Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 août 2016 3 24 /08 /août /2016 20:37

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24
    Auteur : Diaz MAHINDOU

     

    Quand les partisans de Parfait Kolélas font feu de tout bois

     

     

     

     

     

     

    Il y a des forfaitures qui vous donnent le tournis et des postures qui vous donnent la nausée. Si on nous avait dit que le fils de Bernard Kolélas ferait ça, jamais on l’aurait cru, parce qu’il avait suscité maints espoirs et beaucoup d’espérance dans sa démarche affichée et ferme de rupture avec le dictateur lorsque celui-ci voulait changer la constitution pour mourir au pouvoir.

    Tribune libre

    Esprit libre, je le suis. Pragmatique, je le suis aussi. Le tribalisme et le fanatisme aveugle sont mes ennemis. Je ne verse ni dans le népotisme, ni dans le culte de la personnalité. Je n’ai jamais cru en la providence d’un homme. J’ai toujours combattu la dictature et toute forme de pensée unique. Je ne suis encarté nulle part mais quand les prétendus leaders sont dans le faux, il faut s’en désolidariser. Voilà pour le tableau. Ma tribune d’aujourd’hui ne fera pas que des heureux, mais j’assume.

    Ce qui me gêne chez les partisans de Parfait Kolélas, c’est leur intolérance. Leur refus de voir la vérité, même quand celle-ci crève les yeux. Fanatisés à outrance, qui n’abonde pas dans leur sens est contre eux, un ennemi. Je crains fort qu’ils ne soient bien pires que ceux du camp d’en face qu’ils prétendent combattre.

    Il y a des forfaitures qui vous donnent le tournis et des postures qui vous donnent la nausée. Si on nous avait dit que le fils de Bernard Kolélas ferait ça, jamais on l’aurait cru, parce qu’il avait suscité maints espoirs et beaucoup d’espérance dans sa démarche affichée et ferme de rupture avec le dictateur lorsque celui-ci voulait changer la constitution pour mourir au pouvoir. Une démarche jusqu’au-boutiste  qui avait valu à Parfait Kolélas d’être viré du gouvernement.

    Comment un mec arrivé au deuxième tour avec Jean Marie Mokoko jeté en taule s’est-il contenté de si peu en se réfugiant dans un mutisme assourdissant, prétextant avoir ainsi sauvé des vies, pendant qu’une bonne partie des populations du Pool qui lui a témoigné son soutien, le paie au prix fort ? Cette question, le commun des mortels se l’est évidemment posée sauf bien sûr, ses fanatiques.

    Parfait Kolélas, comme le supputent les Congolais, serait dans la posture, et ça, il ne l’avouera jamais. Ses accointances connues ou supposées avec Sassou, avec lequel il serait tacitement lié par un pacte scellé par Kolélas père, pourraient bien avoir raison de lui un jour, parce que contrairement à ce que lui et ses partisans croient, les populations du Pool dont ils se targuent abusivement être propriétaires des voix ne sont pas prêtes à accepter n’importe quoi. Surtout pas une trahison. On ne peut pas vouloir le beurre et l’argent du beurre. Soit il se dévoile comme l’a fait de façon éhontée Tsaty Mabiala pour qui les sièges de député n’ont pas de prix, quitte à marcher sur les cadavres des jeunes Congolais tombés sous les balles, parce qu’ils avaient naïvement cru en lui et alors qu’il s’était juré ne pas trahir la mémoire, soit il continue à jouer sur les deux tableaux. Mais ce jeu de dupes ne pourra pas durer longtemps. On le voit bien, il apparait aujourd’hui dans une situation plus qu’inconfortable, dont il a tout le mal du monde à se dépêtrer.

    Depuis lors, le fils du Nkumbi de total est sur le grill et fait les choux gras d’une certaine opinion congolaise qui dénonce cette incartade. Il n’ y a pas de fumée sans feu. Mais pourquoi Parfait Kolélas, et pas ses compagnons d’infortune ? Au lieu de se poser cette question, ses fervents partisans crient au complot. Convaincus du succès qui est le leur auprès du peuple et des masses populaires, cette fois-ci, c’est le noyau dur de ses partisans qui est monté au créneau, demandant solennellement à leur messie de claquer la porte de l’IDC, une plateforme avec laquelle il est pourtant officieusement en rupture de banc depuis des mois, pour aller créer, tenez-vous bien, comme Paul Marie Mpouélé,  sa propre plateforme d’opposition en vue de débarrasser les Congolais de leur tyran. Si cette initiative aboutit, elle aura au moins un mérite : celui de la clarté. Bon débarras, diraient certains. Mais il est très peu probable que Parfait Kolélas prenne ainsi le risque de se mettre complètement à poil, il est tellement bien dans son confort. Sauf si ses compères prennent enfin le courage de le mettre à la porte.

    Mais qui a dit que les cinq doigts de la main pouvaient à elles seules laver un visage ? C’est faux, un seul doigt suffirait, à en croire ceux qui n’ont d’yeux que pour Parfait Kolélas. D’après eux, leur poulain  représenterait à lui tout seul l’opposition. Mais qu’est ce qu’on ne lirait pas comme connerie ? Ainsi, libéré enfin de tous les traitres et infiltrés qui ont jusqu’ici torpillé tous ses efforts, c’est donc en homme convaincu et surtout libre, qu’il entendrait ainsi  mener ce combat noble contre le tyran au Sassouland. Enfin un homme providentiel, après Sassou !

    Les Congolais lui disent Alléluia ! Cela fait 33 ans qu’ils attendent ce Zorro national qui viendrait les délivrer de cet enfer esclavagiste que leur imposent des primitifs, pour reprendre un qualificatif si cher à une illustre figure de l’opposition, combattant de la première heure sur le web et les réseaux sociaux.

    Aujourd’hui, voilà les partisans de Parfait Kolélas, partis à l’assaut de Brazzanews (un site dont sont friands les Congolais sur Facebook ), qu’ils n’hésitent pas à menacer de poursuites judiciaires, pour avoir commis selon eux le grand péché de lèse-majesté, celui d’annoncer dans les jours à venir, la visite de Parfait Kolélas  à Oyo. Au lieu de faire profil bas, laisser le prétendu mensonge mourir de sa propre mort et les ragots périr dans la nature de leur propre poison, ils dévoilent ainsi leur vraie nature. Pitoyable.

    Wait and see, comme diraient les Anglais. Si cette information est avérée, ce sont les nombreuses victimes du Pool qui doivent se retourner une énième fois dans leur tombe. Kolélas père ayant déjà fait en son temps le sacrilège de tomber dans le lit du tyran pour y finir ses vieux jours.

    L’on me dira que je n’ai pas à faire porter au fils, les errements de son père. C’est vrai et ce n’est d’ailleurs nullement dans mes intentions. Mais une question me taraude tout de même l’esprit : qu’est-ce que les Kolélas ont à gagner pour aller en vadrouille à Oyo, à chaque fois que le Pool est sous les hordes sauvages des barbouzes du tyran ?

    Pour ceux qui l’auraient déjà oublié, ou plus jeunes, n’ont pas connu l’époque, c’était déjà le cas avec Kolélas père. Sitôt rentré au Congo après son exil forcé, son premier geste fut d’aller à Oyo, sceller une alliance avec le diable Sassou Nguesso oubliant tous les morts du Pool et du Congo tombés en son nom pendant la guerre de 1997. L'histoire nous enseigne qu'il est parti se recueillir devant les cameras, sur la tombe des parents de Sassou. Les tombes de ses partisans n'ont à ce jour, jamais reçu son hommage. Au moment où Parfait Kolelas serait annoncé à Oyo, il y a lieu de se demander si la trahison ne serait pas génétique dans cette famille.

    L’histoire nous enseigne aussi que Bernard Kolelas voulait juste aller enterrer sa femme puis revenir sur Paris. A cette époque les partisans du MCDDI étaient mobilisés sur la place de Paris pour enterrer la défunte maman à Paris. Parfait Kolelas et Hellot Mampouya auraient joué sur la détresse de Bernard Kolelas pour le monnayer chez Sassou. On connait la suite. Bernard Kolelas n'est plus jamais revenu en France. Il s'est retrouvé à Oyo pour réactiver l'alliance PCT/MCDDI abandonnant à leur triste sort ses nombreux partisans qui l'avaient suivi en exil et d’autres restés dans les forêts au Congo.

