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10 juillet 2015 5 10 /07 /juillet /2015 19:07

DIXIT LE DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO " LORSQUE LA CONSTITUTION EST VIOLÉE TOUS LES DÉMOCRATES NE DOIVENT JAMAIS L'ACCEPTER"

 

      Par Hamid CHRIET

 

2016, " Une année décisive pour l'Afrique entre espoir et crainte ? "

 

 


      Hamid CHRIET editorialiste -Géopolitique          

 

 

En effet, un dictateur est comme un terroriste, avec lequel les négociations sont du temps perdu. C’est pourquoi les dictateurs sont le plus souvent chassés du pouvoir par la violence , puisque toute proposition d’alternance politique ou de démocratie est réfutée. Il est intéressant de noter que certains membres de l'opposition faisant notamment partie du Frocad ont fait le choix de participer à titre individuel de ces consultations, et ont été sanctionné et suspendu pour leurs partis respectifs. à quoi bon parler de démocratie et d'alternance s'il y a refus de participer lorsque le dialogue est ouvert? Participer ne serait-ce que pour dire non... Depuis le 20 mai 2015, le Président Denis Sassou Ngesso a entamé une série de consultations sur « la vie de la nation et de l’Etat ». Problème, une grande partie de la classe politique n’accorde aucun crédit à ce dialogue . Il est clair que cette opération n’est que de la poudre aux yeux, une stratégie de gagne temps. Ainsi dans la théorie le Président Denis Sassou Nguesso ne peut se représenter à la présidentielle de 2016, car il a atteint la limite d’âge et de mandats. Âgé de 72 ans, le chef de l’Etat congolais tient son pays d’une main de fer depuis 1997, après l’avoir dirigé de 1979 à 1992. En effet durant de nombreuses années il était intouchable, le grand ami de la chiraquie, de la Sarkozie et des pétroliers français n’est désormais plus utile pour les diplomaties occidentales. Son mandat présidentiel va expirer en 2016 et la constitution lui interdit de se représenter. Le président Sassou adopte, la même stratégie que le président sanguinaire Debby du Tchad, ils s’impliquent dans l’épineux dossier centrafricain pour se donner une bonne image aux yeux de la communauté internationale, il s’agite pour tenter de se rendre indispensable aux yeux de la France. En Libye voisine, le chaos et l’incertitude mobilisent la communauté internationale qui a peur du vide. Au Soudan, la dictature a pris la place du vide, à Djibouti l’USN est bloqué par le non-respect de l’accord -cadre du Président Ismael Omar Guelleh, au Congo voisin avec le Président Kabila, ce dernier est décidé à renouveler un autre mandat,au Cameroun de Paul Biya l'opposition est quasi inexistante, au Gabon le Président Ali Bongo semble faire la sourd d'oreille et ne pas vouloir quitter le pouvoir , en Angola le Président De Santos règne sans partage depuis plus de 30 ans, au Burundi l'opposition a du mal à se faire entendre malgré la pression internationale, en Algérie l’après Bouteflika réserve bien des surprises, au Burkina Faso la transition se fait toujours attendre, en Guinée l'opposition réclame le report des élections, en Côte d'Ivoire la tension entre les pros Bgabo et le Président Ouattara frôle le soulèvement, en Tunisie les actes terroristes sont de plus en plus nombreux, principalement à cause de l'intervention française en Libye, certains y voit déjà une critique, en Centrafique la situation est castrophique , le FMI n'accordera plus son aide, au Mali le Nord n'est plus sous contrôle de l'Etat Malien , enfin la situation est préoccupante en Afrique car même le Maroc , jusqu'a là stable semble aussi subir cette vague terroriste avec le démantement de plusieurs cellules, la liste est longue . En d’autre termes au moment des élections présidentielles, tous les ingrédients seront là pour que la communauté internationale s’en mêle : presse bâillonnée, opposants sous pression , corruption et zones de conflits ouverts. Pourtant, dans la réalité … Rien n’est fait !

Par Hamid CHRIET éditorialiste- Géopolitologue 

 

Le temps un allié redoutable pour les peuples opprimés, malgré les intimidations, les miltitudes d'armes, l'achat des consciences à  coup de milliards. Le temps est maître de lui même, ainsi le vieux Dictateur sanguinaire et corrompu Denis SASSOU NGUESSO EST PIÉGÉ PAR SA PROPRE CONSTITUTION DU 20 JANVIER 2002

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
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9 juillet 2015 4 09 /07 /juillet /2015 21:48

 

      

 

VIVRE ENSEMBLE AU CONGO UTOPIE OU REALITÉ ?

 

 


A L'ATTENTION AUX PARTICIPANTS AU DIALOGUE NATIONALE SANS EXCLUSIVEAU CONGO UTOPIE OU RÉALITÉ  ?                 

 

 

Le 15 août 2010, les congolaises et les congolais fêtaient avec éclat le demi-siècle l’indépendance de notre pays.

Est-ce qu’en un demi-siècle d’indépendance, les hommes politiques congolais, les hommes d’état et les cadres civils et militaires de notre pays ont gagné en maturité ?

Mais, dès le 16 aout 2010, commençait déjà pour le Congo, l’autre demi-siècle, celui qui nous conduira en 2060, à la célébration du 1er centenaire, c’est-à-dire du premier siècle de  l’indépendance ce de notre pays.

Et pour 2060, les dirigeants politiques, les cadres civils et militaires, les opérateurs économiques, les hommes d’églises, les grands maîtres des loges, se seront nos fils et petits-fils qui ont : 5 ans- 10 ans- 15 ans- 25 ans- 35 ans aujourd’hui.

Pour cette génération, que prévoit l’état et la nation, que prévoyions nous, comme type d’encadrement, comme modèle d’éducation, avec quel programme et quel contenu, pour la formation d’une génération nouvelle d’hommes et de femmes gestionnaire du Congo de demain !

Lorsque nos hommes politiques parlent de vivre ensemble, jeunesse avenir de demain, qui sont des concepts millénaire, car les êtres humains, partout où ils se sont retrouver, ont toujours établi des règles acceptées et applicable à tous et par tous pour vivre ensemble.

Dieu le père, en transmettant  aux hommes les dix commandements, avait indiqué les principes à respecter pour garantir le vivre ensemble : tu ne mentiras pas – tu ne voleras pas – tu ne tueras pas  etc.

Vivre ensemble, c’est le rêve de toujours des êtres humains en général, et du peuple congolais en particulier

Mais dans le contexte qui est le nôtre, vivre ensemble au Congo c’est quoi ? Parce que nos hommes politiques n’en parlent que du bout des lèvres, mais jamais avec la foie, la sincérité et toute la franchise souhaitée

 

Pourtant, dès notre indépendance acquise, notre devise nationale est : unité – travail – progrès

3 ans après, est créer le mouvement national  de la révolution  (m n r) dont la devise national sera : un seul peuple –un seul parti –un seul idéal – un seul combat

6 ans après, en 1969 est créer le parti congolais du travail (p-c-t) dont la devise nationale sera : tout pour le peuple –rien que pour le peuple

Et 20 ans plus tard, la conférence nationale souveraine réhabilite la devise de l’indépendance.

