CÔTE D'IVOIRE : A NIAKARA KONÉ KATINAN DEBALLE TOUT SUR L'AFFAIRE DE LA BCEAO
Le Président Laurent Gbagbo est élu et prête serment le 4 décembre 2010. Le 5 décembre, il me nomme au gouvernement en me confiant le porte-feuille du budget. Et dans le contexte difficile, il fallait que je me montre digne de la confiance du Président. C'est dans ce contexte difficile que les vrais adversaires ont commencé à manœuvrer pour asphyxier la Côte d'Ivoire. Parce que nous utilisons une monnaie contrôlée par la France, notre banque centrale est contrôlée par la France. Cette France là avait son candidat. C'est elle qui, ne voulant pas du Président Laurent Gbagbo, avait commencé à manœuvrer.
Le 14 avril 2011, soit trois jours après notre chute, le Président Ouattara prend une ordonnance pour dire qu'il ne reconnaît pas les actes pris par le gouvernement Laurent Gbagbo pendant les 4 mois de la crise post-électorale. C'est sur la base de cette ordonnance qu'on dit que, ce qui a été fait pendant cette période est illégal. Mais cette ordonnance est elle-même illégale.
En Côte d'Ivoire, il y a trois pouvoirs: le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif et le pouvoir judiciaire. Et la Constitution a séparé les domaines de compétences. Il arrive que, pour des questions relevant du pouvoir législatif, la Constitution autorise le Président de la République à demander l'autorisation à l'Assemblée Nationale pour prendre une décision qui relève de la compétence des députés.
C'est le cas de l'ordonnance. Cette autorisation s'appelle la loi d'habilitation. Mais en avril 2011, c'est quelle Assemblée nationale qui existait ici et qui pouvait prendre une loi d'habilitation? Donc si une ordonnance est prise, elle est illégale. On me rétorque alors qu'on a agi sur la base de l'article 48. C'était la totale.
Parce que l'article 48 que le Président Laurent Gbagbo avait prise pour permettre qu'Alassane Ouattara soit candidat à la présidence de la République obéit à des conditions. La première, c'est de consulter le président du Conseil constitutionnel. A cette époque, c'était Yao N´Dré. Le 14 avril, il était déjà au Ghana donc il n' a pas été consulté. La deuxième condition, l’Assemblée nationale se réunit de plein droit.
Le 14 avril, il n'y avait pas de parlement. Troisièmement, le Président de la République fait une adresse à la Nation. Ce qui n'a pas été le cas. Donc évoquer l'article 48 pour dire que cette ordonnance est légale ne prospère pas. Cette ordonnance est fausse . Et si elle est fausse, tout ce qui suit est faux.Nous avons fait fonctionner l'Etat selon les règles de la comptabilité publique.
On est obligé de dire les choses telles qu'elles sont. Il n'y a jamais eu de vol encore moins de détournement. La BCEAO a commis trois audits. Et tous sont arrivés à la Conclusion que la BCEAO n'a pas été volée. Un audit par la BCEAO elle-même, un par le trésor français et un par un cabinet extérieur. Il sont arrivés à la même conclusion.
En 2012, le conseil des ministres qui est chargé d'agréer les comptes de la BCEAO a fait un audit avec la même conclusion.Alors, d'où sort qu'on traite votre enfant de voleur. Je ne peux pas accepter ça. Si moi je n'ai pas volé, le président Laurent Gbagbo n'a pas volé. Parce qu'on a été jugé, moi j'étais l'auteur principal, le président Laurent Gbagbo, le premier Ministre Aké Ngbo et Désiré Dalo ont été condamnés comme les complices. Nous avons bénéficié d'une loi d'amnistie sauf le Président Laurent Gbagbo.
LES PRISONNIERS POLITUQES AU CONGO BRAZZAVILLE
EDITORIAL
Nous avons tous été confrontés un jour ou l’autre à un fait choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.
Mais désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant
soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des
problèmes qui nous rongent.
La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du grand nombre dans la
dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu, qui poseraient
des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :
-des abus de tout genre ;
-des injustices vis-à-vis des plus faibles ;
-des scandales économiques, politiques, judiciaires…
La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.
La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps
comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons, grâce à elle, à
atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les
invulnérables.
Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les
enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des
agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :
-des propos indélicats ;
-du culte de la division ;
-des accusations affamantes ;
-des observations désobligeantes ;
-des contre vérités…
Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera
purement et simplement écarté.
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