà réglé.
En effet, le président du parti Unis Pour le Congo (UPC), a été mis aux arrêts, de façon éhontée, le 23 novembre dernier. Conduit manu militari au commissariat central, il a été finalement déféré à la Maison d’Arrêt une semaine après, au-delà des délais prévus par la loi. Aux dernières nouvelles, il est, entre autres, reproché au président de l’UPC de détenir illégalement des armes et d’avoir été à la tête d’une marche interdite par le pouvoir. Une histoire qui s’apparente à du déjà vu et entendu, notamment, la rocambolesque affaire dite de Jean Martin Mbemba. En ce qui concerne Paulin Makaya, la perquisition effectuée en toute illégalité par les services de police serait tombée sur deux vieux PMAK. Ce que rejette totalement la défense assurée par Maître Ambroise Hervé Malonga. « Il s’agit d’un grossier montage qui vise à justifier l’arrestation de mon client », s’en défend t-il. A ce titre, Paulin Makaya n’est-il pas victime d’une cabale ourdie par le pouvoir dans le seul but de le museler pendant la tenue de la présidentielle 2016, à laquelle Denis Sassou-N’guesso prendra sans nul doute part ? S’interrogent les fins limiers du droit.
L’histoire va-t-elle se répéter à l’approche des fêtes de fin d’année ?
Le but de toutes ces arrestations en vue, spécule-t-on, est de mettre knock out ces opposants, comme l’a appris à ses dépens le colonel Marcel Ntsourou. C’était un certain 16 décembre 2013. L’ex n°2 du conseil national de sécurité a été par ailleurs présenté comme le cadeau de fin d’année de Sassou à ses partisans. Mieux, une sévère mise en garde à l’endroit de ceux que le pouvoir considère comme « fauteurs de troubles ». L’histoire va-t-elle se répéter à l’approche des fêtes de fin d’année voire de la présidentielle de 2016 ?
Un plan de guerre conçu pour « sécuriser la présidentielle 2016
Selon certaines indiscrétions, une valse de questions alimentées par la rumeur brazzavilloise fuse de partout. « Devons-nous aller à la présidentielle en laissant libre le quarto considéré comme dangereux ? ». « Parmi les quatre, lesquels sont supposés être les plus dangereux ? ». « Faut-il arrêter les quatre ou les intimider afin qu’ils prennent la poudre d’escampette ? ». Autant de questions qui, semble-t-il, donnent l’allure d’un plan de guerre conçu pour « sécuriser la présidentielle 2016 », ainsi qu’aiment à le dire les milieux sécurocrates de Brazzaville. C’est donc dans cette optique que s’inscrit le plan, discrètement concocté, de mise aux arrêts de Parfait Kolelas, André Okombi Salissa, Pascal Tsaty Mabiala, du Pasteur Ntumi et autres.
Une formation rapide en guérilla urbaine
Avant d’en arriver là, Sassou, en fin stratège militaire, aurait discrètement envoyé en formation des éléments commis à sa garde et d’autres, à 100 Km de Brazzaville et à 2 Km de marche du village Lifoula, où ils suivent une formation rapide en guérilla urbaine auprès des instructeurs à la peau blanche. Cette formation, confie une source qui a requis l’anonymat, devrait renforcer les capacités opérationnelles des forces de sécurité pour parer à toute éventualité, au cas où l’arrestation d’un des leaders venait à se heurter à une résistance inattendue en pleine capitale.
Leur arrestation n’attendrait plus que le feu vert de qui de droit
Sur le plan judiciaire, des correspondances visant la levée d’immunité parlementaire d’Okombi, Kolelas et Tsaty Mabiala, seraient dans les tuyaux. D’autant qu’une information judiciaire concernant les trois députés aurait préalablement été bouclée, et n’attendrait plus que le feu vert de qui de droit, lequel n’aurait pas souhaité déclencher les hostilités avant son voyage parisien de la COP21.
L’étau se resserre autour du Pasteur Ntumi
Quant à Frederick Bitsamou, alias Pasteur Ntumi, une équipe de sécurité avancée suivrait à la loupe ses faits et gestes dans le département du Pool, notamment ses déplacements entre Soumouna et Mayama. Il est également dans la ligne de mire des sécurocrates du pouvoir de Brazzaville, qui ont pris pour coup de semonce son dernier déplacement dans la capitale congolaise, lorsque Ntumi est venu s’enquérir de la situation d’encerclement du domicile de Parfait Kolelas, qu’il considère comme le « vrai fils de feu Bernard Kolelas ». N’eût été l’apaisement qui a habité en ce moment-là Parfait Kolelas, on aurait assisté à l’apparition des Nsilulu (la milice du pasteur), aussi bien dans les quartiers Sud que Nord et Est de Brazzaville. D’ores et déjà, l’étau commence à se resserrer autour du président du CNR dont un proche collaborateur, un certain Jean Claude, a été appréhendé à l’aéroport international de Brazzaville, paraitrait-il, pour, « détention de documents séditieux et de recrutement des mercenaires aux fins de déstabilisation du Congo ». Dans l’entourage du Pasteur Ntumi, on s’en moque comme de l’an quarante en criant à la « machination politique digne d’un bon film russe des années 80 ».
Okombi Salissa serait la prochaine cible
