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10 septembre 2016 6 10 /09 /septembre /2016 22:52

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    Françafrique : Ali Bongo tue le Gabon du père

     

    .Omar Bongo bénéficiait d’un puissant réseau d’influences à Paris. Aujourd’hui, la France prend ses distances avec son fils, dont la réélection est entachée de fraudes.

     

     

     

     

        Le père OMAR BONGO ONDIMBA

     

    Lundi à Bitam, dans le nord du Gabon, après les violences post-électorales.

    Lundi à Bitam, dans le nord du Gabon, après les violences post-électorales.

     

    L’homme observe un mur décoré de photos officielles. Avec une évidente délectation, il énumère : «De Gaulle, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac.» A l’époque où ces images ont été tournées par une télé française, la liste s’arrêtait là. Mais rien ne changera avec l’élection de Nicolas Sarkozy, dont la photo est certainement venue s’ajouter sur ce mur du Palais du bord de mer, siège de la présidence à Libreville, capitale du Gabon.

    Omar Bongo Ondimba, qui se targuait d’être l’ami intime de tant de chefs d’Etat français, y régna en maître absolu, à partir de 1967 et jusqu’à sa mort en 2009. «Quand Omar était aux commandes, le Gabon était un pays stratégique pour la France. Le pays "PMU", comme on l’appelait : riche en pétrole, manganèse et uranium. C’était aussi le pays des opérations clandestines de l’armée française. Avec les interventions au Biafra, dans le sud du Nigeria. Les vols clandestins de UTA vers l’Afrique du Sud, pourtant sous embargo à cause de l’apartheid. Libreville avait alors des allures de village gaulois, et Omar se rêvait en chef des services secrets français», rappelle le journaliste Antoine Glaser, certainement le meilleur connaisseur des arcanes de la Françafrique (1), ce système de relations incestueuses et corrompues instaurées entre la France et ses ex-colonies, dont Omar Bongo fut l’un des piliers historiques. Mais les temps ont changé. Aujourd’hui Ali Bongo, le fils d’Omar, élu une première fois en 2009 lors d’un scrutin déjà contesté, se voit ouvertement désavoué. En cause : l’annonce de sa victoire aux élections du 27 août, qui a  provoqué sur place de violentes contestations et lui vaut, à l’étranger, des critiques de moins en moins feutrées. Même à Paris.

    «Néocolonialisme douteux»

    Dernière salve en date : mardi, l’Union européenne a qualifié d’«évidente anomalie» l’issue du scrutin. Pointant en particulier les résultats de la province du Haut-Ogooué, fief familial des Bongo, où le taux de participation officiel affiche le score soviétique de 99,93 %, avec une victoire de plus de 95 % pour le président sortant (Libérationdu 2 septembre). Un score qui lui a permis de se déclarer vainqueur avec une courte avance de 5 594 voix sur son rival, Jean Ping. L’opposition conteste cette victoire et exige de recompter les bulletins. Avec désormais le soutien de l’UE, des Etats-Unis et de la France. «La force du silence est majeure en amitié», a écrit un jour Omar Bongo, qui a toujours su s’assurer d’indéfectibles soutiens. Avec une méthode simple : «Le père achetait les opposants en leur offrant des postes et finançait aussi certains hommes politiques français. Il misait ainsi sur certains ministres qui devenaient ses obligés»,explique Glaser.

    Mais il faut croire que la machine s’est grippée. Dès le lendemain du vote, le Parti socialiste français s’est empressé de déclarer qu’«une alternance serait signe de bonne santé démocratique». Et vingt-quatre heures plus tard, c’est Jean-Marie Bockel, ex-secrétaire d’Etat à la Coopération de Nicolas Sarkozy, qui déclarait «Ping vainqueur du scrutin». La présidence gabonaise a eu beau dénoncer «un néocolonialisme des plus douteux», la pression est montée crescendo : après avoir réclamé elle aussi le «recomptage des bulletins», la France a exprimé officiellement le 1er septembre ses «doutes» sur les résultats des élections. Avant de s’inquiéter, mardi, du sort d’une dizaine de ressortissants français (des binationaux essentiellement) disparus à la suite de l’attaque spectaculaire du QG de Jean Ping par la garde présidentielle à Libreville, dans la nuit du 30 août. Un assaut brutal qui s’est déroulé sous le regard passif des militaires français du camp de Gaulle, installé là depuis l’indépendance. La France aurait-elle pu protéger les opposants, de la même façon qu’elle a garanti la survie du régime depuis un demi-siècle ? A-t-elle seulement choisi son camp ? Nombreux sont les opposants qui en doutent. «Je crois qu’en coulisse, la France aide beaucoup, affirme pourtant Jean-Gaspard Ntoutoume Ayi, porte-parole de Jean Ping, joint au téléphone. On a changé d’époque. Désormais, dans les pays d’Afrique francophone, la France peut difficilement intervenir au premier plan sans être taxée de néocolonialisme. Du coup, c’est l’Europe qui prend le leadership des critiques.»