Donc, durant notre demi-siècle de vie commune, et par devises nationales opposées, nous n’avons prôné que le vivre ensemble : et comment avons-nous vécu ensemble ?

 

Sauf si nous trichons, je crois que la réponse sera : c’est une catastrophe car le bilan est globalement calamiteux.

 

Mais le concept de vivre ensemble ou de mieux vivre ensemble reste ou demeure un impératif national : nous pourrons même dire que ça devrai être la priorité des priorités.

 

Nous venons de fêter le demi-siècle de notre indépendance, et nous nous sommes certainement rendu compte de tout le mal que nous nous sommes fait pour, n’avoir pas, à cause de nos égoïsmes, privilégié l’intérêt supérieur de la nation.

 

Vivre ensemble ou mieux vivre ensemble au Congo, oui le concept est noble. Mais dans le contexte actuel de notre pays, il faut mettre un contenu : politique, économique, social, moral et spirituel.

 

Et même si le contenu y est, il faudrait encore que les congolaises et les congolais : de tout Age, toutes catégories sociales, toutes croyances, toutes régions, discutent, séparent, débattent, échangent, librement, sincèrement et franchement, sans invectives, sans intimidations, sans injures, sans tricheries, sans menaces verbales ni physique et aussi et surtout avec toutes les garanties politico-juridiques. 

Pourquoi ?

Parce que, pour les croyants et les spirituels que nous sommes, malgré nos différences doctrinales, nous sommes liés par les mêmes valeurs symboliques et morale : la tolérance et le partage, l’amour du prochain, l’éthique et la morale, le pardon, le respect du caractère sacré de la personne humaine : pour nous, vivre ensemble au Congo c’est quoi ?

Parce que pour nous, membres de la force publique de tous grades, dont la corporation n’est pas innocente dans la majorité des moments macabres, dramatiques et douloureux de triste mémoire que le Congo a connu en 54 ans de vie commune : pour nous vivre ensemble au Congo c’est quoi ?

Parce que pour nous les mamans, qui avons la mission éternelle de l’éternel de portée pendant 9 mois dans le ventre une progéniture, nous qui donnons la vie et qui élevons nos enfants parfois seules avec toutes les difficultés du monde, que d’autres viennent recruter sans nous consulter pour en faire des chiens de chasse et des chaires a canons : pour nous, vivre ensemble au Congo c’est quoi !

Parce que pour nous la jeunesse, avenir de demain. Nous les parias de la république. Nous que la société montre désormais du doigt comme le vivier intarissable des monstres froid de la république.

Nous dont les totèmes tristement célèbre vont hanter encore pendant longtemps notre existence : mambas –cocoyes – cobras – ninjas – faucons – aubbevillois…etc.

Nous a qui on apprit sans état d’âme : à tuer, piller, violer (même nos propres parents).nous les chômeurs chroniques et les diplômés sans emploie à vie, nous les éternels porteurs des casquettes et des tee-shirts : pour nous, vivre ensemble au Congo c’est quoi !

Parce que pour nous la classe politique, géniteurs,  incitateurs, excitateurs,  responsables directs de tous les drames, de toutes les atrocités, de toutes les horreurs que le Congo a connues en 54 ans de vie commune. Nous les spécialistes dans la création des crises politiques artificielles

Nous qui ne rêvons en permanence que d’en découdre avec les autres. Nous qui, à cause de nos inconséquences, nos inconstances et l’inconsistance de nos messages politiques, avons désorienté des centaines de milliers de congolaises et de congolais dont plusieurs ont perdu leurs jeunesses et leurs vies.

Nous que le peuple observe désormais dans un doute permanent à cause de nos multiples facettes relationnelles, tantôt amis, tantôt adversaires ou ennemies

Nous, à cause de qui d’autres se sont vues briser leurs brillantes carrières politiques à cause de nos pratiques politiques nuisibles, ou beaucoup seront baptiser :

Réactionnaires et contres révolutionnaires

Chiens couchant et valets de l’impérialisme international

Bourgeois bureaucratique et compradore

Idéalistes et inconséquents idéologiques

Ligne droitière et liquidationiste

 

Enveloppeurs et enveloppés

Génocidaires et collabos

Le nguirisme et les nguirites  …etc.

Pour nous vivre ensemble au Congo c’est quoi !

Comme nous pouvons le constater, vivre ensemble au Congo est une notion ou un objectif noble, dont le débat ne doit pas être sectorisé.il faut l’ouvrir le plus largement possible et le garantir.

Et surtout ne pas faire ce que nous savons faire de mieux depuis des décennies : à savoir l’organisation des débats brouillons et brouillé, juste pour embrouiller le peuple, puisqu’à la fin, il n’y a jamais rien eu de concret sur le terrain.

Mais si nous croyons ou si nous voulons ou si nous pensons que nous pouvons vivre ensemble, nous devons changer de manière de faire la politique dans notre pays.

Car, chaque fois qu’il  y a eu une opportunité pour parler du Congo, nous sommes toujours passés à côté, comme :

En 1972 à la conférence nationale au cinéma VOG

En 1991 à la conférence nationale souveraine, ou les hommes

Politiques congolais s’étaient même publiquement laver les mains, et la suite nous la connaissons.

En 1998, le forum national pour la réconciliation et la paix reconnais un génocide en 1997 et publie même une liste des génocidaires.la suite nous  la connaissons

Il y a eu même un dialogue national sans exclusive.la suite nous la connaissons

Les choses se passent comme si dans ce pays nous ne connaissons pas ou se trouve les problèmes des congolais.

 

Nos problèmes, je nous les rappels, ce sont:

La question de la violence politique au Congo. Depuis l’indépendance et même avant, chaque alternance politique a toujours été suivit de violence (comme si la violence politique au Congo était une fatalité).et cela n’interpelle pas notre classe politique.

Nous avons la question de la sécurité alimentaire et de l’autosuffisance alimentaire

Nous avons la question des inégalités sociales et des antivaleurs qui prospèrent chaque jour au vu et au su de tous.

 

Nous avons la question de la misère, de la pauvreté et du chômage chronique des jeunes…etc.

Et voilà qu’aujourd’hui nous nous focalisons sur la constitution qui n’a rien n’avoir avec ce que les congolais ont vécu de : dramatique, de douloureux et de triste mémoire.

Vivre ensemble au Congo, utopie ou réalité 

Si nous continuons à fonctionner comme nous le faisons depuis des décennies, nous pouvons dire oui c’est une utopie

Si nous nous engageons fermement à tourner la page et surtout à changer de système, nous pouvons dire oui

Voilà pourquoi nous ne devons pas sacrifier l’avenir.