A en croire nos sources, le président de la CADD, André Okombi Salissa,est dans la ligne de mire des services. Son nom circule avec insistance comme la prochaine cible. « C’est notre prochain cadeau de fin d’année 2015 », se satisfait, non sans sadisme, un officier de police qui a requis l’anonymat. Dans les environs de son domicile sis quartier centre-ville, à un jet de pierre de la chancellerie sud-africaine, des agents de sécurité, en civil, sont postés aussi bien de jour que de nuit. Ils épient tel un chat attend une souris, tous les faits et gestes du député de Lékana. Toutes les entrées et sorties du domicile d’André Okombi Salissa passent sous les fourches caudines des services de police.
Un permis de communiquer est désormais imposé aux journalistes
avant de s’introduire au domicile d’Okombi
Un journaliste du journal La Trompette, qui a voulu accorder une interview au président de la CADD, a été prié, par la police en faction, de rebrousser chemin illico presto, sinon il s’exposait, sans sommation, à une interpellation pour « complicité d’atteinte à la sureté d’Etat ». « Si tu veux aller chez Okombi, tu dois passer par la Direction générale de la police, auprès de laquelle tu introduiras une demande de permis de communiquer. Et si mon chef accède à ta demande, tu reviendras vers moi pour vérifier l’authenticité du document en ta possession, avant que je ne t’accorde le feu vert », a dit à brûle-pourpoint, un officier de police chargé d’aseptiser les environs du domicile d’Okombi.
Une zone dans laquelle un bandit ne prendrait pas le risque de s’aventurer
Selon certaines indiscrétions, il ne fait pas bon de se présenter comme visiteur du député de Lékana. Amis, parents et connaissances ont été, pour la plupart, appréhendés aussitôt après leur visite au président de la CADD. La rumeur brazzavilloise chuchote que plusieurs visiteurs d’Okombi Salissa seraient détenus. Vrai ou faux ? Toujours est-il que toutes nos tentatives tendant à vérifier cette information auprès des services habilités ont été vaines. Une chose est sûre, la zone d’habitation d’André Okombi Salissa est devenue, après la présidence de la République, la deuxième zone la plus surveillée de Brazzaville. Une zone dans laquelle un bandit de grand chemin ne prendrait pas le risque de s’aventurer.
Maradi, homme de main d’Okombi, est tombé dans les mailles du filet policier
Dans la même veine, les hommes de main du président de la CADD se plaignent d’être traqués. Maradi, l’un d’eux, a été pris comme un poulet, à 50 mètres du domicile de son patron. Selon un témoin, une de ses copines aurait été préparée par les hommes de Jean François Ndengue. L’astuce, argumente le témoin oculaire, a été d’utiliser la fille comme appât pour le sortir du domicile du président de la CADD. Selon des informations dignes de foi, le bras droit d’André Okombi Salissa, plus connu sous le nom de Maradi, a été cueilli à froid par une pluie de coups de poings et autres traitements dégradants. Lesquels ont failli le conduire de vie à trépas.« Lorsqu’il nous a été déposé au poste de police du commissariat central dans un état jugé critique, nous avons décliné toutes responsabilités », argumente, sous couvert d’anonymat, un témoin oculaire. « C’est donc sur ces entrefaites que Maradi a été interné à l’hôpital militaire Pierre Mobengo, sous le regard foudroyant de ses gardes de corps peu ordinaires, avant d’être reconduit au commissariat central », croit savoir une source digne de foi.
Pourquoi donc le pouvoir, malgré la tenue de « son » référendum controversé, accuse des signes d’énervement ? « Il s’agit ni moins ni plus que d’une stratégie de la jungle où les félins les plus puissants dévorent les plus petits, et édictent leurs lois à l’ensemble de la réserve animalière », commente un politiste congolais. Le but de ces arrestations, étant de prendre l’un après l’autre, afin d’isoler André Okombi Salissa. Ce qui permettra alors aux services de sécurité de l’appréhender sans le moindre coup de pétard.
La stratégie d’isolement d’Okombi Salissa est en marche
Avant de mettre Okombi Salissa sous clés, les services ont conçu un plan qui consiste à isoler le président de la CADD. C’est dans cette optique que l’écurie de Marcellin Elenga, ancien homme de main du député de Lékana, a publiquement renié son désormais ex mentor. Pour la circonstance, c’est le général de division Pierre Oba qui a été mis à contribution par Sassou. Il en est de même d’un certain Purhence, qui était chargé de la mobilisation dans les quartiers Nord. Selon certaines indiscrétions, il aurait finalement fait allégeance au pouvoir contre espèces sonnantes et trébuchantes. D’autres proches d’André Okombi Salissa, alias Tout-Bouge, sont dans le viseur des services. C’est par exemple le cas de Kossaloba, Augustin Kalakala…
Sassou veut tenir en respect tous ceux qui osent lever le petit doigt pour le braver
Ainsi qu’on le constate, les grandes oreilles et les loupes et les jumelles des services sont braquées sur le député de Lékana. « Il faut à tout prix le mettre aux arrêts avant la présidentielle à laquelle Sassou sera l’omnipotent candidat à sa propre succession », croit savoir un proche d’Okombi Salissa. Par ces actes qui puent abondamment la politicaillerie voire le gangstérisme politique, c’est-à-dire la raison du plus fort, Sassou, de l’avis d’un exégète de la politique congolaise, voudrait tenir en respect tous ceux qui osent lever le petit doigt pour le braver. Ces arrestations en vue se passeront-elles comme une lettre à la poste, c’est-à-dire sans dégâts collatéraux ?
 