    Le Pool et ses traitres, c’est toute une longue histoire. Bernard Kolélas à son époque, Hellot Mampouya, Alphonse Nsilou, Landry Kolélas et bien d’autres aujourd’hui, ont cru bon monnayer leur allégeance auprès d’un tyran en se servant du Pool. Eux, pas plus que Parfait Kolélas d’ailleurs, n’ont le monopole du Pool. Vivement les  états généraux du Pool.

    La plume libre !

    Diaz Mahindou

     

     

     

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0
24 août 2016 3 24 /08 /août /2016 12:49

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24
     

     

     Revendications sociales : la morgue de Brazzaville complètement paralysée ce 23 août 2016

     

     

     

    morgue-brazzaville

     

     

     

    Déclenchée le 18 août dernier à Brazzaville par la plateforme des syndicats des mairies du Congo, la grève des agents municipaux a pris, ce mardi 23 août, une autre dimension jusqu’au point de paralyser totalement le programme des levées de corps à la morgue municipale.

    De nombreuses familles ayant effectué le déplacement de la morgue municipale de Brazzaville aujourd’hui sont réparties chez elles déçues. Pour cause, les portes sont restées fermées suite à un mouvement de grève des agents. « Nous sommes venus pour l’inhumation de notre neveu décédé à Pointe-Noire. Son corps est arrivé à Brazzaville le samedi, mais sur place la morgue ne travaille pas, donc c’est un coup dur pour nous. Là nous sommes en train de répartir à la maison », a expliqué une femme aux environs de 11 heures.

    En effet, selon les revendications affichées à la mairie centrale de Brazzaville, les agents municipaux du Congo réclament, entre autres, le non-versement des retenues de la CNSS opérées par le Trésor public depuis plusieurs années ; les arriérés de quatre mois de salaires dans les mairies de Nkayi ; Dolisie ; Mossendjo ; Ouesso. Pour Brazzaville, les agents municipaux ne seraient plus payés avec la valeur du point d’indice 275 depuis janvier 2016 : conséquences sept mois de différence de salaires.

    Pour rappel, l’avis de grève a été lancé le 2 août dernier. Ceci après observation d’un préavis de grève de huit jours initié par la plateforme des syndicats des mairies du Congo, réunie en assemblée générale extraordinaire du 21 au 22 juillet 2016 à Dolisie. « Notre préavis n’ayant pas donné satisfaction aux revendications sociales des agents municipaux, le bureau exécutif de la plateforme a jugé opportun de lancer un avis de grève à compter du 2 août 2016 », justifiaient les initiateurs de la grève.

    Soulignons que les agents municipaux devraient reprendre le service ce matin, d’après un appel lancé lundi par certains responsables syndicaux, à l’issue de l’entretien  avec le maire de la ville de Brazzaville, Hugues Ngouélondélé.

    Parfait Wilfried Douniama

     

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0
18 août 2016 4 18 /08 /août /2016 21:44

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24
     

     

    LES DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND : LE SASSOULAND D’AUJOURD’HUI, C’EST CLAUDINE MUNARI QUI EN PARLE LE MIEUX, DANS SA DÉCLARATION DU 1er JUILLET 2016.

     

    LORSQU'UNE ORGANISATION CRIMINELLE S'EMPARE DE L'ETAT OU LORSQU'UN ETAT DEVIENT VOYOU.

    MORCEAUX CHOISIS A SAVOURER SANS MODÉRATION

     

     

     

     

     

    Au comble de l’ironie, les criminels essaient de dissimuler et de faire porter aux autres, la responsabilité de leurs propres crimes. Ces méthodes ont servi et sont usées. Elles n’amusent plus personne.

    Depuis le 25 Octobre 2015, nous sommes entrés dans une zone de non-Etat. Cela le sera davantage à partir du 15 Aôut 2016….Ce qui tient lieu d’Etat depuis le 25 Octobre 2015, n’est rien d’autre qu’une organisation criminelle.

    Des voies de faits, ses arrestations arbitraires, ses brutalités de tous genres et ses violations systématiques de toutes les règles sans exception, témoignent du caractère hors la loi du pouvoir de Brazzaville. Ils ont confisqué l’appareil de l’Etat et se servent de ses attributs pour faire un monde honorable. On parle en son nom, mais l’Etat n’existe pas.

    Quand le désordre règne, chaque citoyen dans la République est fondé à rétablir l’ordre. Lorsqu’une organisation criminelle tient lieu d’Etat, sème le trouble et la désolation, nous tous, individuellement et collectivement avons, le droit de rétablir l’ordre.

    Lorsqu’une organisation criminelle s’empare de l’Etat ou lorsqu’un Etat devient voyou, lorsqu’une organisation criminelle met à mal la paix, l’unité de la nation et crée l’insécurité, chacun de nous a le droit de rétablir l’Etat légitime et son autorité. Nous avions le droit de le faire, mieux, le devoir d’agir comme cela est indiqué dans la résolution 678 du Conseil de sécurité des Nations Unies, je cite : « par tous les moyens nécessaires ».

    Ne baissons pas les bras, La cause nationale triomphera.

     

     

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0
18 août 2016 4 18 /08 /août /2016 21:19

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24
     
     

     

    Clément Mierassa: Point de presse de la composante J3M

     

     

     

     

    conf-presse-j3m_001conf-presse-j3m_002conf-presse-j3m_003conf-presse-j3m_004conf-presse-j3m_005

     

     

     

     

    Message du Président de la CADD, André OKOMBI SALISSA , lu au Congès de la DIASPORA

     

     

     

    message-okombi-diaspora_001

    message-okombi-diaspora_002

     

    IVème Anniversaire du Collectif des partis de l’opposition congolaise

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "congobrazzaville"

     

     

     

    Conf-presse-4eme-an-col_001

    Conf-presse-4eme-an-col_002Conf-presse-4eme-an-col_003Conf-presse-4eme-an-col_004Conf-presse-4eme-an-col_005Conf-presse-4eme-an-col_006Conf-presse-4eme-an-col_007Conf-presse-4eme-an-col_008Conf-presse-4eme-an-col_009Conf-presse-4eme-an-col_010Conf-presse-4eme-an-col_011Conf-presse-4eme-an-col_012Conf-presse-4eme-an-col_013Conf-presse-4eme-an-col_014Conf-presse-4eme-an-col_015Conf-presse-4eme-an-col_016Conf-presse-4eme-an-col_017

     

     

     

     

     

     

     

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0
16 août 2016 2 16 /08 /août /2016 21:37

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24
     
    Auteur :  BASSANGO YA SASSOULAND

     

    LES DERNIERES NOUVELLES DU SASSOULAND : LA SIMILITUDE ENTRE DEUX DICTATURES: LE SASSOULAND & LA COREE DU NORD

     

    Le Culte de la personnalité,

    Gestion clanique et opaque.

    Corruption généralisée.

    Réquisition des civils,

    La propagande sur mes médias d'Etat,

    Le pouvoir au bout du fusil,

    Le tout sécuritaire,

    Les barbouzes

    Mise au pas des populations,

    Etat policier et police politique.

    Enfermement des opposants,

    Exécution des opposants, voire des membres de la famille ( Au Sassouland, excepté mystiquement, Physiquement on n'y est pas encore mais ça ne saurait tarder )

    La Monarchie.

    La seule différence et elle est toute minime, c'est qu'en Corée du nord, il n' y a pas d'élections. ça a au moins le mérite d'être clair et net. Par contre au Sassouland, les élections, c'est juste pour le FUN pour donner un semblant de vernis démocratique à la dictature clanique. Mais dans les faits c'est comme en Corée du Nord.

     

     

     

     

    Alain AKOUALA LE TOTO DU GOUVERNEMENT TYRAN : LA BOURDE QUI FAIT COULÉE L'ENCRE SUR LA TOILE

    Afficher l'image d'origine

     

    Congolaises, Congolais,

     

    Lorsque vous avez à la tête du pays un monsieur qui n'a qu'un petit BEPC (Brevet d'Etudes du Premier Cycle), niveau 3ème, et des ministres qui n'ont même pas le Bac, comme leur maître, voici ce que ça donne.