 

Mes dames et Monsieurs voila ci qui devra constituer ; la base des discutions de vos assises

Marcel  Mbete

Citoyen congolais

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
 
 
        
 

 

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8 juillet 2015 3 08 /07 /juillet /2015 20:53

 

      

 

LE Dictateur Denis SASSOU NGUESSO RECU A L'ELYSEE LE 7 JUILLET 2015

 

 

mediaLe président français, François Hollande, reçoit son homologue congolais, Denis Sassou-Nguesso à Paris, France, le 7 juillet 2015.
                                                                 
      

 

Entretien avec M. Denis Sassou Nguesso, président de la République du Congo

 

Le président de la République s’est entretenu avec son homologue congolais, M. Denis Sassou Nguesso, le 7 juillet 2015, au Palais de l’Elysée.

Ils ont évoqué le processus de sortie de crise en République centrafricaine, pour se féliciter des progrès importants réalisés dans la sécurisation du pays et la réconciliation nationale. Les deux présidents sont convenus qu’il convenait désormais d’assurer la pleine mobilisation de la communauté internationale pour apporter un soutien renforcé au processus électoral et permettre la tenue du scrutin présidentiel aux dates prévues.

S’agissant des enjeux d’approfondissement de la démocratie en Afrique, le président français a indiqué son attachement à la préservation et à la consolidation des institutions. Il a rappelé son attachement aux principes de l’Organisation Internationale de la Francophonie et de l’Union africaine, qui supposent que les réformes constitutionnelles soient fondées sur un consensus.

Enfin, François Hollande a salué la mobilisation de la République du Congo en faveur du succès de la Conférence de Paris sur le climat. Il a confirmé au président congolais que l’Afrique, continent le plus exposé aux changements climatiques, devait bénéficier d’une attention particulière dans le cadre des négociations en cours pour parvenir à un accord global à Paris.

 

 

Voir l'événement: Entretien avec M. Denis Sassou-Nguesso, président de la République du Congo


                                                                       

 

Source Elysée

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
 
 
        
 

 

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5 juillet 2015 7 05 /07 /juillet /2015 23:15

 

      Auteur : Charles  Zacharie BOWAO

 

" JE RECUSE 2 ! " LETTRE OUVERTE DU Samedi 04 Juillet 2015  a son excellence Monsieur enis SASSOU NGUESSO Président de la République du Congo

 

 

Charles Zacharie Bowao
                                                                       

 

 

 

1
Charles Zacharie Bowao
Professeur Titulaire de Philosophie
Professeur des Universités
A
Son Excellence, Monsieur Denis SASSOU N’GUESSO
Président de la République du Congo
Objet : « Je récuse 2 ! »
Lettre Ouverte du samedi 04 juillet 2015


Monsieur le Président !
Une fois encore, le devoir de vérité et de sincérité m’interpelle.
J’ai suivi votre message à la Nation du 30 juin 2015. L’Histoire en retiendra quelque chose que, pudiquement, l’on pourrait qualifier de mal-adresse présidentielle. Vous avez choisi de maintenir le pays dans l’incertitude, plutôt que d’inspirer une lecture vertueuse de notre avenir.

 

Je m’explique !


1. Vous avez loué l’attitude des fervents patriotes qui, en répondant, à votre Invitation, ont donné la preuve du profond respect des Institutions et de la République. Il est ici question des Institutions issues de la Constitution du 20 janvier 2002, dont le Président de la République est l’émanation sublimée. Lesdites Institutions fonctionnent normalement, et dans un pays qui a retrouvé la paix, comme Vous l’avez soutenu dans votre message à la Nation d’août 2014. Nulle part il n’est fait mention de ce qui fait la caducité de ces Institutions honorables et respectables, au point de nécessiter une évolution systémique. Pourquoi donc entretenir un tel flou artistique sur le destin du pays ? Pourquoi persister dans la fabrication artificielle d’une crise de sens historique dont le pays n’a nullement besoin ?


2. Aux antipodes de la bienséance républicaine, Vous avez servi l’arrogance du Prince aux compatriotes supposés entretenir des comportements surprenants. Allusion ici faite à ceux qui ont décliné votre Invitation. Comme pour dire tant pis pour eux. Or, Vous êtes le Père de la Nation, celui-là même qui aurait pu, avec humilité et bon sens, décoder le message des concitoyens qui ont justifié leur obligeance citoyenne. En fait, Vous refusez la sollicitude à une Opposition républicaine qui a toujours demandé à discuter avec Vous vainement. N’est-ce pas là un comportement surprenant de la part du Père de la Nation qui doit garder la hauteur d’esprit et de vue, y compris devant le mépris des uns ou la médisance des autres. Cette hauteur d’esprit et de vue qui a fait votre force à certains moments décisifs de l’histoire de notre pays. Une hauteur d’esprit et de vue qui fait cruellement défaut depuis que, contre toute attente, Vous avez choisi de ne plus défendre la Constitution du 20 janvier 2002.


3. Vous avez évoqué de manière lapidaire les « préoccupations quotidiennes et permanentes » des congolais, sans tirer aucune espérance, alors que leur persistance est la preuve par la négation et, disons-le, de l’échec des politiques publiques mises en oeuvre. Une négation et un échec d’autant plus patents que certains compatriotes (proches de Vous) en arrivent jusqu’à prendre des initiatives isolées en vue de suppléer le Gouvernement dans l’attribution des bourses d’études, l’organisation des soins médicaux, la gestion de l’urgence humanitaire, la formation informatique généralisée, entre autres. D’où provient donc cette richesse que ces compatriotes se plaisent à étaler cyniquement alors qu’ils ne sont que des fonctionnaires de l’Etat ou des directeurs d’entreprises nationales ?
N’est-ce pas là pour le moins, une posture surprenante et nuisible à la réputation légendaire de l’homme des masses et des actions concrètes ?

4. La synthèse de vos consultations laisse apparaître les opinions manifestées sur deux questions majeures : l’évolution des Institutions et la gouvernance électorale. « Tantôt concordantes. Tantôt antinomiques. Mais toujours utiles. », dites-Vous.
Chacun a nettement compris que la concordance des opinions porte essentiellement sur la question de la gouvernance électorale, tandis que l’antinomie se joue irrémédiablement sur celle relative à l’évolution des Institutions. Le constat a été fait par des observateurs avertis, congolais ou étrangers, qui ont suivi les positions exprimées lors des échanges organisés pêle-mêle au niveau de la classe politique et de la société civile, en réaction à l’Allocution présidentielle du 31 décembre 2014. A la lumière de ce qui précède, la préservation de l’harmonie sociétale commande de ne délibérer publiquement que sur la gouvernance électorale, et par conséquent, judicieusement de retirer du débat public la question antinomique.
Telle aurait pu se déployer la sagesse présidentielle, afin d’épargner la République de l’escroquerie historique que je récuse dans ma Lettre Ouverte du 20 janvier 2015. Comment pouvez-Vous assumer, Monsieur le Président, une telle ruse politicienne ?


