Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 18:58

 

  

 

 

 

  Auteur : 

 

 

CONGO BRAZZAVILLE - RCA : LA FACE CACHÉE DE L'ACTIVISME DE Denis SASSOU N'GUESSO DANS LA CRISE EN CENTRAFRIQUE

 

   

 

 Denis SASSOU N' GUESSO 

 

          

   

            François BOZIZÉ , le 30 Décembre 2012 à Bangui 

                                                    Le président centrafricain François Bozizé, à Bangui, le 30 décembre 2012. 

 

Les Rebelles de la SELEKA

     

 

 

   

 

Selon nos informations, c’est pratiquement Denis Sassou N’Guesso qui dirige actuellement le Centrafrique depuis son palais du Plateau, à Brazzaville. Il est informé minute par minute de l’évolution de la situation à Bangui. Et pas plus tard qu’hier, François Bozizié lui a téléphoné pour lui annoncer que la base arrière des rebelles était coupée et qu’ils vont bientôt manquer de minutions et de nourriture. Mais cette information a été démentie par notre contact sur place qui affirme au contraire que les rebelles continuent de progresser, de gagner du terrain et ont même pris le contrôle de deux nouvelles villes du pays.

 

Denis Sassou N’Guesso est le Grand-Maître de François Bozizié, c’est lui qui l’a initié à la Franc-maçonnerie. Denis Sassou N’Guesso a donc une très grande emprise sur François Bozizié. À ce titre, c’est lui qui tire les ficelles, prend toutes les décisions et dicte à son filleul la conduite à tenir. C’est par exemple sur ses conseils avisés que François Bozizié a annoncé publiquement qu’il ne se représentera pas aux élections en 2016 et appelé aux négociations.

 

Sur ce point, le plan de Denis Sassou N’Guesso est simple : Faire entrer l’opposition au gouvernement, ensuite mettre à profit les deux ou trois prochaines années pour bien contrôler ce gouvernement en arrosant tous les opposants à coup de milliards et les discréditer auprès de la population ; ce qui permettra alors à son filleul de reprendre définitivement la main. Ainsi, comme il dit lui-même que « les africains oublient vite », il aura roulé tout le monde dans la farine et son filleul sera alors en ce moment là en situation de modifier tranquillement la Constitution pour se représenter en 2016.

 

Denis Sassou N’Guesso est donc au centre de tout dans cette crise en Centrafrique. Pour préparer les futures négociations, c’est encore lui, Denis Sassou N’Guesso, qui a dicté à Bozizié les arguments chocs à fourbir en vue des pourparlers qui devraient prochainement s'ouvrir à Libreville, au Gabon. Comme il sait que les occidentaux ont une peur noire des islamistes, alors il a décidé de jouer sur cette corde sensible en conseillant à son filleul d’accuser la rébellion Séléka d'être majoritairement composée de terroristes Islamistes qui ont participé aux guerres du Tchad, du Soudan et de Libye, et qui prêchent un islam rigoriste voisin du salafisme.

 

Et pour mieux étayer cette thèse islamiste et la rendre plus crédible, il a également émis des interrogations sur les sources de financement des rebelles en accusant insidieusement l’Arabie Saoudite et le Qatar d’être les principaux pourvoyeurs de fonds de la rébellion Séléka.

 

En effet, Sassou N’Guesso sait que depuis la chute du mur de Berlin et la fin de la guerre froide, la propagation de l’islamisme fondamentaliste est devenue la principale hantise des occidentaux et, en brondissant la menace islamique, la France va automatiquement revoir sa position vis-à-vis des rebelles du Séléka. Ce d’autant plus qu’il n’a pas échappé au dictateur congolais que depuis l’arrivée de François Hollande à l’Elysée, seuls deux de ses camarades dictateurs endurcis, le Burkinabé Blaise Compaoré et le Tchadien Idriss Deby, continuent d’être dans les bonnes grâces de la France à cause justement de leur rôle dans la lutte contre les Islamistes armés postés dans le Nord du Mali.  

 

Mais en jouant sur cette fibre de la peur de l’islam, en se montrant opportunément anti-islamiste, en accusant insidieusement l’Arabie Saoudite et le Qatar de financer la rébellion Séléka et de vouloir islamiser la sous-région de l’Afrique Centrale, Sassou N’Guesso semble avoir oublié qu’il a lui-même permis l’installation des mosquées au Congo à la demande de l’Emir du Qatar en échange de la construction d’un centre commercial à Brazzaville.   

 

Nous demandons à François Hollande et à la France de ne pas tomber aveuglement dans ce piège que leur tend Sassou N’Guesso. La France dispose en effet de services de renseignements très efficaces capables d’obtenir les bonnes informations sur la composition et la nature réelles de la rébellion Séléka.