     

    Le pire dans tout cela c'est qu'au lieu de faire preuve d'humilité, ils font plutôt preuve de beaucoup d'orgueil et d'arrogance pour rien.

     

    Que c'est pitoyable !

    B.M.  

     

     

    .LES DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND: COMMENT NOYER LE POISSON, POUR MASQUER LE COUP D’ÉTAT CONSTITUTIONNEL ET LE HOLD-UP ÉLECTORAL

     

    Deux images qui résument parfaitement la stratégie du tyran pour enfumer les Congolais. le 12 Août 2016, c'était la date buttoir de son dernier et énième mandat. Le tyran pourra trouver tous les slogans creux du genre: Vivre ensemble, vivre en solo, ou vivre en autarcie, cela ne nous concerne pas. Les Congolais s'étaient clairement exprimés en Mars dernier dans les urnes. Ils n'en veulent pas.

    « Le FROCAD aurait été heureux de prendre part à ce cocktail si un signal fort de décrispation du climat politique avait été donné à l’aune de la fête de l’indépendance Nationale, notamment en libérant les compatriotes détenus à la Maison d’arrêt suite au référendum du 25 Octobre 2015 et au holdup électoral du 04 Avril 2016. Point n’est besoin de rappeler que l’insalubrité politique actuelle trouve ses racines dans ces deux évènements……….Ne nous voilons pas la face. Redisons-le, les institutions politiques actuelles n’ont de légitimité que de fait………Libérons donc notre pays des démons du passé pour réussir le Vivre ensemble dans la convivialité républicaine ». Signé Claudine Munari.

    « C’est pourquoi il continue à réfuter les résultats du scrutin
    présidentiel du 20 mars 2016 qui, de bout en bout est entaché des
    irrégularités criardes. Le Général MOKOKO est convaincu que
    donner la caution à ces résultats serait la capitulation dans la lutte
    pour l’éclosion de la démocratie dans notre pays». Mokoko Via Clément Mierassa.

     

     

    LES DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND : QUAND LE GENIE CONGOLAIS SE LIBÈRE DE LA DICTATURE

    LU POUR VOUS SUR LE MUR D'UN DIGNE OPPOSANT AU TYRAN. JE N'AI PU M'EMPECHER D'ACCOMPAGNER CE BEAU TEXTE PAR CETTE PHOTO POUR MIEUX ILLUSTRER ET COMPRENDRE LE PROPOS.

     

    Synopsis d'une pièce de théâtre tragique pour mon ami Alain Mabanckou

    Titre : Cambriolage dans un orphelinat 
    C'est l'histoire d'une bande de voleurs qui sévit pendant longtemps dans un quartier, et particulièrement dans une épicerie familiale, sans jamais être inquiétée. Grisés par leur invulnérabilité nocturne, les malfrats décidèrent d'opérer en plein jour. Et là ils furent surpris par le propriétaire de la boutique. Sans hésiter, ils abattirent le père de famille devant ses enfants. Tous les voisins témoins du forfait subirent le même sort.

    Une génération plus tard, le dernier des Mohicans revint s'attaquer à la veuve. Il viole et tue la mère de famille, la mère de la Patrie, le socle du foyer, celle que dans le quartier on appelait Constitution, parce qu'elle était la mémoire de la communauté ; celle vers qui on se retournait pour se rappeler des règles du vivre ensemble.
    Les orphelins décidèrent de l'incinérer et de mettre ses cendres dans une urne dorée comme symbole de leur dignité.

    Son impunité étant consacrée, le goujat revint une dernière fois pour voler l'urne des cendres de la mère, gage de souveraineté. Et là les orphelins se dirent SASSOUFIT et se mirent à le huer et depuis ils lui courent après tous unis comme un seul homme...

    Plus que la rancoeur de l'assassinat du père, contenue puisqu'ils n'auraient rien pu faire étant peut-être trop jeunes à l'époque, cumulée au traumatisme du viol de la mère, auquel ils ont assisté , la profanation de l'urne, ou le hold-Up, est la goutte d'eau qui fit déborder le vase.

    Trop c'est trop, les orphelins de Marien ne se laisseront plus faire... Et ils renvoient le dernier des Mohicans à son discours du boulevard des armées en 1992 : quand un gouvernement viole la constitution, le peuple ne doit pas laisser faire...

    Jean Moulin

    NB : Sur la photo, le tyran, sa dulcinée à ses côtés, sa fille en bleu, son porteur de fétiches derrière, etc....

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "congobrazzaville"

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0
11 août 2016 4 11 /08 /août /2016 21:50

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24
    Auteur : Bassango Ya Sassouland

     

     

     

     

    LES DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND : VOUS AVEZ DIT PROCÈS? MAIS NON. LES CONGOLAIS DISENT RÈGLEMENT DE COMPTES POLITIQUES. CETTE MASCARADE JUDICIAIRE ANNONCÉE AU SASSOULAND. LE DISQUE EST RAYÉ.

     

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "congobrazzaville"Afficher l'image d'origine

     

     

    .

    Au fond, personne n'est vraiment dupe. La prochaine comparution annoncée de Jean Marie Mokoko et les autres prisonniers d'opinion, dans l'antichambre de la DGST version judiciaire ( Tribunal de Brazzaville), est un procès purement politique avec des relents de règlements de compte.

    Atteinte à la sûreté intérieure du Sassouland et détention illégale d’armes et munitions de guerre. C'est tout ? Oko Ngakala aurait pu et dû ajouter sur instruction du tyran et Jean Dominique Okemba, les chefs d'accusation ci-après:

    Assassinat de Marien Ngouabi par Mr 8%

    Assassinat du Cardinal Emile Biayenda par Mr 8%.

    Assassinat de Massamba Debat et des Ndoudi Ganga par Mr 8%

    Empoisonnements des adversaires politiques par Mr 8%.

    Coup d'Etat militaire et renversement en 1997 de Pascal Lissouba par Mr 8%.

    Opération Mouébara par Mr 8%.

    Crimes imprescriptibles de guerres en 1997 par Mr 8%.

    Les disparus du Beach par Mr 8%.

    Enrichissement illicite par Mr 8%.

    Biens mal acquis par Mr 8%.

    Panama Papers par Mr 8%et son clan

    Corruption et chasse des opposants politiques par Mr 8%.

    Mise sous coupe réglée des pans entiers de l' économie du Sassouland par Mokoko et ses enfants, voire ses amis et leurs progénitures.

    Pillage en bande organisée des deniers publics par Mokoko, ses amis et leurs familles respectives.

    Gestion clanique et opaque du Sassouland par Mokoko et ses compères.

    Assassinat par Mokoko et ses compagnons d'infortune, des jeunes en Octobre 2015, contre le référendum des couillons.

    Hold-up électoral en Mars dernier avec déploiement massif des barbouzes au Sassouland.

    Mise en branle au rond point Moungali de l'obélisque de la honte qui livre enfin ses secrets

    Génocide en cours dans le Pool, organisé par Mokoko et ses compagnons d'infortune.

     

     

    LES DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND : VOICI MES CHAMPIONS ET J'AI UNE PENSÉE PARTICULIÈRE POUR EUX

     

     

     

    Résultat de recherche d'images pour "congobrazzaville"

     

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

     

    Mais qu'ont-ils fait de nos morts? Aujourd'hui, je n'ai pas voulu faire la PUB aux retrouvailles des voyous du Sassouland, qui se sont rassemblés fallacieusement sous l'escroquerie du vivre ensemble. C'est un non événement et ce serait trop leur faire honneur. Le vivre ensemble faut-il le rappeler ici, c'est les respect des lois et des règles d'un pays. Le vivre ensemble c'est le respect de la vie humaine.

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand on se refuse à cette folle idée que seul le tyran doit régner en maître?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand nos frères et sœurs du Pool sont sous les bombes depuis le 4 Avril ?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand Ntumi est traqué nuit et jour pour des histoires à dormir debout?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand ces dignes fils du Sassouland sont soit en taule soit vivent dans la clandestinité?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand le tribalisme exclut une frange des fils et filles du Sassouland?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand un tyran viole la loi , tue nos frères et sœurs pour mourir au pouvoir?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand seule la volonté d'un tyran et son clan doit régir le Sassouland?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand on a verrouillé toute possibilité d'alternance au Sassouland au seul profit d'un clan?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand le jeu politique est complètement biaisé?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand les autres fils et filles du Sassouland sont perçus comme une menace une fois arrivés au pouvoir?