5. Ce n’est un secret pour personne, la majorité quantitative et argumentative est acquise à l’urgence d’un consensus politique sur la gouvernance électorale. Partout, au PCT, à la Majorité présidentielle, à l’Opposition politique et/ou républicaine ou à la Société civile, les partisans du changement de la Constitution se sont retrouvés en posture de minorité. Tout n’est pas toujours utile. Ce qui est utile pour l’intérêt général, c’est de s’accorder sur le « concordant ». Que le dialogue national 2015 soit pour ainsi dire le couronnement symbolique du consensus de Dolisie, on peut le comprendre. Ce qui est inutile, c’est l’obstination dans l’ « antinomique » en sachant qu’elle fait le lit de la violence politique, comme au Burundi.


Le Congo est constitutif du champ des Grands Lacs. Là encore, un mot de compassion à l’égard de ceux qui sont morts par la tragédie du pouvoir au Burundi aurait donné du relief à la renommée panafricaniste du Médiateur International dans la crise centrafricaine. Dommage… Du « Moi » assermenté par l’article 69 de la Constitution du 20 janvier 2002, Vous avez délibérément opté pour le « Surmoi » extraconstitutionnel, voire anticonstitutionnel, laissant ainsi libre cours à une psychanalyse de la parole présidentielle dans l’opinion nationale et internationale. Cette attitude passéiste laisse perplexes vos compatriotes qui comprennent que Vous voulez à tout prix vous accrocher au pouvoir, plutôt que d’entrer dans l’Histoire par la grande porte. Quitte à organiser par la suite une passation monarchique de témoin !


6. Dix jours de travail pour les « experts organiques », et cinq jours d’applaudissements prolongés pour les partisans du changement de la Constitution du 20 janvier 2002. Est ainsi jouée la pirouette extraordinaire d’un rassemblement monolithique, sous la mascarade d’un dialogue national sans exclusive, sans préalable, sans apriori… Une pseudo-accélération de l’histoire en vue de répondre politiciennement à des interrogations techniques. Un dialogue national sans Opposition politique n’est rien de plus qu’une performance anti-démocratique. Avons-nous besoin d’un monologue stérile, alors que les réponses techniques sont connues :

Question numéro 1. Comment devrait-on organiser au mieux les scrutins à venir dans notre pays ?
Réponse : En mettant en place une Commission Electorale Indépendante, conformément aux conclusions instructives de la Concertation politique de Dolisie (mars 2013). Ces conclusions ont été inspirées par les dispositions pertinentes de la Charte Africaine de la démocratie, des élections et de la Gouvernance (UA, Addis Abeba, 2007). Soit dit en passant, le Président de la République du Congo a pesé de tout son poids pour l’adoption de cet instrument de référence de l’Union Africaine.


Question numéro 2. Fait-on, oui ou non, évoluer les Institutions de la République ?
Réponse : Non!
Pourquoi ? Parce que le pays n’est pas dans une situation de crise politico-institutionnelle aiguë et persistante. L’Etat n’est pas paralysé. Les Institutions actuelles de la République ont le mérite de fonctionner normalement. Les Institutions de la République font chaque jour la preuve de leur efficacité, en se consolidant dans le respect des dispositions de la Constitution du 20 janvier 2002 ; une Constitution solidement ancrée dans l’avenir, ouverte à toutes les évolutions que le temps imposera. Ainsi, appartiendra-t-il au prochain Président de la République élu au suffrage universel direct, d’entreprendre les réformes institutionnelles prévues dans le cadre de son programme de gouvernement. Il sied de ne point confondre la Constitution du 20 janvier 2002, avec l’Acte Fondamental du 24 octobre 1997 qui est la Constitution des vainqueurs de la guerre du 05 juin 1997.


7. Le dialogue est une valeur universelle de progrès, de compréhension mutuelle et d’apaisement, en effet. Le dialogue tire sa vertu, non pas de l’éternel recommencement, à ne pas confondre avec la belle légende des termites, mais de la capacité citoyenne d’une Nation à solidifier ses avancées républicaines, démocratiques et sociales, et à innover dans l’optimisation de sa quête de modernité. Je n’imagine pas le dialogue national de juillet 2015 se transformer en une « assemblée constituante » ou en une « tribune souveraine ». Je n’imagine pas non plus, par voie de fait, cette audience publique rendre audible l’idée machiavélique d’un référendum constitutionnel uniquement pour mettre en cause les principes sacrés de l’alternance démocratique, dont celui intangible de la limitation du mandat du Président de la République.


Monsieur le Président !
Pourquoi remettre en cause l’avenir d’un chemin si bien tracé historiquement, et par Vous-même ? Qu’est-ce qui vous amène à trahir votre parcours d’Homme d’Etat, et à entrer dans l’Histoire par la petite porte de ce que l’Union Africaine appelle le coup d’Etat anticonstitutionnel.


En récusant la mal adresse présidentielle, j’espère n’avoir fait que mon devoir.
La plume qui prévient vaut mieux que le canon qui détruit.


J’ai dit !
Très Respectueusement Votre,
Charles Zacharie Bowao 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
 
 
        
 

 

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5 juillet 2015 7 05 /07 /juillet /2015 13:38

 

      Auteur : DIASPORA

 

MANIFESTATION DE LA DIASPORA CONGOLAISE CONTRE L'ARRIVÉE DU DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO A PARIS LE MardI 7Juillet 2015

 

 


                                                                       

 

 

      

 

Samedi 11 juillet 2015 à Paris: Mega Meeting pour dire NON au dialogue proposé par le pouvoir

 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

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4 juillet 2015 6 04 /07 /juillet /2015 23:33

 

      Auteur CADD 

 

LA CADD QUITTE LA MAJORITÉ PRESIDENTIELLE ET LANCE UN APPEL POUR UN DIALOGUE ALTERNATIF

 

 


                                                                       

 

 

 

 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

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4 juillet 2015 6 04 /07 /juillet /2015 23:29

 

   

 

DECLARATION DU FROCAD SUITE AU DIALOGUE DE DUPES  DU 11 JUILLET 2015 INITIÉ PAR LE DICTAEUR Denis SASSOU NGUESSO

 

 


                                                                       

 

 

 

 

 

 

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
 
 
        
 

 

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4 juillet 2015 6 04 /07 /juillet /2015 23:15

 

   Auteur : Ghys Fortuné DOMBE BEMBA

 

 

 

 


                                                                       

 

 

Le secrétaire général du Mouvement congolais pour la démocratie et le développement intégral (MCDDI), Guy-Brice Parfait Kolélas, a été le grand absent lors du lancement par le président de la République, Denis Sassou NGuesso, le 26 juin 2015 à Mindouli, des travaux de la route qui reliera cette localité à Kinkala (chef-lieu du département du Pool). De même, il a été « non partant » à la rencontre citoyenne organisée le lendemain à Kinkala entre le chef de l’Etat et les fils de cette circonscription, question de réaffirmer son non au pseudo dialogue prévu du 11 au 15 juillet 2015. Pour quelles raisons ?
Les raisons du «zapping» (ou «du changement de fréquences») de Parfait Kolélas vis-à vis de Denis Sassou NGuesso, leader du Parti congolais du travail (PCT) ayant signé une alliance avec le MCDDI, sont à rechercher d’abord dans un passé immédiat, ensuite dans un passé plus ou moins lointain.


