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GABON : QUELLE EST LA CAUSALITÉ ENTRE LE COMMONWEALTH ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ?
Cette vaste politique de développement économique menée par le Gabon depuis une décennie s’est également accompagnée de grandes réformes administratives, mais aussi juridiques et fiscales, visant à faciliter la création d’entreprise et à améliorer le climat des affaires. De nombreuses mesures ont ainsi été mises en œuvre, et en particulier depuis 2019, telles que la création d’un guichet numérique à l’investissement (GNI, ayant notamment permis de réduire le délai moyen de création d’une entreprise de 30 jours à 3 jours seulement, ainsi que les coûts indirects), la réduction du délai d’obtention d’un permis de construire de 90 à 15 jours, la réduction du délai de raccordement au réseau électrique de 75 jours à 30 jours, ou encore l’abaissement considérable du montant du capital minimum nécessaire à la création d’une Sarl, passé de 100 mille à seulement 5 mille francs CFA.
Ces réformes spectaculaires, non encore prises en compte par tous les classements internationaux en matière de climat des affaires, commencent elles aussi à contribuer au dynamisme de l’économie gabonaise, et donc à la poursuite de la réduction de sa dépendance aux industries extractives. Ces réformes seront d’ailleurs également très utiles au développement du secteur touristique, encore embryonnaire mais qui constitue désormais une des priorités gouvernementales. En effet, et contrairement aux pays francophones que sont le Maroc et la Tunisie, deux des destinations phares du tourisme sur le continent, l’Afrique francophone subsaharienne à largement et longuement délaissé ce secteur à fort potentiel, faisant ainsi presque ignorer au reste du monde l’existence d’une faune et d’une flore exceptionnelles et comparables à celles pouvant être observées dans certains pays anglophones du continent (comme le Botswana, justement, qui a abondamment investi dans ce secteur). Le Gabon, où le tourisme ne représente qu’un peu moins de 2,5 % du PIB, ne manque pourtant pas d’atouts en la matière : vastes parcs nationaux (recouvrant 11 % de territoire national, un des taux les plus élevés du continent), faune diversifiée (comme les éléphants de forêt, dont le Gabon abrite plus de la moitié de la population continentale), plages, baleines à bosse au large… Le développement significatif de ce secteur permettrait ainsi au Gabon d’accroître encore davantage sa richesse nationale et de consolider ainsi sa position de pays le plus riche du continent (hors très petits pays).
Par ailleurs, il est à noter que le développement du Gabon s’effectue dans le respect des normes internationalement recommandées en matière de transparence financière. Ainsi, il ne fait pas partie des huit pays africains, dont le Botswana, qui figurent sur la liste des pays sous surveillance (ou liste grise) du Groupe d’action financière (GAFI, organisme intergouvernemental), en raison de leur insuffisante coopération en matière de lutte contre le blanchiment d’argent et d’un possible soutien – au moins indirect – au terrorisme.
Les grandes avancées réalisées en matière de diversification, de réformes et plus globalement en matière de bonne gouvernance, ont ainsi permis au pays de connaître d’importants progrès économiques et sociaux au cours de la dernière décennie. À titre d’exemple, et dans le domaine de la santé, le taux de mortalité infantile est passé en 2019 au-dessous de celui du Botswana (31,3 et 32,3 décès pour 1 000 naissances vivantes, respectivement), suite à une baisse de 25 % au Gabon entre 2010 et 2019 et une hausse parallèle de 31 % au Botswana sur la même période. Ce taux est largement inférieur à la moyenne de l’Afrique subsaharienne (51,7 %), se rapproche de celui de l’Afrique du Sud (27,8 %), et est très éloigné de celui de pays comme le Nigeria (74 %, et troisième taux le plus élevé du continent, selon la Banque mondiale). Par ailleurs, le pays se distingue sur la scène internationale en étant l’un des deux seuls pays du continent à disposer d’un laboratoire de type P4, avec l’Afrique du Sud (laboratoire habilité à manipuler les virus les plus dangereux de la planète, comme le virus Ebola). Toujours dans le registre de la santé, il est à noter que la Gabon se distingue également par son assez bonne maîtrise de la progression du VIH (ou Sida), avec un taux de prévalence de 3 % de la population âgée de 15 à 49 ans en 2020, contre 19,9 % au Botswana qui affiche le troisième taux le plus élevé au monde, juste devant l’Afrique du Sud.