    Comment peut-on parler du vivre ensemble quand le tyran et son clan se refusent à l'idée de voir d'autres fils et filles prendre les regnes du pays

     

     

     

     

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0
10 août 2016 3 10 /08 /août /2016 19:40

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24
    Lu pour Vous 

     

    A L’OREE DU 56 EME ANNIVERSAIRE DE L' INDÉPENDANCE DU CONGO BRAZZAVILLE

     

     

    56  ième ANNIVERSAIRE DE L'

    Afficher l'image d'origineRésultat de recherche d'images pour "congobrazzaville"

     

     

    Depuis deux ans environs, l’économie mondiale traverse une période de crise dont les causes peuvent être recherchées dans les fluctuations des cours de matières premières, ceux du pétrole en particulier.

    Dans les pays africains exportateurs de cette ressource, la crise se caractérise par une baisse drastique des recettes des Etats, obligeant ceux-ci à procéder à des arbitrages nécessaires au maintien des équilibres macroéconomiques. Il sied de relever que la gravité de cette crise pour les économies des pays comme la République du Congo et le Gabon s’explique par la forte dépendance de celles-ci, des revenus pétroliers dont le poids dans les exportations représente plus de 80%.

    En effet, le constat est que, l’essor économique de ces pays dépend essentiellement des fonds injectés par l’Etat dans le cadre de ses programmes d’investissements publics.

    Le cas du Congo est parlant à travers la politique dite de municipalisation accélérée dont les deux dernières éditions n’auront pas été des succès véritables en raison de la baisse du budget de l’Etat. A titre d’illustration, dans la commune de Ouesso et les sous-préfectures du département de la Sangha où la municipalisation a eu lieu en 2015, les bâtiments administratifs habituellement construits (conseil département, mairies d’arrondissement, mairie central, siège de la Préfecture, sièges des sous-préfectures peinent à sortir de terre pour les édifices dont les travaux n’avaient pas encore été lancés. Pour les édifices dont les travaux ont été lancés, on constate du moins un immobilisme sinon un abandon total des chantiers par les ouvriers. Un tel comportement économique peu rationnel montre que l’économie congolaise ne tient qu’à un seul fil.

    Que faire pour sortir le Congo de cette dépendance économique forte des revenus pétroliers ?

    La solution idoine se trouve dans la construction à terme d’un tissu économique intérieur intégré à travers une politique structurelle dite de diversification de l’économie qui consisterait par exemple en ce qui concerne le secteur agro-pastoral, d’initier les paysans et les petites et moyennes entreprises nationaux à la production des intrants, lesquels seront vendus aux éleveurs et agriculteurs qui produiraient pour le marché local en priorité. Ce circuit fermé dans un premier temps aura le mérite de réduire la dépendance alimentaire du Congo vis-à-vis de l’extérieur avec des importations de denrées alimentaires qui avoisinent les 100 000 000  de dollars par an. Une somme de ce niveau injectée dans l’économie congolaise serait une opportunité de croissance sans précédent comme c’est le cas dans des pays comme la Côte d’Ivoire et le Cameroun qui ne vivent pas la crise actuelle avec la même ampleur que le Congo et le Gabon grâce à des économies diversifiées et surtout, des secteurs agro-pastoraux qui offrent des emplois stables à une grande partie de la population active.

    En marge des réformes à mener dans le secteur cité ci-haut, les Etats économiquement fragiles comme le Congo devraient améliorer la qualité de la dépense publique en aval à travers la mise en place d’un mécanisme de contrôle efficient, l’accent devant être mis sur le principe de la dépense effective. En amont, le même travail devrait être fait dans la collecte de l’impôt et des autres droits fiscaux.

    En effet, si les évasions fiscales sont évitées, tout comme les dépenses non justifiées, les fonds publics disponibles serviraient à financer des investissements publics sources de croissance et d’emplois. Il en serait ainsi dans le domaine des travaux publics pour lesquels des efforts énormes restent à faire (construction de ponts, de routes, d’hôpitaux…).

    D’une manière générale, l’on peut noter qu’avec les revenus pétroliers engrangés pendant un peu plus d’une dizaine d’années, une gestion saine aurait permis de réaliser des économies substantielles nécessaires à l’atténuation des déficits dus à la baisse des cours du pétrole. L’on devrait s’étonner de ce que les fonds dits de stabilisation logés dans des comptes ouvert dans les livres de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale n’aient pas servi à cet effet.

    Par ailleurs, aucun pays au monde ne s’est développé uniquement grâce aux seules opportunités offertes par l’Etat à l’ensemble de sa population. Un secteur privé dynamique bénéficiant des faveurs financières du système bancaire national est nécessaire pour la dynamisation d’une économie. Or, force est de constater que ce secteur pourtant vital est délaissé ou quasi-inexistant. L’Etat est le plus grand pourvoyeur d’emplois. « On ne développe pas un pays en doublant l’effectif des services administratifs ou en distribuant des sinécures, mais en mobilisant les bras et les énergies au service d’un idéal fondé sur le bien commun. »(R. Gendarme).

    Il en découle qu’au moment de célébrer le 56 ème anniversaire de l’accession de notre pays à l’indépendance, les décideurs au plus niveaux responsables du marasme économique du Congo se devraient de repenser  le développement afin de mettre le pays sur le bon chemin.

    En guise de conclusion, lisons tous cette pensée de René Dumont : « Dans la République de Camarades, tant que l’esprit de clan et de caste dominera l’intérêt national et patriotique, tout espoir de développement s’évanouit. »

    Dire que la chute des cours du pétrole n’est pas la seule cause de la crise que traverse le Congo c’est dire VRAI.

    Dire que les Responsables politiques actuels sont responsables du sous-développement du Congo c’est dire VRAI.

    Trouver toute autre excuse aux lacunes du Congo c’est dire FAUX.

    Bonne fête de l’indépendance à tous.

    Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0
10 août 2016 3 10 /08 /août /2016 19:24

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24

     

    CONGO BRAZZAVILLE MOKOKO EN PRISON : Chronique d' une mort cruelle, inutile et progammée 

     

     

    free-mokoko 

     

     

     

    Pouvons-nous éviter la guerre sans tomber dans le déshonneur ?

    Depuis le début de cette crise, nous avons tenté de prêcher la voie du milieu, celle du bon sens élémentaire : Mettre l’église au milieu du village, rassembler et reconstruire. Oublier ce qui nous divise pour être plus unis que jamais comme le recommande notre hymne national. Les choses étaient simples et claires : Après deux mandats constitutionnels, Sassou devait quitter le pouvoir pour établir une tradition d’alternance pacifique au Congo. Craignait-il pour ce qu’on aurait pu lui reprocher, nous nous engagions en échange à lui garantir une sortie honorable. Il ne l’a pas fait, malgré les multiples appels à la raison.

    Est-il trop tard maintenant ?

    Ayant forcé le changement de constitution et anticipé l’élection présidentielle, Sassou se retrouve dans une situation inconfortable. On lui a certainement fait croire qu’il pouvait gagner cette élection. Tout le monde constate que la victoire imposée est pire qu’une défaite acceptée. Ce triomphe sans gloire le pousse aujourd’hui à réclamer la reconnaissance de ses challengers. La nouvelle constitution impose-t-elle au vainqueur de l’élection d’attendre la reconnaissance des vaincus avant de pouvoir régner ?

    La situation tourne même à l’absurde. Mokoko était à deux doigts de reconnaître la victoire de Sassou. La télé était déjà devant sa villa, prête à recueillir sa déclaration. Tout le monde sait aujourd’hui que l’ex-ambassadeur français Vidon et l’homme d’affaires Olivier avaient réussi à le convaincre. Prétextant l’insoutenable souffrance imposée aux populations du Pool, Mokoko était sur le point de signer la reconnaissance exigée de lui par le pouvoir. Les raisons qui l’ont poussé à se rétracter à la dernière minute restent mystérieuses. Mokoko serait-il aujourd’hui en prison s’il avait reconnu la victoire de Sassou ?