 

 

ON S'ACHEMINE VERS LA FIN DU PETROLE

 

                                       

 

La fameuse COP21 s'achève ce soir et on s'achemine vers un accord universel limitant à 1,5 C degrés les émissions de CO2 (gaz à effet de serre). Cela signifie qu'il nous reste 10 ans pour en finir avec la production des énergies fossiles de type pétrole, gaz et charbon. Dans ce cas, les grandes Majors (Exxon Mobil, BP, Total, ENI) devraient convoquer rapidement une réunion de leur conseil d'administration. 
Quant à nous Congolais, cela est lourd de conséquences et cela permettra surtout de réaliser à quel point les années de mauvaises gestion très opaque du piètre, médiocre et complexé vieux dictateur sanguinaire et corrompu Denis Sassou Nguesso auraient été un vrai gros gâchis pour le Congo.

 

 

 

 

 

Togo… En Attendant La Démocratie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
        
 

 

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13 décembre 2015 7 13 /12 /décembre /2015 10:15

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  carteanime.gifAuteur: CADD

 

APRES Paulin MAKAYA  LE SECRETAITAIRE GENERAL DE LA CADD  Alain Marius NGOYA KESSY DANS LES GEOLES DU DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

 

 

 

 

 

 

 

Le Secrétaire Général de la CADD, le Docteur Alain Marius NGOYA KESSY a été enlevé aujourd'hui à 16 heures en compagnie du chauffeur du Député de Lékana André OKOMBI SALISSA, le nommé Pascal Nzonzolo, du petit frère du député Paterne Kidzie et d’un gardien, Darma KOUBA. 