    «La France avait toujours reconnu les résultats des élections en faveur d’Omar Bongo. En 2009, Sarkozy a lui aussi rapidement validé la victoire d’Ali. Mais à l’époque, les manifestations qui avaient suivi la proclamation des résultats avaient visé des intérêts français. Paris a peut-être retenu la leçon», suggère Samperode Mba Allogo, blogueur et historien, contacté à Libreville. «Hollande n’est jamais venu au Gabon pendant son mandat. Une première pour un président français de la Ve République», note le journaliste. «Jusqu’à présent, aucun chef d’Etat étranger, même africain, n’a félicité Ali pour sa victoire.»

    «Tour de Pise»

    A Franceville, ville natale d’Omar Bongo, où il a été enterré, le président défunt doit se retourner dans sa tombe. Lui qui avait reçu Yasser Arafat et Nelson Mandela se piquait de jouer les médiateurs et de tirer les ficelles de la vie politique française. Son fils a choisi une autre partition.«Ali n’est pas très francophile. Il est fasciné par les Etats-Unis, a invité Michael Jackson à Libreville. Ses copains se trouvent bien plus dans le monde anglo-saxon, au Moyen-Orient ou au Maroc : il est très proche de Mohammed VI»,explique Antoine Glaser, en rappelant que «du vivant d’Omar, Ali faisait figure de mal-aimé. C’est sa sœur Pascaline qui régnait au côté du père, c’est elle qui avait les réseaux. A Paris, à l’hôtel Crillon, elle choisissait qui avait le droit de voir Omar, alors qu’Ali végétait au bout du couloir».

     

    Pour Ali, l’accession au pouvoir sera le temps de la vengeance. Il écarte vite la sœur préférée, qui fut la compagne de Jean Ping, ex-baron devenu opposant. Les piliers du régime sont congédiés, les réseaux traditionnels français, remerciés. «Ali va commettre un parricide, constate Glaser.Aujourd’hui, la plupart des barons, à commencer par Ping, se retrouvent dans l’opposition. Laquelle a certainement plus de soutiens qu’Ali à Paris.» Mais celle-ci cherche encore une stratégie de riposte à Libreville. Les partisans de Ping avaient ainsi jusqu’à ce jeudi pour déposer des recours devant la Cour constitutionnelle, une option qui les aura divisés jusqu’au bout : «La Cour constitutionnelle, c’est comme la tour de Pise, tout le monde sait qu’elle penche d’un côté. La belle-mère d’Ali Bongo en est la présidente», dénonçait ainsi mardi au téléphone Patrick Eyogo Edzang, député de l’opposition à Bitam. «Nous avons pour le moment introduit un recours auprès de la Commission électorale, qui a une composition paritaire : il y a trois représentants de l’opposition parmi ses huit membres», explique Jean Ping à Libération.

    Dans ce climat de méfiance, les ambassades française et américaine ont vite été impliquées dans la gestion de la crise postélectorale. Peu après le scrutin, Jean Ping y aurait été convié pour garantir la sécurité d’Ali, au cas où ce dernier acceptait de lâcher le pouvoir. «La négociation a échoué face à l’intransigeance des Américains sur certaines exigences d’Ali», croit savoir une source bien informée. L’échec dans les coulisses aurait-il alors conduit à hausser le ton publiquement ? Notamment à Paris ? «C’est de l’amateurisme, en réalité. Paris navigue à vue. On est dans l’improvisation, la réaction»,fustige Laurent Bigot, ancien diplomate et consultant stratégie sur l’Afrique. «Il n’y a plus de politique africaine de la France confirme Antoine Glaser. La seule priorité, c’est la gestion sécuritaire avec un recentrage sur l’Afrique de l’Ouest pour contrer l’islamisme radical. Quant à la diplomatie sur le continent, elle est censée désormais se limiter au business pour rattraper les parts de marché perdues dans une Afrique qui se mondialise.»