En ce qui concerne le volet immédiat, les analystes politiques évoquent la désapprobation par Parfait Kolélas de la manière avec laquelle ont été nommés, le 19 juin 2015 par le chef de l’Etat, les nouveaux sous-préfets, administrateurs-maires d’arrondissements et de communautés urbaines.

Ces nominations étaient couplées à celles des secrétaires généraux desdites entités par arrêtés du ministre de l’Intérieur.
En clair, le leader du parti qui a pour logo le soleil n’est pas satisfait du manque de considération dont continue de faire preuve le chef de l’État vis-à-vis de sa personne. Car, la moindre des choses, en matière de politesse, serait que M. Sassou consulte son allié avant de nommer tel cadre ou tel autre membre du MCDDI à telle ou telle fonction administrative.

L’alliance signifie que les parties doivent traiter d’égal à égal. Parfait Kolélas et Denis Sassou NGuesso sont tous deux leaders de leurs partis respectifs.
Toujours dans ce volet immédiat, de nombreux observateurs notent que Guy-Brice Parfait Kolélas a répondu favorablement, le 20 mai 2015, à l’invitation du chef de l’État qui avait initié des Consultations avec les forces vives du pays sur la vie de l’État et de la Nation. En répondant à cette invitation, Guy-Brice Parfait Kolélas avait pris son courage de deux mains, mais surtout couru le risque de trahir la volonté de certains de ces partisans qui l’avaient conseillé de boycotter ces Consultations. Il fallait partir, parce que le leader du MCDDI a de la considération pour son partenaire.

Et puis, il est conscient que la politique de la chaise vide ne paie pas souvent. Et, enfin, parce qu’il n’avait pas peur de dire, de vive voix, au chef de l’État, son refus d’adhérer au projet de changement de la Constitution lancé par le PCT de Denis Sassou NGuesso. Et il l’a dit.

Mais, il semble que M. Sassou voudrait l’isoler à cause de son franc-parler

Nombreux sont les Congolais qui remarquent que le président Sassou a entrepris d’isoler ses compatriotes farouchement opposés à la dynamique du changement de la Constitution, dont Parfait Kolélas.

En effet, il serait le tireur des ficelles et le financier occulte non seulement des opérations de sabotage des activités du MCDDI, mais aussi, des actes de provocation ou de division des militants de ce parti et de sa famille biologique.

Tenez ! Selon une source digne de foi, six jeunes sympathisant du MCDDI, auraient avoué qu’au cours de la visite du chef de l’Etat à Mindouli et à Kinkala, les 26 et 27 juin derniers, des banderoles leur avaient été commandées pour être montées sur la place publique, sur instruction du ministre de la Pêche et de l’aquaculture, Bernard Tchibambéléla. Ces banderoles porteraient cette inscription : « Le MCDDI dit Oui au changement de la Constitution».

Point n’est besoin d’imaginer les liasses d’argent mises dans les mains de Bernard Tchibambéléla par le pouvoir en place, aux fins d’accomplir cette sale besogne. Ces jeunes, surpris en flagrant délit, ont été protégés par la suite par des éléments de la police du Général Jean François Ndéngué, qui les encourageaient à finaliser leur sale boulot. N’eut-été la grâce de Dieu, le sang aurait coulé entre les...

La jeunesse du Pool manipulée

Dans le même registre d’instrumentalisation de la jeunesse du Pool, en général, et de la jeunesse du MCDDI, en particulier, quelques rares ex-combattants Ninjas ont été soudoyés pendant la rencontre citoyenne de Kinkala pour faire une déclaration favorable au changement de la Constitution du 20 janvier 2002, sous prétexte que cette Loi fondamentale aurait cessé d’être au goût du jour.
«Depuis quand les ex-Ninjas ont lu cette Constitution ? Est-ce que les ex-combattants peuvent être considérés comme des membres d’un parti politique pour oser prendre ainsi la parole ? » Telles sont quelques-unes de questions que se posent les observateurs avertis de la scène politique congolaise.

Heureusement que la plupart des jeunes sont restés sourds aux sirènes de la manipulation

A Mindouli comme à Kinkala, Guy-Brice Parfait Kolélas a donné des consignes à ses militants, pour qu’ils restent en éveil, de peur de tomber sous les charmes du pouvoir de M. Sassou, ou d’aller grossir le nombre de ceux qui adhèrent aveuglement au projet de changement de Constitution.
Selon des sources concordantes, la majorité des jeunes qui ont été aperçus à Mindouli et à Kinkala provenaient de Brazzaville, où ils avaient été embarqués à bord de bus Coaster par les leaders des partis de la majorité comme le RC de Claude Alphonse N’Silou ou des associations membres de la plate-forme M2NR. Ainsi, le pouvoir a pensé donner l’image d’un chef d’Etat populaire au Pool, très ovationné dans l’hinterland. A la vérité, il n’en a pas été le cas.

Que dire des causes plus ou moins lointaines du mécontentement de Parfait Kolélas ?

Si la goutte immédiate qui a fait déborder le vase dans les rapports MCDDI-PCT, pour ne pas dire dans le mariage Kolélas-Sassou a été la publication des décrets de nomination du 19 juin 2015, les causes de la détérioration du climat entre les deux hommes remontent à fin 2014 et début 2015.

L’on se souviendra que l’année dernière, Guy-Brice Parfait Kolélas avait pris son bâton de pèlerin pour expliquer à la base du parti des neuf arrondissements de Brazzaville les raisons de ses sorties médiatiques. Notamment, le non-respect des clauses de l’Alliance MCDDI-PCT réactivée en 2007 par Bernard Kolélas et Ambroise Edouard Noumazalay. Les postes de préfet ou d’ambassadeur promis au MCDDI n’avaient toujours pas été accordés par le PCT. A Brazzaville, par exemple, le MCDDI n’avait qu’un petit maire: celui de Madibou, Nicolas Malonga, et dans le Pool un sous préfet. Voici que ces derniers viennent d’être limogés depuis les décrets du 19 juin 2015 !

En début d’année 2015, plus précisément le 17 février, le journal «Le Militant» a été publié sous le logo du MCDDI : le soleil ! Sans l’accord du secrétaire général Guy-Brice Parfait Kolélas. Son siège se trouve être le domicile du petit-frère de ce dernier, Euloge Landry Kolélas, au n°1590 de la rue Mbemba Hyppolite, à Makélékélé …

Bref, cet incident du journal Le Militant ainsi que la question des parlementaires qui devraient être déchus pour transfuge du MCDDI à la DRD, auraient pu être déjà réglés par le ministre de l’Intérieur à qui le secrétaire général du MCDDI avait plusieurs fois écrit pour s’en plaindre. Hélas ! Le ministre Mboulou ne dit mot à ce jour. M. Sassou, son mentor, non plus ! Pourtant, au nom de la solidarité dans l’Alliance MCDDI-PCT, le président du Comité central du Parti congolais du travail aurait pu porter aide et assistance à personne en danger. Peine perdue !