Les quatre personnes venaient de sortir du domicile du Député de Lékana, leur véhicule a été poursuivi par une BJ non immatriculée transportant des "miliciens" de Ndenguet en armes. Ces miliciens ont arrêté leur véhicule et ont emmené manu militari Alain NGOYA et ses compagnons vers la DGST.

Il est à signaler que les domiciles du coordonnateur de la CADD, Nicolas KOSSALOBA et du coordonnateur adjoint, Augustin KALLA KALLA sont systématiquement visités de nuit par la police politique.

Nous invitons les militants de la CADD et ceux de l'IDC - FROCAD de ne pas céder à la panique et de rester "confiant" sur l'objet de notre lutte républicaine. Toute cette machination n’a qu’un seul objectif : Pousser le député à la faute afin de procéder à son arrestation comme ce fut le cas avec Marcel Ntsourou.

Notre lutte pour un Congo Meilleur est Juste et Noble. Quelque soit la persécution, le péril et la tyrannie, l'issue de notre lutte pour un Nouveau Congo sera "Victorieuse". 

 

 

 

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Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

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La Voix Du Peuple

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POUR UN CONGO LIBRE ET DEMOCRATIQUE

 

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      VISITEURS                           
         VISITEURS                               

 

 fl8.jpg EDITORIAL                                               

 

 

Nous avons tous  été confrontés un jour ou l’autre à un fait  choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.

Mais  désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant

soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des

problèmes qui nous rongent.

La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du  grand nombre dans la

dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu,  qui poseraient

des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :

           -des abus de tout genre ;

           -des injustices vis-à-vis des plus faibles ;

           -des scandales économiques, politiques, judiciaires…

La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.

La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps

comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons,  grâce  à elle, à

atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les

invulnérables.

Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les

enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des

agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :

           -des propos indélicats ; 

           -du culte de la division ;

           -des accusations affamantes ;

           -des observations désobligeantes ;

           -des contre vérités…

Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera

purement et simplement écarté.

email2.gifNous contacter :

dpeuplelavoix@yahoo.fr  

 

 

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  Le symbole de la liberté

  

         Non à la dictature

    

   

   

 

      L' INCORRUPTIBLE       

     Légende d'Afrique

  

  

 

       La colombe de la paix et de l'esperance

        

 

 

 

         Non à l' omerta

   

 

 

BONGO - CHIRAC - SASSOU les principaux acteurs

du coup d' Etat sanglant du 5 Juin 1997 au Congo Brazzaville

   

   

 

 

 

  Pour une Jusitce transparente et équitable

  

 

     

 

   

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  undefinedAu pillage des richesses en Afrique

 

 

    Capture

     Kwame NKRUMAH

   

 

        Emery Patrice LUMUMBA

   

 

  Alphonse MASSAMBA - DEBAT

          

 

  

        Marien NGOUABI

       

 

        Cardinal Emile Biayenda

  

             Thomas SANKARA

  

          drapeau des états unis

       Martin Luther KING

  

 

    

   

 

       Mahatma GANDHI

   

 

         Nelson MANDELA

    

 

          John Fitzgerlald KENNEDY  

    

 

       

 

   Pour une alternance démocrtique au Congo

     

     à la santé des Biens mal acquis  

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                              drapeau france

    

                          Le TonTon

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           Un grand et un petit

   

 

 

         

                   Non à la chasse à l' homme

        

 

     

      

 

        

 

                

   

 

     

 

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               La métamorphose

      

 

           

            La tour de contrôle

      

 

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         billet 500 euros

           portefeuille dollard

        

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        Aux massacres

        

 

            

         Des jeunes patriotes Ivoiriens tombés sous les bales

        

 

   Bombardement  de la résidence de Laurent GBAGBO

                          

       Des hélicoptères ont bombardé la résidence de Laurent Gbagbo.

 

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     Le  chemin  d' avenir, le chemin sans issue

                  

            

 

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      L'eau une denrée rare à Brazzaville, pourtant vitale

      

 

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                          Le fleuve Congo

        

     Le bord du fleuve Congo à Brazzaville pourtant les habitants manquent cruellement l' eau potable

         

 

       

 

                    

 

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