Dans le domaine de l’électrification, le taux d’accès à l’électricité s’élevait à 90,7 % de la population gabonaise fin 2019, plaçant le pays au premier rang en Afrique subsaharienne (hors très petits pays insulaires), devant l’Afrique du Sud (85 %) et loin devant le Botswana (8e, avec un taux de 70,2 %). De même, le Gabon est à la pointe des nouvelles technologies, et notamment en matière d’accès à internet. Deuxième pays le plus connecté d’Afrique subsaharienne et quatrième au niveau continental, tout juste devant le Botswana (et également hors très petits pays insulaires), les utilisateurs d’internet y représentaient 61 % de la population en 2019, selon les dernières données de la Banque mondiale.
Enfin, le pays n’oublie pas d’investir dans le domaine de l’éducation et de la formation : création du premier campus virtuel d’Afrique centrale en 2016, lancement en 2020 du programme PISE (« Projet d’investissements dans le secteur éducatif », qui prévoit notamment la construction de 15 nouveaux établissements scolaires en seulement trois ans, ce qui est assez important à l’échelle du pays), octroi de bourses généreuses pour les étudiants (parmi le plus élevées du continent) …
Par ailleurs, et même si des progrès demeurent à accomplir, le développement économique et l’enrichissement du pays profitent, à divers degrés, à la quasi-totalité de la population, comme en témoigne la faiblesse du taux d’extrême pauvreté qui s’établissait à seulement 3,4 % de la population en 2017 (pourcentage de personnes vivant avec moins de 1,90 dollars, parité pouvoir d’achat 2011, selon les dernières données de la Banque mondiale). Un taux considérablement inférieur à celui du Botswana, pays pourtant situé au même niveau de richesse globale, mais où 14,5 % de la population vivait dans l’extrême pauvreté en 2015, et qui constitue un des pays les plus inégalitaires de la planète (le pays serait même le 8e pays le plus inégalitaire du continent et le 11e au niveau mondial, selon le classement relatif à l’indice Gini, mais ayant pour lacune de manquer de données très récentes).
L’ensemble des progrès réalisés ont ainsi permis au Gabon de se classer désormais, hors très petits pays insulaires, au 4e rang en Afrique subsaharienne en matière de développement humain, et au 8e rang continental, selon le dernier rapport de la fondation Mo Ibrahim. Un classement plus fiable et à jour que celui de l’ONU, qui comporte de nombreuses incohérences du fait qu’il se base sur des données parfois assez anciennes (ainsi, le Niger, qui connaît le taux de fécondité le plus élevé au monde et qui est classé devant non moins de 15 pays africains par la fondation Mo Ibrahim, continue à être systématiquement – et étrangement – placé à la dernière position mondiale par l’ONU, alors qu’il est de notoriété que des pays comme et le Soudan du Sud et la Somalie, entre autres, sont bien moins développés…).
Le dynamisme économique du Gabon devrait donc lui permettre de progresser encore davantage dans ce classement au cours des quelques prochaines années. Par ailleurs, son développement rapide est à l’origine d’une immigration assez importante dans le pays, qui affiche déjà la proportion d’immigrés la plus élevée du continent, et atteignant 18,7 % de la population totale en 2019, contre seulement 4,7 % pour le Botswana, qui a pourtant une population comparable (et loin devant la Côte d’Ivoire ou l’Afrique du Sud, où le pourcentage atteint, respectivement, 9,7 % et 4,8 %). Ce qui n’empêche pas pour autant le pays de savoir prendre des mesures protectrices lorsque cela est nécessaire, comme par exemple à travers la fixation d’un taux maximal de 10 % de travailleurs étrangers au sein des entreprises pétrolières et minières, et ce dans le double objectif de protéger l’emploi local et d’accroître le transfert de connaissances.
Mais la modernisation rapide du pays, qui se matérialise également par de grands chantiers d’infrastructures (comme celui de la Transgabonaise, route de 820 km devant relier la capitale à Franceville, au sud-est du pays, et lancé en septembre 2020), se déroule dans le respect de l’environnement, domaine dans lequel le Gabon fait souvent figure de modèle. À titre d’exemple, la filière bois, qui est en plein essor, évolue dans le cadre d’une gestion responsable et durable du patrimoine forestier du pays, qui a d’ailleurs décidé que 100 % des concessions forestières devaient être certifiées FSC d’ici 2022 (norme internationale relative à l’exploitation durable des forêts). De même, les plantations effectuées dans le cadre du développement de la production d’huile de palme et d’hévéa ont été presque entièrement réalisées sur des terres non ou faiblement boisées, afin de préserver la forêt équatoriale (contrairement à d’autres pays, et notamment en Asie).