    «Gestion sécuritaire»

    Mais alors justement, les richesses du Gabon ? Ce «PMU» qui avait un temps valu à Libreville de faire figure de «Monaco tropical» ? «C’est fini,tranche Glaser. Le poids des entreprises françaises est passé de 50 % à 20 %. Le pétrole est bien plus attractif en Angola ou au Nigeria, le manganèse n’est plus aussi stratégique et l’uranium n’est plus exploité. Le seul intérêt du Gabon pour la France, c’est son soutien à la COP 21, puisque sa forêt est le deuxième poumon de la planète après l’Amazonie.»

    Reste une préoccupation qui justifie peut-être que Paris s’intéresse encore à ce petit pays d’Afrique centrale : la stabilité, sur un continent où la France reste impliquée malgré elle. « Hollande n’a aucun intérêt à voir le chaos s’installer au Gabon au moment où il tente de se désengager de la Centrafrique et alors qu’il prépare un sommet franco-africain en janvier à Bamako, au Mali », confirme Glaser. Mais qui détient réellement la clé de la stabilité sur place, aux yeux de Paris ? Le match n’est pas fini et les arbitres étrangers comptent certainement encore les points. Pourtant, quelle que soit l’issue du bras de fer actuel, l’époque d’Omar est, elle, définitivement enterrée.

    (1) Dernier ouvrage paru : Arrogant comme un Français en Afrique, Fayard, 2016.

    Célian Macé Maria Malagardis

     

     

     

     

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Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

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Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
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10 septembre 2016 6 10 /09 /septembre /2016 13:24

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                         Par Alfred Babo 

     

    Faut-il continuer d’organiser des élections présidentielles en Afrique ?

     

    ..Faut-il continuer d’organiser des élections présidentielles en Afrique ? Cette question peut être jugée provocatrice par les idéologues de la démocratie en Afrique. Cependant, elle fait suite à une observation des élections sur le continent africain ces vingt-cinq dernières années, particulièrement la dernière élection présidentielle au Gabon. Lorsque Jacques Chirac jugeait, au début des années 1990, que « la démocratie est un luxe pour l’Afrique », beaucoup d’Africains, y compris les intellectuels et politiques s’en étaient offusqués. Vingt-cinq ans après, la réalité du terrain ne lui donne-t-elle pas raison ?

     

     

     

     

    Manifestation de l’opposition, au Congo-Kinshasa, le 31 juillet 2016.

        

    Afficher l'image d'origineGabon Un partisan de Jean PING à genoux devant les forces de l'ordre

     

     

    Lire aussi :   Fils de, frère de… comment se bâtissent les dynasties politiques en Afrique

    La démocratie électorale en Afrique a échoué parce que les élections, notamment présidentielles, donnent d’observer trois constantes qui militent, à mon sens, pour leur abandon.

    La démocratie, un luxe ?

    Premièrement, l’élection présidentielle est improductive car non seulement elle est très onéreuse pour les pays africains, mais elle produit très peu de résultats positifs dans la vie des populations. La présidentielle ivoirienne de 2010 a été reconnue par l’ensemble des observateurs comme l’une des plus coûteuses au monde. Le coût de l’organisation du scrutin a été estimé à 300 millions d’euros, ce qui en faisait l’élection la plus chère d’Afrique.

    La démocratie en Afrique, dans des pays pauvres et très endettés, est devenue un véritable luxe. Ces pays font très souvent appel à des financements extérieurs auprès de l’Union européenne et d’autres bailleurs pour organiser les présidentielles. Mais tout cela pour quels résultats ? Dans de nombreux pays, l’élection met aux prises des factions, généralement à base ethnique et depuis longtemps embourbées dans des luttes de pouvoir fratricides.

    De fait, le niveau de violence électorale (avant, pendant et après) est devenu la jauge du bon déroulement et de la crédibilité d’une élection. La dernière présidentielle du 27 août au Gabon s’est terminée par des violences exactement comme en 2009. Les violences électorales les plus graves sont celles qui se sont déroulées au Kenya en 2008, puis en Côte d’Ivoire en 2010 et, plus récemment, au Burundi en 2015. Le scrutin présidentiel à venir en République démocratique du Congo (RDC) a déjà généré des violences avant même que l’on ne se rapproche de son organisation.

    Lire aussi :   En Afrique, le printemps des dinosaures

    En outre, même dans les pays considérés comme les plus avancés dans la consolidation de la démocratie comme le Ghana, le Mali, le Sénégal, et le Bénin, la présidentielle a polarisé les tensions et l’on a parfois frôlé la tragédie. Entendons-nous bien, l’absence de brutalité visible ne signifie pas qu’il n’y a pas de violation, même symbolique, des droits de l’homme par la restriction des libertés politiques, notamment l’emprisonnement, les tortures et les menaces des opposants, ainsi que des acteurs de la société civile (syndicats, unions, journalistes, etc.) avant ou après une élection. Ces violences en général débouchent sur la conservation du pouvoir par le président sortant ou le régime en place.