    Mokoko pris au piège infernal du schisme nord-sud

    Le sud du Congo, Pointe-Noire en tête, où la soif d’alternance était et reste toujours immense, a voté pour Mokoko. L’espoir était probablement le suivant : En tant que général, Mokoko tiendrait tête à Sassou. En tant que nordiste son positionnement  allait priver Sassou de l’épouvantail que constitue pour beaucoup de nordistes la perte du pouvoir en faveur du sud. Les résultats électoraux du nord restent à ce jour, sujets à caution, étant donné le fait que l’opposition n’avait pas assez de représentants dans les bureaux de la partie septentrionale. Il est donc difficile d’évaluer l’adhésion du nord-Congo à la candidature de Mokoko. Une nouvelle thèse a vu le jour : Mokoko était le cheval de Troie que les sudistes ont utilisé afin qu’il récupère le pouvoir fort du nordiste Sassou avant de se le faire voler par les méchants sudistes. Pauvre Congo !

    Mokoko avait-il un plan B ?

    Tout le monde y a cru ou a voulu y croire. Au vu de ce qui se passe aujourd’hui, on peut supposer deux choses : Soit il avait un plan B qui n’a pas fonctionné, soit il n’en avait pas du tout. Inutile à présent d’épiloguer sur la responsabilité des uns et des autres. La question qui doit nous préoccuper est la suivante : Comment sortir Mokoko de la prison où il croupit pour des raisons purement politiques, fallacieuses et connues de tous ?

    Trois possibilités peuvent être évoquées :

    Les populations qui ont soutenu Mokoko exigent sa libération. Elles l’imposent au besoin par une grande manifestation. Elles ont confié leur espoir à Mokoko qui s’est engagé à les libérer d’un régime qui viole la constitution et étouffe la démocratie. Le minimum qu’elles doivent à Mokoko, c’est de le soutenir dans les épreuves qu’il subit injustement. Or, à voir la passivité de la population, on est en droit de se poser des questions.

     

    Des bruits courent que des unités entières de l’armée auraient été désarmées à la dernière minute avant la présidentielle de mars 2016 pour éviter des mutineries. Y aurait-il eu un plan B qui aurait été éventé ? Le pouvoir a-t-il agi par anticipation ? L’armée a-t-elle été prise de court par ce fait accompli ? Autant de questions et bien d’autres qui restent sans réponse aujourd’hui. Là aussi, l’histoire nous dira ce qui s’est réellement passé.

    Ces deux hypothèses restent du domaine du possible. Cependant, elles exigent du temps pour se mettre en place. Or l’état de santé de Mokoko se dégrade à vue d’œil. Nous courons droit vers l’irréparable. Les dernières images du général ne sont pas rassurantes. Chaque jour qui passe le rapproche de l’issue fatale. La mort de Mokoko déclenchera-t-elle la révolte tant attendue et tant souhaitée par les uns et tant redoutée par les autres ? Ou au contraire restera-t-elle un dégât collatéral dans la tumultueuse vie politique d’un pays qui se prépare déjà en coulisse à une nième guerre civile ?

    On a entendu les gens de Makoua menacer de descendre sur Oyo au cas où il arrivait quelque chose à Mokoko. Aux dernières nouvelles, ils auraient été largement corrompus pour ne pas bouger. On a entendu des Congolais prédire un bain de sang au cas où le pouvoir traverserait la ligne rouge. Mokoko a été emprisonné, personne n’a bougé le petit doigt. A l’allure où vont les choses, Mokoko pourrait mourir demain, nul ne sera étonné que rien ne se passe. Et sa mort aura été cruelle, diabolique, inutile et programmée.

    La diaspora

    De nombreuses voix s’élèvent au pays pour demander à la diaspora de faire quelque chose. Inutile de répéter que la solution au problème congolais devra se trouver au Congo et entre Congolais. Si la diaspora et la communauté internationale peuvent  apporter leur contribution, c’est en appoint aux solutions recherchées sur place par ceux qui vivent quotidiennement une tragédie à huis-clos. D’une  part, ceux que hante la peur de perdre le pouvoir et de l’autre, ceux soumis à la répression d’un pouvoir déstabilisé par une crise post-électorale sans précédent couplée à une crise économique dévastatrice. Nul ne peut ignorer que la diaspora joue un rôle important dans la sensibilisation de l’opinion publique internationale sur la situation du Congo. Elle participe à la pression financière et économique dans le but de pousser le pouvoir à la négociation afin d’aboutir à une solution politique globale. Sur ce point, un certain succès a été atteint. La diaspora aurait-elle choisi son camp, celui de l’opposition ou peut-elle user du détachement que permet la distance pour encourager le vrai dialogue qui fait tant défaut au Congo ?

    Malheureusement, la grande majorité de notre diaspora ne brille pas par la modération et la pondération. A des milliers de kilomètres de Brazzaville, nombreux sont nos concitoyens qui ne mettent jamais les pieds à Brazza au prétexte que leur vie serait menacée mais qui passent leur temps à insulter le pouvoir pour sa tyrannie et l’opposition pour sa couardise. Nous aurions même l’opposition la plus bête du monde et le pouvoir le plus idiot de la planète. Eux seuls, irréprochables immaculés à la science infuse auraient la clé du problème congolais. Ils seraient prêts à aller libérer le peuple congolais de la barbarie et nettoyer le paysage politique congolais des miasmes du PCT et affiliés. Leur arme de prédilection ? Appeler le peuple à sortir dans la rue pour renverser le pouvoir. Leur argument ? On ne chasse pas une dictature sans prendre les armes. On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. Et qui sont les œufs ? Pas eux, bien sûr, mais le pauvre peuple qui doit se mettre en avant. Eux, ils sont justes bons à bomber le torse dans le dos des autres. Ils seront pourtant les premiers à revendiquer la victoire et à se partager les postes ministériels bien avant la chute du pouvoir.

    Où sont donc ceux qui depuis Paris avaient organisé l’arrivée triomphale de Mokoko à Brazza ? Pourquoi ne l’ont-ils pas accompagné à Brazza ? Pourquoi ne descendent-ils pas au Congo sortir le général des griffes du pouvoir ?

    La troisième voie

    Soulignons d’emblée qu’elle sera totalement inutile si le pouvoir arrive à s’imposer ou si l’opposition arrive à prendre le dessus. Dans les deux cas, les risques d’une guerre civile à la libyenne, irakienne ou syrienne sont très réels. Pour le moment, nous n’y sommes pas encore et tant que c’est le cas, il faut continuer à prôner un dialogue franc basé sur l’exigence démocratique d’une alternance pacifique. Utopie ? Bien sûr ! Car pour le pouvoir le dialogue a longtemps été synonyme d’escroquerie politique tandis que l’opposition le considère comme une perte de temps. Et le peuple, que pense-t-il ?

    Nous parlons tous au nom du peuple, mais feignons d’ignorer que le peuple est profondément divisé entre le nord et le sud. De surcroît, ce peuple craint la guerre comme une peste pour l’avoir éprouvée dans sa chair et ses biens pendant de trop longs mois et de trop longues années. Nous faisons semblant d’ignorer que le Nord-Congo n’est pas rassuré par l’après-Sassou. Ce dernier sera-t-il fait de règlements de compte aveugles où tout nordiste sera tenu pour responsable de la gestion du PCT ? Nous fermons les yeux sur les mega-meetings d’octobre 2015 et de mars 2016 pendant lesquels les refrains en Kongo et kituba n’avaient rien de rassurant, quand on entendait des masses hurler « Kongo dieto bâ mbuta ba sisa dio » (Le Congo, un héritage de nos ancêtres). Je ne sais pas si à ce moment, les Kongo qui hurlaient croyaient qu’ils avaient les mêmes ancêtres que les Ngalas. Et que dire du refrain « Tata pesa beto ngolo, ya ku nuane mvita yayi…Sassou me kuamisa beto, beto ke vutuka manima vé » (Dieu, donne-nous la force de mener ce combat….Sassou nous a harcelés…nous ne reculerons pas. » Ceux qui le chantaient, se sentaient-ils réellement solidaires des galériens de Talangaï-Mikalou ou Impfondo ou pensaient-ils plutôt leur heure de gloire enfin venue ?