 

Il ne faut surtout pas oublier que Sassou N’Guesso a toujours usé de la ruse et du mensonge pour se sortir de situations difficiles. Chaque fois qu'il rencontre une difficulté, il a toujours su toucher la corde sensible et jouer sur les peurs pour retourner la situation en sa faveur et reprendre la main. C'est de la même manière que pendant la guerre de 1997, pour obtenir le soutien de Dos Santos, il avait brondi la menace que faisait planer sur l’Angola la latitude qu’aurait laissée Pascal Lissouba à l'UNITA (Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola) de Jonas Savimbi et au Front de libération de la province de Cabinda (FLEC) d'utiliser le territoire du Congo comme base arrière de leurs entreprises de déstabilisation de l'Angola ; ce qui avait alors valu à son adversaire l'hostilité affirmée de Dos Santos.

 

Denis Sassou N’Guesso veut à tout prix faire échouer l’assaut final des rebelles Séléka sur Bangui. En fait derrière son activisme dans cette crise en Centrafrique, Denis Sassou N’Guesso a d’autres préoccupations plus personnelles. Il perçoit derrière cette crise les signes avant-coureur d'une vague qui va s’étendre à l’ensemble de la sous-région de l’Afrique Centrale et qui risque de l’emporter. En volant au secours de son filleul, Bozizié, il joue avant tout son propre avenir car il a très peur des Likoualiens qui pourraient se servir de Bangui comme base arrière pour déstabiliser son pouvoir. D’où son activisme dans cette crise en Centrafrique.

En vérité, Sassou N’Guesso a un gros différend avec les Likoualiens. À l'origine, un vieux contentieux entre Sassou N’Guesso et Yves Motando qui a dégénéré au début des années 1970 et qui a connu une tournure beaucoup plus dramatique depuis la fin de la guerre de 1997. 

 

Tout commence en 1972. Informé que Ange Diawara et ses camarades préparaient un coup d’état, le 19 février 1972 Sassou N’Guesso abandonne ses camarades Motando, Issambo et autres et part rejoindre le Président Marien Ngouabi à Pointe-Noire. Le 22 février, lorsque Diawara et ses camarades font leur putsch, Sassou N’Guesso est donc à Pointe-Noire, très loin de ses camarades du régiment para-commando. Motando qui ne supporte pas cette attitude de lâche, n’a plus jamais marché avec Sassou N’Guesso et ne l’a plus jamais accepté comme chef, le traitant de "poltron", et depuis cette date, entre Motando et Sassou N’Guesso, l'inimitié et la haine étaient à jamais déclarées.  

 

On comprend alors très aisément pourquoi Sassou N’Guesso avait tenté de faire porter la responsabilité de l’assassinat du Président Marien Ngouabi à son ennemi juré, Motando, en 1977, et pourquoi il l’avait fait radier de l’armée aussitôt après son coup d’état contre Yhombi, le 05 février 1979. Motando avait soutenu Yhombi en 1979 et quand Sassou N’Guesso gagne, il le frappe en le radiant de l’armée.  

 

Ensuite, Motando qui avait été entretemps réhabilité par la conférence nationale, en 1991, était nommé commandant de zone à Dolisie, en 1992, par Pascal Lissouba, qui le connaissait très bien par l’entremise de son épouse Likoualienne Dibébéké. Mais pour avoir ouvertement critiqué la nomination du général Mabika au poste de Chef d'État Major Général des Forces Armées Congolaises, Motando sera finalement relevé par ce dernier de ses fonctions de commandant de zone et se retrouvera au chômage.

En fait, depuis les années 1970, Motando avait gardé une très mauvaise image de Mabika à cause de son attitude indigne pendant la lutte contre les incursions des indépendantistes cabindais des FLEC (Forces de Libération de l’Etat du Cabinda, le groupe armé qui se bat pour l’indépendance du Cabinda, une enclave angolaise) sur le territoire congolais pour saboter la voie de réalignement du CFCO qui était en construction. Mabika se faisait toujours malade et n’était jamais sur le terrain des opérations avec les autres.  

Pour Motando, un tel officier n’avait donc ni l’étoffe ni les qualités requises pour occuper le poste de Chef d'État Major Général des Forces Armées Congolaises.

 

C’est ainsi que quand la guerre éclate, en juin 1997, Motando est au chômage et sera approché par ses frères Likoualiens, notamment par Mamadou Decamo Kamara pour qu’il les rejoigne aux cotés de Sassou N’Guesso puisque personne parmi les officiers qui étaient avec Sassou N’Guesso n’avait accepté de prendre le commandement des opérations. Sachant que Motando ne marcherait pas avec Sassou N’Guesso, Decamo Kamara lui demandera alors de poser ses conditions.