    Deuxièmement, les élections présidentielles en Afrique ne débouchent que très rarement sur une alternance. En dehors de quelques pays comme le Ghana, le Mali, le Sénégal, le Bénin et le Malawi, l’alternance politique s’est faite soit par le biais des putschs ou soulèvements populaires lors du « printemps arabe », soit elle ne s’est pas réalisée. Le même président, le même clan ou système, trentenaire, voire cinquantenaire, demeure au pouvoir. Il en est ainsi du Togo et du Gabon, puis, dans une certaine mesure, de toute la sous-région de l’Afrique centrale notamment l’Angola, le Congo, le Tchad, la Guinée équatoriale, le Cameroun et, plus loin, le Zimbabwe et l’Ouganda.

    Inculture démocratique des classes politiques africaines

    La tendance, la grande, reste la foire aux modifications des Constitutions pour que des présidents qui avaient accepté aux forceps le multipartisme, demeurent au pouvoir vingt-cinq ans après l’instauration de la démocratie.

    Lire aussi :   Au Sénégal, l’affaire « Karim Wade » en un mot : fiasco

    Aujourd’hui, ils sont nombreux à se lancer dans l’aventure de la modification constitutionnelle en vue de conserver le pouvoir, à l’instar du Burundi, du Congo et du Rwanda. Ce sont des présidents qui organisent l’élection, et la gagnent inéluctablement. Dans un passé récent, Abdoulaye Wade avait essayé ce passage en force. En Côte d’Ivoire, la tentation reste grande avec le projet de nouvelle Constitution prévue par le régime en place.

    Au Bénin, ce n’est pas faute d’y avoir pensé. Au Burkina Faso, la tentative de Blaise Compaoré a connu une fin fatidique. En RDC, les manœuvres sont en cours pour trouver les ressorts juridiques d’une éventuelle prolongation du mandat de Joseph Kabila. Ces manœuvres qui très souvent provoquent des violences, débouchent inexorablement sur la contestation des résultats.

    Lire aussi :   Gabon : les paradoxes d’une dictature « soft »

    Ce qui nous amène justement au troisième point : la contestation des résultats est devenue quasi consubstantielle à l’exercice de ces scrutins et dénote l’inculture démocratique des classes politiques africaines. L’opposition dénonce toujours des fraudes et demande l’annulation de l’élection. Depuis le 30 août, date de proclamation des résultats de la présidentielle gabonaise, le candidat de l’opposition, Jean Ping, n’a cessé de crier à la fraude tout en s’autoproclamant lui-même vainqueur du scrutin et président de la République en dehors de tout cadre juridique.

    Lire aussi :   « Sassou », maître du Congo jusqu’en 2031 ?

    En 2015, en Guinée, l’opposant Cellou Dalein Diallo réclamait la reprise de l’élection avant même la fermeture des bureaux de vote. Lors de la présidentielle ivoirienne de 2015, les candidats de l’opposition tels Mamadou Koulibaly et Essy Amara ont suspendu leur participation avant même l’ouverture des bureaux de vote, dénonçant de graves irrégularités et la mainmise du président sortant, Alassane Ouattara, sur le processus. En face, le pouvoir, qui contrôle les organes électoraux pompeusement qualifiés d’« indépendants » bat toujours en brèche les contestations et recours des opposants et proclame vainqueur le président en place.

    Penser autre chose que l’élection

    Sur le continent, les élections présidentielles donnent à voir cette même complainte de fraude, de tricherie et de manque de transparence et d’équité. Pourquoi organiser une élection dont le processus est de toute façon remis en cause et ne débouche que rarement sur l’alternance, mais plutôt sur des violences, et des morts ?

    Lire aussi :   La souveraineté au cœur de la contestation des jeunesses africaines

    Mon argument est qu’il ne faut pas organiser d’élection présidentielle dans certains pays africains. Ne pas le faire, c’est épargner des vies humaines, c’est épargner de l’argent, c’est s’émanciper d’acteurs politiques en manque d’inspiration. Le gain humain, économique, moral et politique de la non-organisation de présidentielles l’emporte sur le maintien d’un simulacre qui ne vise qu’à satisfaire la communauté internationale. Le modèle démocratique occidental, contrairement à la pensée distillée, n’est pas universel. Chaque société devrait s’inventer son propre modèle de gouvernance qui assure sa pérennité dans la paix et le progrès.