Le Zapping justifié par …

«A quoi sert-il de compter sur un partenaire peu sincère?», se demandait, fin 2014, Parfait Kolélas. « Si cette alliance n’était pas scellée sur le sang des Ancêtres, que sont Bernard Kolélas et Ambroise Edouard Noumazalay, je la rompais tout de suite», ajoutait-il.

En avril 2015, à la clôture du premier congrès national extraordinaire du MCDDI, le secrétaire général a souhaité que si l’allié du MCDDI était sincère, c’était à son tour de soutenir le candidat du MCDDI à la présidentielle de 2016. Donc, Denis Sassou porterait le sac de Parfait Kolélas. Ce ne serait que le juste retour de manivelle ou le retour de l’ascenseur à son allié et compagnon de route, pour gouverner ensemble, selon le principe de l’alternance.
En mai 2015, Parfait Kolélas a pris part aux « Consultations » avec le Chef de l’Etat.

Mais, le mois suivant, Denis Sassou N’Guesso a nommé des cadres du MCDDI à des postes de responsabilité, sans «Consulter» Parfait Kolélas.
Et lorsque, à la fin du même mois, le président de la République a organisé une descente dans le Pool pour y être reçu par les ressortissants de ce département, Guy-Brice Parfait Kolélas a jugé le moment tout indiqué pour lui jouer un lapin. Il s’était rendu au Pool non pas pour rencontrer le Président, mais pour donner des consignes à ses militants et revenir aussitôt à Brazzaville. Car, ce qui le préoccupe le plus aujourd’hui, c’est la question de la gouvernance électorale, autrement dit le balisage du chemin qui le conduira au Palais présidentiel par la voie des urnes, rassuré de sa victoire au regard du jeu des alliances avec de nouveaux partenaires forts qui jouissent d’une forte popularité dans les onze autres départements du Congo, où ils dament le pion à M. Sassou. De retour à Brazzaville, Guy-Brice Parfait Kolélas a subi des attaques verbales de plus d’un dignitaire du pouvoir, notamment à l’aéroport Maya-Maya, le jour où le président béninois est venu voir son homologue.

Imperturbable jusqu’ au moment on nous mettons sous presse cette édition, Guy-Brice Parfait Kolélas a reconfirmé son «non» à la participation au fameux Dialogue national sans exclusive annoncé par Denis Sassou Nguesso. Il demande plutôt que ce marché de dupes s’arrête par-là. Il aurait fallu tout simplement appliquer les conclusions des Concertations d’Ewo et de Dolisie. Tant pis, si les gens qui entourent M. Sassou ne veulent pas reconnaître que la vie est faite de relations de cause à effet. Le sapeur-pompier Collinet Makosso qui est sur tous les fronts pour défendre son mentor devrait aussi mettre de l’eau dans son vin.

Ghys Fortuné DOMBE BEMBA

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
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3 juillet 2015 5 03 /07 /juillet /2015 20:38

 

   

 

CONSTITUTIONS : LE PRESIDENT FRANCAIS FRANCOIS MET EN GARDE LES CHEFS D'ETAT AFRICAINS SUR LE RESPECT DE LA LOI FONDAMENTALE

 

François Hollande au Bénin met en garde les chefs d’Etat africains contre le non respect de leurs constitutions " Quand ce sont les mêmes qui changent la Constitution pour se maintenir au pouvoir, nous disons qu’il y a là un risque. Un risque pour la stabilité et pour la paix". "La stabilité des institutions, c'est la stabilité du pays. Le respect de la Constitution, c'est le respect des citoyens et l'acceptation du verdict des urnes, c'est la preuve de la maturité.

 


                                                                         

François Hollande au Benin le 02 juillet 2015 met en garde  les chefs d’Etat africains sur le respect de leurs constitutions: " Les constitutions sont faites pour être respectées". C’est une leçon le Burkina Faso". 

 

 

 

Le président français François Hollande est arrivé jeudi 2 Juillet 2015 à Cotonou au Bénin, première étape de sa tournée éclair en Afrique. Il a été accueilli jeudi à 00H30 heure locale (mercredi 23H30 GMT) à l’aéroport international de Cotonou par son homologue béninois Boni Yayi et par le nouveau Premier ministre béninois Lionel Zinsou. Thomas Boni Yayi a récemment annoncé qu’il ne briguerait pas de troisième mandat et qu’il s’engageait à respecter la Constitution. François Hollande a fait l'éloge, jeudi 2 juillet, du régime du Bénin, "référence" démocratique en Afrique, envoyant un message aux dirigeants d'autres pays du continent tentés de s'accrocher au pouvoir en tripatouillant leurs constitutions : « Je me suis exprimé de la façon la plus claire au sommet de la Francophonie à Dakar et je pense que chacun a entendu ce message. Et c’était après ce qui s’était passé au Burkina Faso. C’est une leçon le Burkina Faso. Les constitutions sont faites pour être respectées. Quand ce sont les mêmes qui changent la Constitution pour se maintenir au pouvoir, nous disons qu’il y a là un risque. Un risque pour la stabilité et pour la paix. Nous voyons au Burundi où il y a des violences et des contestations qui ne cessent pas…"La stabilité des institutions, c'est la stabilité du pays. Le respect de la Constitution, c'est le respect des citoyens et l'acceptation du verdict des urnes, c'est la preuve de la maturité. Nous l’avons constaté au Burkina Faso. Nous en mesurons encore les conséquences au Burundi aujourd’hui même. Quand ces règles ne sont pas respectées, alors il ya des risques, il y a des conséquences, et elles peuvent atteindre à la paix civile…" A Cotonou, devant la presse puis devant les personnalités politiques béninoises, le président de la République a pointé du doigt la situation du Burundi, plongé dans une grave crise politique en raison de la candidature à un troisième mandat de son actuel président, Pierre Nkurunziza, au pouvoir depuis 2005. La tournée africaine de François Hollande le conduira en Angola et au Cameroun. Prochaine étape : l'Angola François Hollande avait déjà mis en garde les dirigeants voulant "se maintenir à la tête de leur pays en violant l'ordre constitutionnel" en novembre 2014, lors du dernier sommet de la francophonie à Dakar (Sénégal). On ignore s'il compte aborder cette question dans les deux prochains pays où il doit se rendre, dont les présidents sont au pouvoir depuis plus de trente ans : en Angola, où José Eduardo Dos Santos règne depuis 1979, et au Cameroun, où Paul Biya est au pouvoir depuis 1982

 

Abidjan, Chantal TANOH pour la Voix du Peuple

 

Peuple congolais disons tous 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 

 
 
 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
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3 juillet 2015 5 03 /07 /juillet /2015 17:00

 

   Auteur : Patou MASSAMBA

 

LE GENERAL Jean Marie Michel MOKOKO - ET SI C'ETAIT LUI LE CANDIDAT PROVIDENTIEL

 

 


                                                                       

 

 

A une année de la fin du deuxième et dernier mandat des actuels présidents des deux Congo (CONGO BRAZZAVILLE et CONGO DEMOCRATIQUE), il se pose la sempiternelle question de l’alternance démocratique en 2016 dans ces deux pays.