 

La rencontre entre Sassou N’Guesso et Motando aura lieu à Oyo, au cours de laquelle les deux « frères ennemis jurés » passeront un marché. Motando accepte donc de prendre le commandement des opérations et en contrepartie il demande à Sassou N’Guesso de lui payer la somme d’1 milliard de francs CFA et exige le versement d’une avance de 500 millions. Sassou N’Guesso accepte mais ne lui verse ce jour-là que la moitié c’est-à-dire 250 millions de francs CFA.

   

Voilà donc comment Motando va se retrouver aux cotés de son ennemi juré Sassou N’Guesso pendant sa guerre contre Pascal Lissouba, en 1997. Mais dans l’esprit de Sassou N’Guesso les choses étaient très claires : à ses yeux Motando n’était à ses cotés que comme un mercenaire à qui il devra s’acquitter de son solde dû une fois la guerre terminée. Contrairement donc à Motando, son allié de circonstance, Sassou N’Guesso n’est pas bête et il sait jouer. Il n’a pas confiance en Motando mais il a besoin de ses services.

Ainsi donc Sassou N’Guesso avait très vite compris qu’il allait avoir Motando et ses frères Likoualiens comme une épine sous le pied. Car il ne voulait pas avoir à partager son pouvoir avec ces gens de la Likouala qu’il avait pris à ses cotés comme de simples mercenaires. Dès lors il n’avait plus qu’une seule idée en tête : s’employer à affaiblir les Likoualiens et pour cela il lui fallait absolument mettre une ceinture tout autour de la Région de la Likouala.

Après sa victoire, il nomme Motando Chef d'État Major Général des Forces Armées Congolaises et il n’oublie pas de lui payer sa dette (il verse à Motando un premier paiement de 750 millions de francs CFA puis deux autres paiements de 500 millions). Une fois qu’il lui a payé la totalité de son solde dû, il l’a immédiatement écarté de ses fonctions de Chef d'Etat-major Général pour en faire son Chef d’Etat Major particulier afin de bien le surveiller.

 

Mais pour bien affaiblir les Likoualiens, Sassou N’Guesso va surtout s’appuyer sur Henri Djombo qu’il va instrumentaliser. Et c’est Jean-Marie Tassoua qui avait très vite compris le jeu trouble de Sassou N’Guesso et prévenu ses frères Likoualiens qu’il fallait agir vite sinon « le serpent allait les mordre », qui était le premier à être écarté du gouvernement après la guerre.

 

Depuis, Yves Motando et Ambroise Edouard Noumazalaye sont décédés dans des conditions suspectes comme François-Xavier Katali avant eux.

 

Charles Zacharie Bowao vient d’être écarté du gouvernement et humilié en lui faisant porter le chapeau dans une affaire aussi grave que celle des explosions du 04 mars 2012. Sans oublier le traitement infligé à d’autres Likoualiens comme Alain Moka, Decamo Kamara et autres. Quant aux généraux Essongo et Mokoki, ils sont subtilement écartés du haut commandement militaire pour les affaiblir avant de s’en débarrasser définitivement. 

 

Redoutant une rébellion Likoualienne menée à partir du territoire de la République Centrafricaine voisine, Denis Sassou N’Guesso va alors instrumentaliser François Bozizié pour mettre une ceinture tout autour de la Région de la Likouala. Sa stratégie consiste à éviter à tout prix que le Centrafrique ne devienne la base arrière d’une éventuelle rébellion Likoualienne contre son pouvoir.

En vérité, Denis Sassou N’Guesso a bien conscience qu’aujourd’hui, il n’a plus aucun véritable soutien dans toutes les régions du Nord du pays qui était longtemps considéré, à tort ou à raison, comme son fief naturel. Il a réussi à se mettre tout le monde à dos et il fait aujourd’hui l’unanimité  contre lui chez les Tékés, les Likoualiens, les Kouyous, les ressortissants de la Sangha etc... Denis Sassou N’Guesso est donc bel et bien aujourd’hui un homme seul, replié sur sa famille et son ethnie Mbochi.

Voilà donc pourquoi il veut à tout prix faire échouer l’assaut final des rebelles du Séléka sur Bangui qui pourrait devenir demain la base arrière d’une coalition rebelle des Likoualiens, Tékés, Kouyous, ressortissants de la Sangha... contre son pouvoir.

   

 «Un dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le peuple ne relève pas le défi » 

 

Pour une République Juste & Démocratique, Vous Trompez le Peuple Nous dénonçons 

   

     

Partager cet article
Repost0

commentaires

La Voix Du Peuple

  • : Le blog de la voix du peuple
  • Contact

POUR UN CONGO LIBRE ET DEMOCRATIQUE

 

2013 marketing trends 

 

                              petit gif animé clown qui jongle

 pub_top.gif

     

                                     

             

      VISITEURS                           
         VISITEURS                               

 

 fl8.jpg EDITORIAL                                               

 

 

Nous avons tous  été confrontés un jour ou l’autre à un fait  choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.