    A ce titre, l’élection présidentielle pourrait être maintenue uniquement dans les pays où l’expérience semble fructueuse. Mais, dans les autres, il faut penser à autre chose, avant que l’Occident ne trouve – encore – une autre « solution » à imposer aux Africains, faute d’avoir trouvé par eux-mêmes. Le régime parlementaire, entre autres, peut peut-être contribuer à réduire tensions et violences à l’échelon régional ou local plutôt que national. Aussi, un candidat à la présidentielle ivoirienne de 2015 avait proposé la brillante idée d’un système tout à fait inédit fondé sur une présidence tournante entre les régions ou blocs ethniques.

    Lire aussi :   Paul Kagamé ou le risque de l’isolement 

    L’épicentre de l’élection serait alors dans la région chargée de désigner, parmi ses élus, celui qui accédera à la présidence. L’on pourrait exiger de tout candidat visant un siège régional, puis la présidence, d’obtenir un quota de signatures dans les autres régions. Ce qui l’amènerait à organiser une campagne nationale. Le président élu se prévaudrait ainsi d’une double légitimité, régionale et nationale. Ce système parlementaire tournant aurait l’avantage de régler la question ethnique récurrente, de pacifier les élections et garantir l’alternance.

     

     

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Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple

 

 

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9 septembre 2016 5 09 /09 /septembre /2016 23:48

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    Voici toutes les pièces du puzzle : Mori DIANÉ est l'homme qui se cache derrière Marvel P. FOOTE  (il est le frère de Mamadi D IANÉ)

     

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    Denis Christel Sassou Nguesso is the president's son and godfather of the Congolese mafia

    His father is Dictator , murderer

     

     

     

     

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    Denis SASOU NGUESSO LE DIACTATEUR

     

    Bonjour à toutes et à tous,

     

    Pour bien comprendre le petit manège de Denis Christel Sassou Nguesso aux USA, j'ai reconstitué pour vous toutes les pièces du puzzle.

     

    Mori DIANÉ est l'homme qui se cache derrière Marvel P. FOOTE le fameux lobbyiste afro-américain qui travaille pour Denis Christel Sassou Nguesso. 

     

    Mori DIANÉ n'est autre que le frère de Mamadi DIANÉ, l'ex-conseiller d'Alassane Ouattara qui est accusé par les autorités gabonaises d'être en intelligence avec Jean PING.

     

    C'est par lui (Mori DIANÉ) que Marvel P. FOOTE et sa petite bande mafieuse cherche à mettre leur client Denis Christel Sassou Nguesso en contact avec l'équipe de la cellule chargée d'élaborer la politique africain de d'Hillary Clinton dirigée par Ambassador Johnnie CARSON et Neera TANDEN. Cette dernière est une proche de Hillary Clinton.

     

    Mori DIANÉ connaît très bien l'ancien Président américain Bill Clinton et son ancien Vice-président Al Gore car ces derniers sont très proches de son frère Mamadi DIANÉ (l'ex-conseiller d'Alassane Ouattara qui est accusé d'être en intelligence avec Jean PING).

     

    Quand on connait le lien qui existe entre Denis Christel Sassou Nguesso et les PING peut très aisément reconstituer toutes les pièces du puzzle.

     

    Je rappelle que Danièle SASSOU NGUESSO née MBOUSSOU est la compagne de Denis Christel Sasou Nguesso, elle est la fille de Michel Mboussou l'actuel Directeur Général de la Caisse nationale d'assurance maladie et de garantie sociale gabonaise (CNAMGS) et de son ex-épouse Akani Monique, sa grande-sœur Marie Paule Mboussou est la compagne de Franck Ping le fils aîné de Jean Ping (l'actuelle épouse de leur père est Lucie Mboussou née Milebou-Aubusson l'actuelle la Présidente du Sénat du Gabon).

     

    Bienvenu MABILEMONO

    Here friends of thieves and Congolese mafia

     

     

     

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    Mori DIANÉ, Executive Vice President of AMEX International Incorporated, Economic Development Agency

     

    Melvin Foote

    Marvel P. FOOTE, CEO & President of Constituency for Africa (CFA)

     

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    Congresswoman Karen BASS

     

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    The former U.S.Assistant Secretary of State for African Affairs

     

     

     

     

     

    Denis Christel Sassou  Nguesso a embauché sa maîtresse, Rachel YAYI (Senhora Paraiso), la fille de l'ancien Président du Bénin, Thomas Yayi Boni, pour gérer sa communication et lobbying aux Etats-Unis.