Il semblerait que KABILA et SASSOU aient décidé contre vents et marées de violer leurs constitutions en déverrouillant la clause de limitation des mandats présidentiels; se faisant, ils ouvriraient la voie à une logique de coups d’Etat.

Par ailleurs, le pouvoir de Brazzaville vient de convoquer un pseudo dialogue national du 11 au 15 juillet 2015 avec deux points à l’Ordre du jour à savoir :
1. Les réformes constitutionnelles ;
2. La gouvernance électorale.

Il est clair que les participants seront soigneusement sélectionnés de façon à ce que le pouvoir, qui a créé de nombreuses organisations de complaisance, ait la majorité écrasante dans la salle.

Tous ceux qui sont contre le changement de la constitution doivent boycotter avec force ces assises.

Nombreux leaders politiques congolais ont été corrompus, d’une manière ou d’une autre par le pouvoir. Un seul est susceptible d'unifier le pays du fait de son "impartialité régionale". Officier Général ayant les mains propres et Chef d'Etat Major pourtant originaire du nord du Congo, il a choisi sans hésitation de résider dans un quartier du Sud DIATA. Il est l’un des rares officiers capable d'éviter au pays de s'installer dans un chaos qui semble inéluctable sans une inflexion politique forte.

Le Général Jean Marie Michel MOKOKO est-il cet homme providentiel ?

Son esprit républicain manifeste, sa rigueur au travail reconnue, son charisme incontesté, son sens de l'exemplarité et son courage remarquable, le désignent sans discussion.

L'inconnu porte sur les désirs du pouvoir du général, lequel s'exprime très rarement.
C'est un homme silencieux, préoccupé et mobilisé par sa mission qui consiste à remettre de l’ordre dans les capitales africaines endeuillées par les politiciens véreux et sans vergognes; telles que l'attestent ses nombreuses actions en faveur de la paix et de la stabilité démocratique sur le continent :
- De 2006 à 2007, il a œuvré pour le compte de l'Union Africaine (UA) à la recherche de solution à la crise Ivoirienne.
- Au début de l'année 2013, il est au Mali.
- Quelques mois plus tard, le 23 novembre 2013, jusqu'à ce jour, suite à la crise centrafricaine, le Général MOKOKO s'est vu confier la lourde tâche de rétablir l'ordre et la sécurité en RCA par l'Organisation Panafricaine.

Pourquoi ce silence ?

Les congolais veulent entendre sa voix, connaître son opinion, sa réflexion, sa vision et son projet pour le pays. Bref, les congolais veulent découvrir l'homme.
Mais l’homme demeure résolument silencieux; sans doute tenu à la fois par une obligation de réserve sur les affaires de son pays du fait de sa mission au RCA mais très certainement aussi par son tempérament animé par l'amour de son pays lequel lui commande une grande neutralité dans l'action publique.
C'est un homme désintéressé par le pouvoir, une qualité rare.

Mais faut-il attendre un soulèvement des populations exsangues et violemment brimées pour qu’il vienne en sapeur pompier ? Non.

Monsieur Jean Marie Michel MOKOKO n’a jamais voulu le pouvoir pour lui même. Les congolais le savent, notamment qu’il avait refusé au début des années 90 par deux fois de renverser le Premier Ministre de transition André MILONGO et le Président Professeur Pascal LISSOUBA alors qu'il en avait l'opportunité et surtout l'armée acquise à sa cause. Il a, à son grand honneur, ignoré les encouragements de SASSOU qui l'invitait pourtant à s'accaparer le pouvoir; laissant triompher ses aspirations de paix et de stabilité du pays !
Certaines indiscrétions des dirigeants de TOTAL et ELF témoignent si cela était nécessaire sur le caractère loyaliste et républicain de cet officier (Cf les déclarations de l'époque de l'ancien PDG d'ELF Loïc LEFLOCK PRIGENT à propos des manigances naguères d'ELF au Congo pendant la période des conflits qu'a connus le pays).
Le Général MOKOKO, est un officier pas comme les autres. Il n'a jamais participé à une crise quelconque qu'a connue notre pays. Il a toujours donné l'image d'un bon Chef qui sait écouter ses collaborateurs.

D'ailleurs, plusieurs observateurs le considèrent comme l'un des meilleurs Chefs d'Etat Major que le pays ait connu.

Aujourd’hui, le Congo, la Nation a besoin de lui. Pourquoi n’irions-nous pas tout simplement le chercher, comme naguère les Français le firent en 1958 pour De Gaulle.
Il est venu le temps de la rencontre entre le Général MOKOKO et le pays.

La question est d’autant plus préoccupante qu’elle dépasse le seul cadre national et interpelle même les grandes chancelleries occidentales et orientales qui ont des intérêts économiques et financiers au Congo. De Washington à Pékin, en passant par Paris, Londres et Bruxelles les sondages et enquêtes montrent que, Jean Marie Michel MOKOKO est de l'avis de TOUS, l’Homme providentiel dont le Congo a besoin. Mais, l’homme semble ignorer (de l'avis même de ceux qui ont réussi à arracher quelques mots à cet officier général secret et réservé) les appels du pied des blancs et, répond inlassablement par une autre question: "Que pensent véritablement les congolais ?"
C'est pourquoi, il est urgent que les leaders politiques et les autres leaders d'opinions s'opposent comme un seul homme au coup de force que Sassou prépare méticuleusement et, lancent un appel au Général MOKOKO.

Comme De Gaulle en juin 1946, Jean Marie Michel MOKOKO peut aussi donner sa vision sur l’organisation de l’Etat, donner à voir aux congolais une voie alternative et opposable au pouvoir actuel pour sortir le pays du bourbier dans lequel SASSOU l'a installé tant d'années durant. Nous ne doutons pas un seul instant que les congolais le suivront avec frénésie, puisqu’ils le réclament en silence telles que l'indiquent les enquêtes d’opinion commandées ici et là y compris dans les chancelleries étrangères présentes au Congo.

L’opinion nationale n’ignore pas à quel point la question du respect des constitutions constitue un sujet de préoccupation majeure indissociable de la paix et la sécurité des populations. Une problématique qui devrait à l'avenir être le fondement des relations entre les ETATS UNIS de Barak OBAMA et l’Afrique. On se souvient que lors de son premier voyage en Afrique, au Ghana notamment, en tant que président des Etats Unis, il avait déclaré que l’Afrique n’avait pas besoin d’hommes forts, mais d’institutions fortes.