Dans le secteur minier, le nouveau code mis en place en 2019 impose aux entreprises de réaliser une étude d’impact environnemental préalable au lancement de tout projet, et devant être approuvée par deux ministères différents. Dans le même temps, les énergies renouvelables sont en plein essor, avec une multiplication des projets en la matière afin de parvenir à un mix énergétique composé majoritairement d’énergies renouvelables : construction de plusieurs centrales solaires (le plus récent projet, d’une capacité de 20 MW, ayant été décidé au mois d’août dernier), édification d’un complexe hydroélectrique de 35 MW devant être livré en 2024…
Autre exemple, le tourisme est appelé à se développer en s’appuyant en grande partie sur l’écotourisme, grâce aux 13 parcs nationaux ayant été créés en 2002, et couvrant non moins de 11 % du territoire national (un des taux les plus élevés du continent). La crédibilité et la notoriété internationalement acquises par le pays lui ont d’ailleurs permis d’être, en 2019, le premier pays africain à bénéficier de fonds internationaux en soutien à la lutte contre la déforestation, dans le cadre d’une initiative lancée par l’ONU. Une crédibilité qui s’explique notamment par la stabilité du couvert forestier (91 % du territoire national), qui n’a baissé que de 0,5 % au cours de la dernière décennie, malgré un fort développement démographique et économique.
Les importants progrès réalisés par le Gabon ne sont pas un cas isolé en Afrique subsaharienne francophone, qui continue à être le moteur de la croissance africaine. En 2020, et malgré la pandémie, cet ensemble de 22 pays a globalement réalisé les meilleures performances économiques du continent pour la septième année consécutive et la huitième fois en neuf ans, tout en en demeurant, et plus qu’auparavant, la partie la moins endettée. Sur la période 2012-2020, soit neuf années, la croissance annuelle de cet ensemble s’est ainsi établie à 3,5 % en moyenne (4,0 % hors cas très particulier de la Guinée équatoriale, dont la production pétrolière a baissé presque aussi vite qu’elle n’avait augmenté au début des années 2000), contre 2,1 % pour le reste de l’Afrique subsaharienne. Pour rappel, et juste avant la pandémie, la croissance globale annuelle s’était établie à 4,2 % pour l’Afrique subsaharienne francophone pendant les huit années de la période 2012-2019 (4,7 % hors Guinée équatoriale), et à 2,8 % pour le reste de l’Afrique subsaharienne.
De son côté, l’espace UEMOA constitue depuis plusieurs années la plus vaste zone de forte croissance du continent, avec une hausse annuelle globale du PIB de 5,6 % en moyenne sur la période de neuf années allant de 2012 à 2020 (et 6,3 % sur la période 2012-2019). Des performances exceptionnelles compte tenu du fait que cette région n’est pas la région la plus pauvre du continent (l’Afrique de l’Est étant la partie la moins développée).
En Afrique de l’Ouest, la Côte d’Ivoire, qui a affiché une croissance de 8,1 % en moyenne sur la période 2012-2019, soit la deuxième plus forte progression au monde au cours de ces huit années (et la plus forte pour la catégorie des pays ayant un PIB par habitant supérieur à 1 000 dollars début 2012), est récemment devenue le pays le plus riche de la région en réussissant notamment l’exploit de dépasser le Nigeria, dont la production pétrolière est environ 50 fois supérieure (avec un PIB par habitant de 2 326 dollars pour la Côte d’Ivoire début 2021, contre 2 097 dollars). Le Nigeria devrait d’ailleurs être bientôt dépassé par le Sénégal, et à moyen terme par le Cameroun, qui affichent constamment des taux de croissance deux ou trois fois plus élevés (et qui ont actuellement un PIB par habitant de 1 488 et de 1 499 dollars, respectivement, bien loin de pays comme l’Éthiopie ou le Rwanda, où il s’établit à 936 et 798 dollars par habitant, respectivement). Parallèlement, la Côte d’Ivoire, qui continue à creuser l’écart avec le Kenya (1 838 dollars par habitant, et pays le plus prospère d’Afrique de l’Est continentale, après Djibouti, pays francophone), est récemment devenue le premier pays africain de l’histoire disposant d’une production globalement faible en matières premières non renouvelables, à dépasser en richesse un pays d’Amérique hispanique, à savoir le Nicaragua dont le PIB par habitant atteignait 1 905 dollars début 2021 (hors très petits pays africains de moins de 1,5 million d’habitants, majoritairement insulaires). La Côte d’Ivoire est d’ailleurs sur le point de devancer également le Honduras (2 406 dollars par habitant).