     

    L'ex-ambassadeur du Bénin Omar AROUNA à Washington (Etats-Unis) est également dans le coup. C'est lui qui est payé avec le lobbyiste afro-américain Melvin P. FOOTE, President and CEO of The Constituency for Africa (CFA), avec l'argent volé du Congo pour organiser les rencontres de Denis Christel Sassou Nguesso avec l'ambassadeur Andrew J. YOUNG et l'ancienne sous-Secrétaire d'Etat aux affaires africaines (the U.S. Assistant Secretary of State for African Affairs) Ambassador Jendayi E. FRAZER.

     

    Ce petit monde de mafieux notoires multiplient actuellement des réunions autour Melvin P. FOOTE pour mettre en place la stratégie qui leur permettrait de convaincre le Congrès Américain et la Maison Blanche de recevoir Denis Christel Sasou Nguesso.

     

    Un budget de plus d'un million de dollars a été mis à la disposition de Rachelle Yayi, Omar Arouna et Melvin Foote pour exécuter cette mission.

     

    (shame) Honte aux Ambassadeurs Andrew J. YOUNG et Jendayi E. FRAZER qui ont accepté de mêler leurs noms à celui de Denis Christel Sassou Nguesso, un mafieux notoire, qui vole l'argent du peuple congolais et qui est directement mis en cause dans plusieurs affaires de corruption et de détournement de fonds publics (Affaire des Biens Mal Acquis, Affaire des Panama Papers, Affaire Australien Sundance ...)

     

    cliquer sur le lien (voir vidéo) :

     

    Rachelle Yayi (Senhora Paraiso)

     

    thumb imageMelvin P. FOOTE

     

    Ambassador Jendayi E. FRAZER

     

    ci-dessous : Omar AROUNA et l'ambassadeur Andrew J. YOUNG

     

     

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9 septembre 2016 5 09 /09 /septembre /2016 21:36

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    Mori DIANÉ est l'homme qui se cache derrière Marvel P. FOOTE le fameux lobbyiste afro-américain qui travaille pour Denis Christel Sassou Nguesso. 

     

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    C'est par lui (Mori DIANÉ) que Marvel P. FOOTE et sa petite bande mafieuse cherche à mettre leur client Denis Christel Sassou Nguesso en contact avec l'équipe de la cellule chargée d'élaborer la politique africain de d'Hillary Clinton dirigée par Ambassador Johnnie CARSON et Neera TANDEN. Cette dernière est une proche de Hillary Clinton.

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9 septembre 2016 5 09 /09 /septembre /2016 21:29

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    Le contentieux de l’élection présidentielle en Afrique centrale : les voies de recours officielles une entorse à la sincérité du scrutin et au droit 

     

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    Le contentieux de l’élection présidentielle désigne un litige électoral qui est mis en discussion devant la justice notamment la Cour constitutionnelle. Il désigne également l'ensemble des litiges ayant trait à l’élection présidentielle contestée relevant de la Cour constitutionnelle

    Les voies de recours sont les moyens mis à la disposition du justiciable pour lui permettre d’obtenir un nouvel examen de son procès, ou de faire reconnaître les irrégularités rencontrées lors de la procédure.

    Dans le cadre de l’élection présidentielle, les voies de recours officielles sont des moyens mis à la disposition de chaque candidat par la loi permettant de contester les irrégularités constatées avant, pendant et après le scrutin.

    La sincérité est une qualité. Elle procède du souci de connaître, voire de reconnaître, la vérité.Lorsqu'elle caractérise des choses plutôt que des personnes, elle s'entend de ce qui est " réellement pensé ou senti " (Robert).

    Un scrutin sincère est celui qui se déroule sans trucage. En effet, lorsqu’il y a trucage dans une élection présidentielle comme c’était le cas au Congo-Brazzaville, au Tchad et maintenant au Gabon, qui doit intervenir pour rétablir la sincérité du scrutin ?

    Qui, dans un État de non-État de droit est en mesure de certifier la sincérité du scrutin ?

    Quelle autorité dans un État autoritaire et dictatorial est la plus qualifiée pour opérer cette vérification?

    Telles sont les questions que se pose un intellectuel pour montrer l’hypocrisie qui se cache derrière l’expression tortueuse «  voies de recours officielles » lorsque les élections sont organisés par un pouvoir tyrannique, dictatorial, voyou et anti-démocratique.