    Diaspora : Démarche pratique

    Comment la diaspora peut-elle contribuer à décrisper la situation au Congo ? Nous proposons une démarche simple : Organiser un voyage groupé (par charter ?) pour aller exprimer sur place notre ras-le-bol et proposer un dialogue réellement inclusif et responsable avec des objectifs bien précis basés sur la garantie de l’alternance politique. C’est l’occasion de voir le courage de ceux qui, cachés derrière des écrans d’ordinateurs et des pseudonymes demandent sans cesse à nos compatriotes de descendre dans la rue. Le courage d’aller affronter le pouvoir les mains nues par la seule force de nos arguments. Ceux qui passent leurs journées à insulter le pouvoir et l’opposition sont invités à descendre les premiers sur le ring des arguments et à faire ce qu’ils ont toujours demandé aux autres : manifester face à un pouvoir violent. Nous irons ensemble demander la libération de Mokoko et la tenue d’un vrai dialogue.

    J’entends déjà des voix s’élever pour critiquer la naïveté et l’utopie de la démarche. Peu importe.  Je m’adresse ici au CONGO ETERNEL, celui qui veut se construire dans la paix et le rassemblement de tous, dans la justice et le progrès. Ce Congo-là n’a pas peur de se retrouver face à Sassou et de lui parler droit dans les yeux le langage de l’unité et de la concorde qui commencent par le strict respect des règles établies. Le langage de la paix et de la dignité que nous défendons tous. Et c’est au nom de cette dignité que nous exigeons la libération de Mokoko, de Paulin Makaya, de Libongo-Ngoka, de Modeste Boukadia et de tous les autres prisonniers politiques.

    Modalités pratiques : Nous voulons organiser le plus tôt possible un vol de 250 ou 500 volontaires (et pourquoi pas plus ?) Nous associerons la presse internationale et des politiciens européens et américains pour témoigner sur le niveau de « démocratisation du Congo ». Chacun supportera son billet. Une contribution volontaire sera demandée à ceux qui soutiennent l’initiative, mais qui ont peur de faire le voyage. La contribution des peureux est aussi la bienvenue. Que le pouvoir nous arrête tous et nous enferme dans la même prison que Mokoko.

     

     

    Nous voulons éviter la guerre au Congo, mais pas au prix du déshonneur et de la lâcheté. C’est pourquoi nous irons voir Sassou pour parler du CONGO ETERNEL, les yeux dans les yeux. Nous irons rassurer chaque Congolais qu’il y a un avenir national après Sassou. Et de même que nous exigeons aujourd’hui la libération de Mokoko et des autres prisonniers politiques, nous exigeons aujourd’hui et exigerons demain, avec la même force et le même courage, une retraite tranquille pour Sassou. Nous nous opposerons avec la même énergie à quelle que chasse aux sorcières que ce soit.

    VIVE LE CONGO ETERNEL !

     

    « Vous avez voulu éviter la guerre au prix du déshonneur. Vous avez le déshonneur et vous aurez la guerre. »
    Winston Churchill

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0
10 août 2016 3 10 /08 /août /2016 19:19

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24
    Par Patrick Eric MAMPOUYA

     

    CONGO BRAZZAVILLE : un dialogue pourquoi faire ?

     

     

    patrick-mampouya 

     

     

     

    L’actualité politique congolaise est bercée par un mot doux qu’on nomme Dialogue. C’est ici l’occasion de mettre les pieds dans le plat et de poser clairement la question : UN DIALOGUE POURQUOI FAIRE.

    Un dialogue dont le pouvoir ne veut pas, puisque tout irait au mieux selon les vuvuzela de la nouvelle République.

    L’opposition pense qu’un dialogue pourrait solder les différentes crises que connaît le pays parce que le climat insurrectionnel que traverse le Congo Brazzaville aujourd’hui est proche de l’hystérie collective.

    Le dialogue de Sibiti et le dialogue alternatif de Diata sont arrivés à des conclusions différentes sur le même sujet, celui de la gouvernance électorale ;

    Les morts lors de la marche de protestation du 20 octobre 2015 contre le changement de la constitution et les arrestations massives ne peut pas être passé sous silence ;

    La crise post-électorale avec des résultats officiels manipulés et jamais publiés au journal officiel ne peut pas passé aux oubliettes ;

    les arrestations arbitraires des militants et des leaders politiques dont certains sont en fuite doit faire l’objet d’un traitement spécial : Une libération sans condition ;

    les bombardements dans le Pool et l’insécurité qui en résulte doit être traités. Qui peut encore croire aujourd’hui que le révérend pasteur Ntumi est un terroriste.

    D’un coté, il y a les nouveaux gouvernants arrogants de Brazzaville qui claironnent que tout va bien, les joutes électorales sont derrière nous, la crise économique est sous contrôle, tout est fait pour résoudre le problème du chômage des jeunes, ect.., bref le gouvernement travaille.

    De l’autre coté il y a les congolaises et les congolais qui pensent que le pays est dans une crise multidimensionnelle, crise post-électorale, crise politique, crise institutionnelle, crise économique ect…

    Comme on le voit, le constat n’est pas le même selon qu’on est du coté du pouvoir ou du coté de l’opposition

    Patrick Eric Mampouya

    Continuer à nier tous ces faits et passer à autre chose c’est au mieux de l’hérésie. Le bon sens exige que toutes ces crises et d’autres encore soient traités au cours d’un dialogue entre tous les acteurs politiques du pays.

    Les autorités de fait (puisqu’ils se sont imposés par la violence des armes et la tricherie) qui jouent la montre et qui comptent sur le pourrissement, la lassitude ou la peur des congolais font un mauvais calcul. Les contentieux non-traités finissent toujours par rattraper leurs auteurs et, faire la politique de l’autruche n’est pas une bonne méthode pour le bien de notre pays.

    L’opposition dont je me réclame (FROCAD) a été on ne plus clair sur la question du dialogue. « Nous ne sommes pas demandeur mais nous restons disponible pour le dialogue parce que nous sommes des patriotes et voulons le bien de notre pays ».

    Le constat est amer même si certains ne veulent pas voir ce que observe le citoyen, qle Congo Brazzaville a besoin de ce dialogue dont les recommandations seront imposables à tous.

    Nos prérequis pour un dialogue constructif sont connus de tous. Nous exigeons la libération de tous les prisonniers politiques, l’arrêt des tensions dans le Pool, l’arrêt de la traque des militants de l’opposition. Ces prérequis ne font pas de nous des radicaux ou des terroristes, faire un dialogue sans ces prérequis serait irresponsable.

    La fabrication des opposants de circonstance par le pouvoir ne donnera rien, nous l’avons bien constater lors du dialogue de Sibiti où il y avait une opposition fantaisiste sous la bannière du COPAR, et des pseudos centriste opportunistes qui aujourd’hui siège aux cotés du Parti Congolais du Travail qu’ils étaient censés combattre.

    Les congolais parlent beaucoup. Quand les congolais se parlent c’est surtout pour ne pas s’écouter et donc ne pas s’entendre, quand bien même les bonnes résolutions sont prises de part et d’autres et que des accords sont signés. La défiance entre l’opposition et le pouvoir est telle que qu’il faut un médiateur ou une institution neutre pour gérer les conclusions d’un éventuel Dialogue. On en est même à envisager la tenue d’un dialogue dans un pays autre que le Congo Brazzaville afin de crédibiliser ce moment.

    Dans un passé récent, les principaux participants aux différents dialogues avaient des agendas cachés et arrivaient aux pseudo dialogues avec des conclusions écrites d’avance. Telles sont les méthodes des camarades du Parti Congolais du travail qui s’illustrent dans ces pratiques à des multiples occasions. Hormis la conférence nationale qui avait produit le multipartisme, les différents dialogues qui se sont tenus au Congo Brazzaville ont été des dialogues de sourds improductifs.

    D’où vient-il qu’on nous parle de dialogue maintenant ? D’où vient-il qu’avant chaque élection le pouvoir de Brazzaville éprouve le besoin d’organiser des dialogues ? Les états généraux de la Nation naguère réclamés par l’opposition n’ont jamais eu lieu à cause de la peur qu’inspire à certaines personnes une conférence nationale bis. On veut traiter des questions de l’avenir sans faire l’inventaire du passé récent, voilà l’une des raisons des échecs successifs des différentes palabres entre congolais.