Mais  désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant

soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des

problèmes qui nous rongent.

La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du  grand nombre dans la

dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu,  qui poseraient

des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :

           -des abus de tout genre ;

           -des injustices vis-à-vis des plus faibles ;

           -des scandales économiques, politiques, judiciaires…

La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.

La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps

comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons,  grâce  à elle, à

atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les

invulnérables.

Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les

enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des

agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :

           -des propos indélicats ; 

           -du culte de la division ;

           -des accusations affamantes ;

           -des observations désobligeantes ;

           -des contre vérités…

Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera

purement et simplement écarté.

email2.gifNous contacter :

dpeuplelavoix@yahoo.fr  

 

 

CONGO.jpg-1.jpg

   

  Le symbole de la liberté

  

         Non à la dictature

    

   

   

 

      L' INCORRUPTIBLE       

     Légende d'Afrique

  

  

 

       La colombe de la paix et de l'esperance

        

 

 

 

         Non à l' omerta

   

 

 

BONGO - CHIRAC - SASSOU les principaux acteurs

du coup d' Etat sanglant du 5 Juin 1997 au Congo Brazzaville

   

   

 

 

 

  Pour une Jusitce transparente et équitable

  

 

     

 

   

  carteanime.gif

 

  undefinedAu pillage des richesses en Afrique

 

 

    Capture

     Kwame NKRUMAH

   

 

        Emery Patrice LUMUMBA

   

 

  Alphonse MASSAMBA - DEBAT

          

 

  

        Marien NGOUABI

       

 

        Cardinal Emile Biayenda

  

             Thomas SANKARA

  

          drapeau des états unis

       Martin Luther KING

  

 

    

   

 

       Mahatma GANDHI

   

 

         Nelson MANDELA

    

 

          John Fitzgerlald KENNEDY  

    

 

       

 

   Pour une alternance démocrtique au Congo

     

     à la santé des Biens mal acquis  

        hautbma.jpg

   

                              drapeau france

    

                          Le TonTon

       undefined

 

           Un grand et un petit

   

 

 

         

                   Non à la chasse à l' homme

        

 

     

      

 

        

 

                

   

 

     

 

       ststop.gif   

 

        sujets-interdits.jpg     

 

          CAF7X9TP.jpg

 

          

               La métamorphose

      

 

           

            La tour de contrôle

      

 

       CALV3Y6Z.jpg      

 

       CARELW57.jpg   

 

       CARTE-CONGO.jpg

 

       medium_sassou-hu-jintao-congo-chine.jpg

 

       FORET-EN-DANGER.gif  

 

        pillards.jpg

 

       le-pillage-des-for-ts-du-congo1.jpg  

 

 

  

 

   

 

       CAG9I7CH-copie-1.jpg

                 

 

                   

                

          

 

         billet 500 euros

           portefeuille dollard

        

                        undefined

 

 

 

                       gif carte mastercard

        Aux massacres

        

 

            

         Des jeunes patriotes Ivoiriens tombés sous les bales

        

 

   Bombardement  de la résidence de Laurent GBAGBO

                          

       Des hélicoptères ont bombardé la résidence de Laurent Gbagbo.

 

        AFRIQUE-LIBERATION.gif

 

        afrique-au-secours.jpg

 

        CRISE.gif

            

                    

     Le  chemin  d' avenir, le chemin sans issue

                  

            

 

      voie-sans-issu-la-d-silusion-du-chemin-d--avenir-copie-1.jpg

      L'eau une denrée rare à Brazzaville, pourtant vitale

      

 

        eau7.jpg

 

        

                          Le fleuve Congo

        

     Le bord du fleuve Congo à Brazzaville pourtant les habitants manquent cruellement l' eau potable

         

 

       

 

                    

 

        arton42-100x29

 

        logo_lexpress.gif

 

        Leparisien

 

        nouvelobs

 

         butin azuréen

 

         rue89_logo1.jpg

 

 

        Logo Mafia

 

        corruption menottes

        Révélations effarantes de John Perkins ancien assassin économique

        JohnPerkinsCourage824

 

        arnaques.jpg

 

        france2

        Le Grand Journal...

 

        canal +

 

            

 

       

 

      

 

       

 

       

 

        

 

       

       

 

       

          

          DES FEMMES ATYPIQUES

 

           

 

           

              

        

 

       

 

           

            congo-brazza1

       Ou est le serieux

            mammamia

 

            aubout

 

            sassou dictateur-copie-1

 

                  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            

 

      

  Gold Man sachs - LA BANQUE QUI DIRIGE LE MONDE

 

     

     

      News

 

          Le malheur des congolais

 

     

      

        

     

 

 

 

 

 

 

 

      

     

 

Recherche

Texte Libre

Catégories