    Selon Francis DELPÉRÉE[1] « Seuls sont valides les règles, les procédures et les comportements qui contribuent à refléter de manière fidèle les opinions du corps des citoyens et à les traduire de façon correcte en voix et en sièges. Sont, au contraire irréguliers et méritent d'être dénoncés ceux qui en faussent l’expression[2]. »

    Dans un État où l’État de droit n’existe que de non c’est-à-dire un État autoritaire, dictatorial, non-démocratique et voyou, aucune autorité n’est en mesure de certifier la sincérité du scrutin, par conséquent l’utilisation des voies de recours officielles constitue un piège pour justifier le vol de l’élection et faire taire le vrai vainqueur en le contraignant de façon rusée d’accepter la défaite qu’il ne mérite pas.

    Lorsque le scrutin est truqué dans cet État, on ne peut faire confiance à aucune autorité dans la mesure où il n’y a pas d’autorité indépendante et qualifiée pour opérer la vérification objective et sincère des résultats du scrutin.

    Selon Maître Céleste Ngantsui « Dans un État où l'indépendance du pouvoir judiciaire n'est pas garantie ( un État autoritaire, dictatorial, voyou et non démocratique ) et l'Etat de droit n'existe que de nom, le contentieux électoral ne peut être solutionné par la voie des recours officiels mais plutôt par celle des recours consensuels et rationnels autrement dit la voie de la raison, de la sagesse et du dialogue constructif et véridique. Dans cet État, la voie des recours officiels est un leurre qui tue la vérité et consolide le vol de l'élection par le pouvoir en place.[3] »

    Lorsqu’il y a fraude , trucage dans une élection présidentielle, on ne peut demander à celui dont la victoire a été volé d’user des voies de recours officielles pour trouver gain de cause. Cette demande ou invitation est en réalité une l’hypocrisie qui maquille la reconnaissance du vol de la victoire par le pouvoir en place.

    Les voies de recours officielles ne peuvent garantir la sincérité de la vérification du scrutin lorsqu’il y a des irrégularités car elles constituent une entorse substantielle à la manifestation de la vérité et à la bonne application du droit.

    Ces voies sont pour les pays qui les conseillent une ruse maquillée qui tue la vérité. En effet, lorsque les pays comme les USA, la France et L’Union Africaine demandent aux congolais et aux gabonais d’utiliser les voies de recours officielles pour contester les faux résultats publiés par le pouvoir en place, cela montre bien qu’ils participent non seulement à la fraude électorale mais aussi à légitimer le hold up électoral et l’usurpation du pouvoir du peuple. Lorsqu’il y a trucage des élections, l’utilisation des voies de recours officielles est une entorse visible à la sincérité du scrutin.

    Quand Jean-Marc Ayrault dit dans une déclaration datée du 3 septembre 2016 sur la situation du Gabon : « Tous les recours doivent pouvoir s’exercer par les voies légales et constitutionnelles et les violences doivent à tout prix être évitées[4].» cela montre que la France veut légitimer la victoire volée de Monsieur Ali Bongo. Et pourtant, elle sait bien que les voies légales et constitutionnelles gabonaises étant sous le contrôle d’Ali Bongo ne peuvent garantir la sincérité des résultats du scrutin et dire correctement le droit.

    Au Congo-Brazzaville, l’utilisation de ces mêmes voies après l’élection présidentielle anticipée du 20 mars 2016, a contribué à tuer la vérité de scrutin et à dénaturer le droit applicable pour légitimer le hold up électoral et le passage en force du tyran Denis Sassou Nguesso. Si la France n’était pas hypocrite et aveuglée par la réalpolitik ( le gain facile ), les leçons de cette élection présidentielle volée, devrait lui servir d’exemple pour ne plus demander l’utilisation des voies de recours officielles lorsqu’il y a irrégularités et trucage des résultats de l’élection présidentielle dans des États non-démocratiques et voyous. Ces voies sont en réalité des entraves à la vérification et au rétablissement de la sincérité des résultats du scrutin. Á propos des expressions manières et tortueuse qui occulte la réalité des pratiques politiques africaines en matière des élections comme celles susmentionnées faites par le ministre français des affaires étrangères Jean-Marc Ayrault , Jean Baptiste Placca dit à juste titre :

    « Ce sont justement ces contorsions diplomatiques qui tuent la démocratie en Afrique. Pourquoi donc est-ce si difficile de dire les choses clairement, pour que ce continent avance enfin ? Cette fois-ci, les diplomates et autres observateurs européens ont été suffisamment explicites, pour que ceux qui savent lire entre les lignes comprennent qu’il se passait quelque chose de peu reluisant dans le processus électoral, au pays d’Ali Bongo.[5] »

    Dans un État où l’État de droit existe et la séparation des pouvoirs est garantie, il est normal lorsqu’il y a irrégularités et trucage de l’élection présidentielle d’utiliser les voies de recours officielles pour vérifier et rétablir la sincérité des résultats du scrutin présidentiel. L’État de droit, la garantie de la séparation des pouvoirs et le respect de la démocratie constituent des garanties qui permettent à chaque candidat à l’élection présidentielle de faire confiance à l’institution chargée de veiller à la régularité du scrutin présidentiel. Cette institution ( la Cour constitutionnelle ) contrôle le bon fonctionnement des bureaux de vote et s’assure en particulier du secret, de la liberté et de la sincérité du vote.