    En fait, au Congo Brazzaville, les périodes électorales sont toujours des moments de tension extrêmes pour le pays à cause de la volonté du pouvoir en place de ne pas céder, de ne pas partager le pouvoir et les richesses du pays. Le Ministre de l’intérieur de fait nous prépare déjà une palabre dans ce sens comme il sait très bien le faire. En ce moment il est en trin de faire son casting pour coopter les participants.

    Ce n’est qu’au Congo Brazzaville où les autorités ne sont pas habitées par l’idée d’une alternance. C’est grave quand on est dans un régime de multipartisme. Dans les commentaires fait par l’agence de notation financière « Ficht « , les difficultés du Congo Brazzaville sont dues à la fragilisation des institutions. Que dire de plus lorsque nous savons que depuis 2007 à nos jour, le pays a engranger plusieurs milliards de dollars.

    Cela se traduit dans les faits par la confiscation du pouvoir politique et des richesses nationales par un clan, une ethnie. Bon an mal an, aucune élection n’a jamais été perdue par le pouvoir en place depuis bientôt 20 ans quoi qu’il arrive. Le parti dominant gagne systématiquement toutes les élections même dans les contrées les plus reculées du pays où il est vomit.

    Denis Sassou Nguesso et ses hommes ont élaborés méticuleusement un système mafieux de tricherie bien organisé qui fait qu’ils ne peuvent pas perdre une élection au Congo Brazzaville et, quand ils perdent quand même comme c’était le cas lors du dernier scrutin présidentiel, ils utilisent la brutalité des armes pour se maintenir au pouvoir. Voilà les faits. Voilà les véritables raisons des différentes crises.

    Dans un pays, la politique détermine tout le reste. C’est donc plutôt sain que les congolais s’intéressent à la chose publique car ceux qui ne s’occupent pas de la politique la subissent. Le problème de l’intelligentsia congolaise est justement le manque d’écoute de l’autre, on parle beaucoup sans s’écouter, chacun croyant détenir la vérité.

    Il y a quelques mois, des personnes intelligentes et éminentes membres du gouvernement soutenaient en vous regardant droit dans les yeux que le changement de la constitution avait pour but de faire évoluer les institutions de la République et qu’il ne fallait pas faire de procès d’intention à qui ce soit. Leur forfait commis, ces mêmes personnes vous disent aujourd’hui qu’il faut tourner la page et passer à autre chose.

    La fourberie et la manipulation sont les caractéristiques principales du pouvoir arrogant de Brazzaville, le monde entier le sait maintenant grâce à la manipulation des résultats de l’élection présidentielle.

    Le degré de suspicion contre le pouvoir de Brazzaville déborde les frontières de la Nation. Personne ne fait confiance à l’état congolais, même pas les agences de notation monétaire qui l’une après l’autre dégrade la note de confiance du pays.

    Dès lors, on peut se demander logiquement à quoi servirait un dialogue si les protagonistes se regardent en chiens de faïence et ne s’écoutent pas. Mais justement, c’est pour refaire cette loi électorale scélérate qui consacre la victoire d’un camp, revoir la composition d’une CENI qui ne satisfait pas les congolais.

     

    D’un coté, il y a les nouveaux gouvernants arrogants de Brazzaville qui claironnent que tout va bien, les joutes électorales sont derrière nous, la crise économique est sous contrôle, tout est fait pour résoudre le problème du chômage des jeunes, ect.., bref le gouvernement travaille.

    De l’autre coté il y a les congolaises et les congolais qui pensent que le pays est dans une crise multidimensionnelle, crise post-électorale, crise politique, crise institutionnelle, crise économique ect…

    Comme on le voit, le constat n’est pas le même selon qu’on est du coté du pouvoir ou du coté de l’opposition

    Patrick Eric Mampouya

     

     

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0
5 août 2016 5 05 /08 /août /2016 21:08

undefined 

  carteanime.gif 

 

  •  
    flash information 01
     
    info 24
    Par Seidik Abba, journaliste et écrivain. 

     

    Confessions d’experts du pillage de trésor public, en Afrique

     

     

    Afficher l'image d'origine Afficher l'image d'origineDes billets de Francs CFA, utilisés dans une partie de l’Afrique francophone.

     

     

     

    Par Seidik Abba, journaliste et écrivain

    Il n’y a, sans doute, pas meilleur moyen de comprendre l’ingénierie du détournement des deniers publics en Afrique que de passer ses protagonistes à la confession. Mis en confiance, dans un café, au bar d’un hôtel de luxe ou autour d’un repas arrosé, ces délinquants en cols blancs racontent par le menu leurs exploits de Kinshasa à Bamako, de Brazzaville à N’Djamena.

    Bal des pilleurs à Kinshasa

    En recoupant les confidences des pilleurs des deniers publics en Afrique subsaharienne, on s’aperçoit que les grandes manifestations nationales ou internationales sont pour eux des occasions en or massif pour s’adonner à leurs pratiques favorites. Le 14e sommet de l’organisation internationale de la Francophonie (OIF) en novembre 2012 à Kinshasa fut un exemple emblématique. Un diplomate congolais alors dépêché de Paris pour soutenir le comité d’organisation se souvient :

    « Une bonne partie de l’élite politique en charge de l’organisation avait clairement décidé de monter un vrai business autour de ce sommet. Elle a ainsi jeté son dévolu sur le parcautomobile affecté aux illustres invités. Délibérément, il a été fait en sorte que les 200 véhicules achetés soient livrés en retard et qu’ils soient donc mis en circulation sans cartes grises. A la fin, tous ces véhicules avaient disparu dans la nature sans aucune possibilité de les retrouver, faute de traçabilité ».

    Maîtresses et 4X4

    La nomenklatura kinoise au pouvoir avait déjà fait main basse sur le parc automobile spécialement acquis en 2010 pour le cinquantenaire de l’indépendance. De luxueux véhicules et des 4 X 4 s’étaient finalement retrouvés aux mains des maîtresses de personnalités en vue. Ici, on appelle ces maîtresses « premier bureau », « deuxième bureau » ou « troisième bureau », selon leur préséance dans l’agenda de Monsieur.

    Lire aussi : Corruption en Afrique, le grand défi

    Avec le sommet de l’OIF, le recours au fret aérien s’est ajouté comme autre levier pour détourner l’argent public congolais. Le même diplomate :

    « Des commandes de matériel et autre fournitures destinées au sommet auraient pu arriver à Kinshasa en passant par le port fluvial de Matadi. Mais tout a été volontairement retardé afin de contraindre le pouvoir politique à accepter les livraisons par voie aérienne. C’est un énorme enjeu financier. Car le recours au fret permettait de s’entendre avec les transitaires et procéder à des surfacturations ».

    Miettes à Bamako, Niamey et N’Djamena

    En l’absence de grandes manifestations nationales ou internationales, les pilleurs des deniers publics ont décelé au Mali, au Niger comme au Tchad un excellent business dans les missions à l’étranger. Un cadre de la présidence malienne :

    « Avant chaque départ en mission, on reçoit du trésor public des indemnités destinées à couvrir nos frais d’hôtels et notre subsistance. Mais à la fin de la mission, on s’arrange pour que le directeur de cabinet du président ordonne que l’on mette toutes les dépenses sur le compte de la présidence. N’imaginez pas que nous retournerons cet argent non utilisé au trésor public, une fois à Bamako ».

    Lire aussi : Les Africains du Panama (1) : les circuits offshore des « fils de »

    Qu’elles soient de convenance ou justifiées, les missions à l’étranger sont devenues au Tchad aussi un bon créneau pour se mettre l’argent public dans les poches. Un ancien ministre tchadien des Finances :

    « La seule chose qui a m’a frappé lorsque j’ai pris mes fonctions, c’était la fréquence des missions inutiles à l’étranger. Avec le plus souvent les mêmes personnes. Ma volonté d’y mettre fin a suscité une telle levée de boucliers que j’ai reçu l’ordre d’y renoncer. J’avais finalement compris que les missions à l’étranger étaient devenues une sorte de mafia permettant de soustraire de l’argent public sans justification ».