Pour sa part, et grâce notamment à de nombreuses réformes, le Niger enclavé (et souvent pointé du doigt par certains pour sa forte natalité), n’est désormais plus le pays le plus pauvre d’Afrique de l’Ouest, ayant récemment dépassé la Sierra Leone anglophone (565 dollars par habitant début 2021, contre 484 dollars). De plus, le pays pourrait dès cette année dépasser le Liberia, autre pays anglophone côtier (583 dollars par habitant).
Désormais, seul un des quatre pays les plus pauvres du continent est francophone, à savoir le Burundi, qui se trouve aux côtés du Soudan su Sud, de la Somalie et du Mozambique. Ces quatre pays se situent d’ailleurs en Afrique de l’Est, qui constitue la partie la plus pauvre du continent, en plus d’en être la partie la plus instable, puisque l’on y trouve notamment deux des trois pays ayant connu les conflits les plus meurtriers de la dernière décennie, proportionnellement à leur population (le Soudan du Sud et la Somalie). À ces conflits, s’ajoutent un certain nombre de problèmes sécuritaires (terrorisme islamique dans le nord du Mozambique…), et de tensions interethniques, comme en Éthiopie où elles ont déjà provoqué la mort de plusieurs centaines de personnes ces quelques dernières années (ce qui en fait l’un des pays africains souffrant des plus fortes tensions sociales, avec, en particulier, l’Afrique du Sud et ses près de 15 000 homicides par an). Depuis fin 2020, l’Éthiopie est d’ailleurs entrée en guerre civile sur une partie de son territoire.
Quant à l’endettement, l’Afrique subsaharienne francophone demeure la partie la moins endettée du continent, tout en creusant l’écart depuis le déclenchement de la pandémie. Début 2021, et selon les données disponibles à cette date, le taux global de la dette publique pour cet ensemble composé de 22 pays s’établissait à 47,7 % du PIB, en hausse de 4,1 points sur un an (57,3 % pour l’ensemble de l’Afrique francophone, Maghreb inclus). Un niveau largement inférieur à celui de la majorité des pays développés. Pour le reste de l’Afrique subsaharienne, le taux se situait à 64,3 %, en hausse de 8,3 points (69,1 % pour l’ensemble de l’Afrique non francophone). Il est également à noter que seuls deux ou trois pays francophones font chaque année partie des dix pays les plus endettés du continent, et qu’aucun d’entre eux ne fait partie des cinq pays les plus endettés.
Enfin, les pays francophones sont globalement moins inégalitaires. La République centrafricaine serait même le seul pays francophone parmi les dix pays africains les plus inégalitaires (selon les données de la Banque mondiale relatives à l’indice GINI, qui n’est toutefois pas suffisamment fiable faute de données assez récentes).
L’Afrique subsaharienne francophone connaît donc globalement un important dynamisme économique, et dont résulte – enfin – un intérêt accru de la part des acteurs économiques des pays francophones du Nord. Ainsi, le Medef (principale organisation patronale française) a très récemment organisé la première Rencontre des entrepreneurs francophones (REF), en août dernier, dans le but de densifier les relations économiques entre les différents pays francophones du monde, et de parvenir progressivement à mettre en place une véritable « francophonie économique ». L’Afrique subsaharienne francophone était justement présente en force au cours de cet événement, qui devrait désormais être annuel et organisé une fois sur deux sur le continent, tout comme elle occupera une place prépondérante lors du prochain sommet de l’OIF, qui se déroulera en Tunisie au mois de novembre.
LA MATINALE DE L'AFRIQUE : LA FRANCE UN ETAT PYROMANE SUR LE CONTINENT AFRICAIN
GUINEE CONAKRY : LES LANGUES SE DELIENT le président ivoirien Alassane Dramane OUATTARA INDEXÉ
EDITORIAL
Nous avons tous été confrontés un jour ou l’autre à un fait choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.
Mais désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant
soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des
problèmes qui nous rongent.
La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du grand nombre dans la
dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu, qui poseraient
des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :
-des abus de tout genre ;
-des injustices vis-à-vis des plus faibles ;
-des scandales économiques, politiques, judiciaires…
La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.
La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps
comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons, grâce à elle, à
atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les
invulnérables.
Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les
enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des
agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :
-des propos indélicats ;
-du culte de la division ;
-des accusations affamantes ;
-des observations désobligeantes ;
-des contre vérités…
Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera
purement et simplement écarté.
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