Fort de cette position, le Secrétaire d’Etat aux affaires étrangères américain passait quelques mois plus tard en revue quelques capitales africaines pour faire la pédagogie du respect de l’ordre constitutionnel; en clair le respect du nombre de mandats consignés dans les constitutions des deux Congo.

Le 04 juin dernier, le Secrétaire d’Etat adjoint à la Démocratie, aux Droits de l’Homme et au Travail, monsieur MOLINOWSKI lors de sa visite de travail à KINSHASA, sans ambages, l’officiel Américain déclarait au cours de son point de presse que son pays était d’accord pour le dialogue mais que celui-ci ne devait pas constituer un moyen pour s’éterniser au pouvoir au mépris de la constitution :
<< Les USA mettent en garde que le dialogue ne doit pas être une occasion pour passer à une nouvelle transition>> a-t-il ajouté en substance.
Enfin, pour lui, la limitation des mandats est une bonne chose pour la démocratie et la stabilité, il faut en finir avec l’ère des présidents à vie en Afrique et ailleurs.

Cette attention portée sur la limitation constitutionnelle du nombre de mandat à deux vaut bien son pesant d’or, car l’alternance démocratique apaisée en 2016 permettra à ces deux pays de se doter d’institutions fortes pouvant conduire au développement socio-économique.

Afin de réussir ce pari qui lui tient à cœur avant la fin de son mandat, le président OBAMA aurait confié à son administration la mission de contacter, d’une manière directe ou indirecte, certaines personnalités politico-militaires dans les deux Congo. En toile de fond de ces contacts : l'adhésion aux principes du respect des constitutions et la lancinante question de l'alternance démocratique en Afrique en 2016.

C'est toujours dans cet objectif que, le Président Barak OBAMA effectuera courant le deuxième semestre de cette année, un voyage officiel au siège de l’Union Africaine à Addis-Abeba pour réaffirmer la position des USA.

Cette information aurait été reçue défavorablement par le clan au pouvoir à Brazzaville, dont la fébrilité notée ces derniers temps laisse présager un risque d’implosion en son sein. Déjà dans les coulisses, il nous a été donné d'observer qu'une bonne partie des cadres de ce clan, notamment ceux opposés au plan machiavélique du changement de la constitution du 20 janvier 2002, composés d’universitaires, de ministres en fonction ou anciens, de hauts fonctionnaires, d'officiers généraux et autres cadres de l'armée, ne seraient pas opposés au fait que le choix d'incarner l'alternance en 2016 au Congo - Brazzaville soit porté par la personne de Jean Marie Michel MOKOKO.

D'aucuns affirment même que, le pays va très mal et exigent la fin de la récréation.

Le gouvernement Congolais a prévu l'émergence économique à l'horizon 2025. A l'approche de cette échéance, nous constatons des manques criants dans la vie quotidienne de nos concitoyens tels que, la pénurie d'eau, d’électricité, du pétrole, du gazoil et de l'essence, des insuffisances structurelles révoltantes sur le plan sanitaire et de l’enseignement !
Pour ne citer que ces domaines où les besoins des populations sont essentiels et demeurent cependant scandaleusement insatisfaits au XXI éme siècle !

Le tableau que présente notre pays, ne le cachons pas, est désespérément très sombre.
La corruption et les détournements des deniers publics sont institutionnalisés et se pratiquent comme un sport national, au vu et au su de tous, avec la complicité des pouvoirs publics en général et le concours complaisant de la justice à certains égards.

Le Congo a besoin d’un changement radical.
Pour ce faire, il faut un homme d’Etat exemplaire capable d'insuffler un nouvel élan.
Nous pensons que le choix des congolais doit se porter sur la personne de Jean Marie Michel MOKOKO, un homme de défis et dont la compétence et le courage sont indispensables au pays pour faire face aux enjeux du XXI éme siècle.

Patou MASSAMBA

 

au changement de la constitution 

Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

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POUR UN CONGO LIBRE ET DEMOCRATIQUE

 

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      VISITEURS                           
         VISITEURS                               

 

 fl8.jpg EDITORIAL                                               

 

 

Nous avons tous  été confrontés un jour ou l’autre à un fait  choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.

Mais  désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant

soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des

problèmes qui nous rongent.

La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du  grand nombre dans la

dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu,  qui poseraient

des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :

           -des abus de tout genre ;

           -des injustices vis-à-vis des plus faibles ;

           -des scandales économiques, politiques, judiciaires…

La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.

La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps

comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons,  grâce  à elle, à

atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les

invulnérables.

Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les

enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des

agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :

           -des propos indélicats ; 

           -du culte de la division ;

           -des accusations affamantes ;

           -des observations désobligeantes ;

           -des contre vérités…

Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera

purement et simplement écarté.

email2.gifNous contacter :

dpeuplelavoix@yahoo.fr  

 

 

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  Le symbole de la liberté

  

         Non à la dictature

    

   

   

 

      L' INCORRUPTIBLE       

     Légende d'Afrique

  

  

 

       La colombe de la paix et de l'esperance

        

 

 

 

         Non à l' omerta

   

 

 

BONGO - CHIRAC - SASSOU les principaux acteurs

du coup d' Etat sanglant du 5 Juin 1997 au Congo Brazzaville

   

   

 

 

 

  Pour une Jusitce transparente et équitable

  

 

     

 

   

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  undefinedAu pillage des richesses en Afrique

 

 

    Capture

     Kwame NKRUMAH

   

 

        Emery Patrice LUMUMBA

   

 

  Alphonse MASSAMBA - DEBAT

          

 

  

        Marien NGOUABI

       

 

        Cardinal Emile Biayenda

  

             Thomas SANKARA

  

          drapeau des états unis

       Martin Luther KING

  

 

    

   

 

       Mahatma GANDHI

   

 

         Nelson MANDELA

    

 

          John Fitzgerlald KENNEDY  

    

 

       

 

   Pour une alternance démocrtique au Congo

     

     à la santé des Biens mal acquis  

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                              drapeau france

    

                          Le TonTon

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           Un grand et un petit

   

 

 

         

                   Non à la chasse à l' homme

        

 

     

      

 

        

 

                

   

 

     

 

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               La métamorphose

      

 

           

            La tour de contrôle

      

 

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         billet 500 euros

           portefeuille dollard

        

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        Aux massacres

        

 

            

         Des jeunes patriotes Ivoiriens tombés sous les bales

        

 

   Bombardement  de la résidence de Laurent GBAGBO

                          

       Des hélicoptères ont bombardé la résidence de Laurent Gbagbo.

 

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     Le  chemin  d' avenir, le chemin sans issue

                  

            

 

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      L'eau une denrée rare à Brazzaville, pourtant vitale

      

 

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                          Le fleuve Congo

        

     Le bord du fleuve Congo à Brazzaville pourtant les habitants manquent cruellement l' eau potable

         

 

       

 

                    

 

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        Révélations effarantes de John Perkins ancien assassin économique

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