    Congo Brazzaville, champion toutes catégories

    Au Congo Brazzaville, petit émirat pétrolier d’Afrique centrale (près de 4,5 millions d’habitants avec environ 250 000 barils/jour, alors que le Koweit, pour comparaison, produit 3 000 000 barils/jour pour 3,5 millions d’habitants), l’unité de compte du détournement des deniers publics commence à partir de 10 millions de francs CFA, soit 15 000 euros. Ici, l’ingénierie de la fraude sur les biens de l’Etat se perfectionne chaque jour.

    « Pour sortir l’argent du trésor public, confie un haut cadre de la majorité présidentielle, on monte des meetings bidons. On promet ensuite de mobiliser 50 000 personnes à Brazzaville sur la base de 3 000 francs CFA par personne. Ce qui nous amène à 150 millions de FCFA (environ 230 000 euros) que le ministre des Finances va devoir sortir sur instruction expresse du chef de l’Etat ».

    Lire aussi : Sénégal : « Saluons l’audace du chemin parcouru contre la corruption ! »

    Meeting politique à 150 millions

    Et comme deux précautions valent toujours mieux qu’une seule, ces énormes sommes d’argent sont toujours soustraites en espèces du trésor public puis distribuées au clan selon une clé de répartition très prise.

    « On se retrouve ensuite autour des sacs d’argent pour se les repartir : un dirigeant du parti promet de ramener 15 000 militants, on lui remet 45 millions de FCFA, untel 10 000 militants, ce qui lui fait 30 millions puis un tel autre 5 000 soit 15 millions de FCFA. Ainsi de suite jusqu’à épuisement de la somme de 150 millions, sachant que le ministre des Finances prend aussi sa part, poursuit le même cadre de la majorité au pouvoir. Le jour du meeting, personne ne ramène le nombre des militants qu’il a promis. C’est avec peine qu’on mobilise quelques jeunes du quartier auxquels on donne 1 000 ou au maximum 1 500 FCFA pour le thé. Quelques semaines plus tard, on répète le même exercice en mentant au président Sassou sur l’immense succès du dernier meeting. »

    Grandes manifestations transformées en pompes à détournement des deniers publics ici ; faux meetings politiques ruineux pour le trésor public là-bas ; ailleurs des missions de convenance à l’étranger pour soustraire des indemnités à l’Etat : la délinquance en col blanc ne manque pas d’idées et de génie en Afrique subsaharienne.

    Lire aussi : Prix Mo Ibrahim : pas de lauréat 2015 de la bonne gouvernance en Afrique

    Personne n’aurait, peut-être, trouvé à redire si ces pratiques-là n’étaient pas devenues, tout comme les magouilles dans la passation des marchés publics, de réels freins au développement du continent.

     

    Seidik Abba, journaliste et écrivain, auteur de Boubakar Ba, un Nigérien au destin exceptionnel, l’Harmattan, 2015.


    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/08/05/confessions-d-experts-du-pillage-de-tresor-public-en-afrique_4978708_3212.html#tdCtJ4AVa8xrjop8.99

     

     

     

     

     

     
     
     

     

    LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"  Monsieur 8%  DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO

    iAfficher l'image d'origineAfficher l'image d'origine

     

    Tricheur / Tricheuse / Humour / Gaming / Ecole Tee shirts

     

     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

.

 

 

 
 
        
 

 

Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
Partager cet article
Repost0

La Voix Du Peuple

  • : Le blog de la voix du peuple
  • Contact

POUR UN CONGO LIBRE ET DEMOCRATIQUE

 

2013 marketing trends 

 

                              petit gif animé clown qui jongle

 pub_top.gif

     

                                     

             

      VISITEURS                           
         VISITEURS                               

 

 fl8.jpg EDITORIAL                                               

 

 

Nous avons tous  été confrontés un jour ou l’autre à un fait  choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.

Mais  désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant

soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des

problèmes qui nous rongent.

La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du  grand nombre dans la

dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu,  qui poseraient

des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :

           -des abus de tout genre ;

           -des injustices vis-à-vis des plus faibles ;

           -des scandales économiques, politiques, judiciaires…

La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.

La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps

comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons,  grâce  à elle, à

atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les

invulnérables.

Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les

enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des

agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :

           -des propos indélicats ; 

           -du culte de la division ;

           -des accusations affamantes ;

           -des observations désobligeantes ;

           -des contre vérités…

Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera

purement et simplement écarté.

email2.gifNous contacter :

dpeuplelavoix@yahoo.fr  

 

 

CONGO.jpg-1.jpg

   

  Le symbole de la liberté

  

         Non à la dictature

    

   

   

 

      L' INCORRUPTIBLE       

     Légende d'Afrique

  

  

 

       La colombe de la paix et de l'esperance

        

 

 

 

         Non à l' omerta

   

 

 

BONGO - CHIRAC - SASSOU les principaux acteurs

du coup d' Etat sanglant du 5 Juin 1997 au Congo Brazzaville

   

   

 

 

 

  Pour une Jusitce transparente et équitable

  

 

     

 

   

  carteanime.gif

 

  undefinedAu pillage des richesses en Afrique

 

 

    Capture

     Kwame NKRUMAH

   

 

        Emery Patrice LUMUMBA

   

 

  Alphonse MASSAMBA - DEBAT

          

 

  

        Marien NGOUABI

       

 

        Cardinal Emile Biayenda

  

             Thomas SANKARA

  

          drapeau des états unis

       Martin Luther KING

  

 

    

   

 

       Mahatma GANDHI

   

 

         Nelson MANDELA

    

 

          John Fitzgerlald KENNEDY  

    

 

       

 

   Pour une alternance démocrtique au Congo

     

     à la santé des Biens mal acquis  

        hautbma.jpg

   

                              drapeau france

    

                          Le TonTon

       undefined

 

           Un grand et un petit

   

 

 

         

                   Non à la chasse à l' homme

        

 

     

      

 

        

 

                

   

 

     

 

       ststop.gif   

 

        sujets-interdits.jpg     

 

          CAF7X9TP.jpg

 

          

               La métamorphose

      

 

           

            La tour de contrôle

      

 

       CALV3Y6Z.jpg      

 

       CARELW57.jpg   

 

       CARTE-CONGO.jpg

 

       medium_sassou-hu-jintao-congo-chine.jpg

 

       FORET-EN-DANGER.gif  

 

        pillards.jpg

 

       le-pillage-des-for-ts-du-congo1.jpg  

 

 

  

 

   

 

       CAG9I7CH-copie-1.jpg

                 

 

                   

                

          

 

         billet 500 euros

           portefeuille dollard

        

                        undefined

 

 

 

                       gif carte mastercard

        Aux massacres

        

 

            

         Des jeunes patriotes Ivoiriens tombés sous les bales

        

 

   Bombardement  de la résidence de Laurent GBAGBO

                          

       Des hélicoptères ont bombardé la résidence de Laurent Gbagbo.

 

        AFRIQUE-LIBERATION.gif

 

        afrique-au-secours.jpg

 

        CRISE.gif

            

                    

     Le  chemin  d' avenir, le chemin sans issue

                  

            

 

      voie-sans-issu-la-d-silusion-du-chemin-d--avenir-copie-1.jpg

      L'eau une denrée rare à Brazzaville, pourtant vitale

      

 

        eau7.jpg

 

        

                          Le fleuve Congo

        

     Le bord du fleuve Congo à Brazzaville pourtant les habitants manquent cruellement l' eau potable

         

 

       

 

                    

 

        arton42-100x29

 

        logo_lexpress.gif

 

        Leparisien

 

        nouvelobs

 

         butin azuréen

 

         rue89_logo1.jpg

 

 

        Logo Mafia

 

        corruption menottes

        Révélations effarantes de John Perkins ancien assassin économique

        JohnPerkinsCourage824

 

        arnaques.jpg

 

        france2

        Le Grand Journal...

 

        canal +

 

            

 

       

 

      

 

       

 

       

 

        

 

       

       

 

       

          

          DES FEMMES ATYPIQUES

 

           

 

           

              

        

 

       

 

           

            congo-brazza1

       Ou est le serieux

            mammamia

 

            aubout

 

            sassou dictateur-copie-1

 

                  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            

 

      

  Gold Man sachs - LA BANQUE QUI DIRIGE LE MONDE

 

     

     

      News

 

          Le malheur des congolais

 

     

      

        

     

 

 

 

 

 

 

 

      

     

 

Recherche

Texte Libre

Catégories