    La vérification de la sincérité du scrutin opérée par la Cour constitutionnelle autrichienne est très convaincante pour montrer l’efficacité du contrôle de la régularité du scrutin lorsque l’institution en charge, travaille de façon indépendante en garantissant la sincérité du scrutin.

    En effet, le 1er juillet 2016, la Cour constitutionnelle autrichienne a invalidé le deuxième tour de l’élection présidentielle pour irrégularités « Coup de théâtre. Plus d'un mois après la présidentielle du 22 mai en Autriche, la Cour constitutionnelle a annoncé, vendredi 1er juillet, l'invalidation du résultat en raison d'irrégularités dans le dépouillement de certains suffrages. La plus haute juridiction du pays, a donné raison vendredi au recours du parti d'extrême droite FPÖ qui contestait la régularité de l'élection présidentielle après la défaite de Norbert Hofer, 45 ans, battu de peu par l'écologiste Alexander Van der Bellen[6] »

    Ici la Cour constitutionnelle autrichienne n’a fait que son travail défini par la constitution autrichienne : celui de veiller à la régularité du scrutin présidentiel. Le parti d’extrême droite FPÖ a eu raison en contestant la régularité de l’élection présidentielle du 22 mai 2016 de faire un recours auprès de la Cour constitutionnelle.

    Dans un État de droit où chaque institution a une indépendance garantie, le contentieux électoral est résolu par des voies de recours officielles. Ces voies de recours officielles, au lieu de tuer la vérité et de dénaturer le droit comme dans des États autoritaire, dictatorial et voyou, garantissent la sincérité des résultats du vote en désignant le vrai vainqueur de l’élection présidentielle.

    Lorsqu’il y a litige électoral dans les États francophones de l’Afrique centrale, l’utilisation ou la demande d’utilisation des voies de recours officielles est une entorse visible et substantielle à la vérification et au rétablissement de la sincérité des résultats du scrutin présidentiel.

    Par contre dans un État de droit, l’utilisation de ces voies est fortement indispensable pour vérifier et rétablir la sincérité des résultats de l’élection présidentielle. Ces voies dans cet État ne sont pas des entorses à la vérité mais des moyens de vérifier et d’établir la vérité du scrutin.

     

    NTETANI WASSEMO Darcy Guilein. 

     

     

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5 septembre 2016 1 05 /09 /septembre /2016 19:22

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                                Source : Africtelegrph

     

    LE REVERS DE LA CRISE POST ÉLECTORALE AU GABON : DICTATURE, GUERRE DE SUCCESSION, GUERRE DE CLANS,CONSERVATISME, GUERRE FAMILIALE, OU LA STRATEGIE DU DICTATEUR Denis SASSOU NGUESSO.    Bienvenu MABILEMONO ANALYSE

     

    L’équipe de Africtelegraph.com a reçu hier un courrier de Bienvenu MABILEMONO. Opposant bien connu à Denis Sassou Nguesso le président du Congo, Bienvenu MABILEMONO est actuellement en exil. Nous avons décidé de partager avec vous son courrier, qui n’engage pas la rédaction.

     

     

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    Le leader de l’opposition gabonaise Jean Ping dans son quartier général le 28 août.

     

     

    Mon très Cher Aîné Serge,


    Dah, comme tu le sais, je suis un homme avisé et donc je ne fais jamais rien par hasard.

    La politique, si tu veux la faire, il faut voir beaucoup plus loin que la moyenne des personnes. Moi, ton jeune frère, je vois très loin et je suis très bien informé ; ce qui me permet de prendre les décisions en connaissance de cause.

    Alors je vais te dire des choses - que tu ignores sans doute - qui éclaireront ta lanterne.

    Le principal soutien financier, politique et bientôt probablement militaire de Jean PING s'appelle Denis Sassou Nguesso.  

    Au plan financier :

    Madame Marie Paule PING née MBOUSSOU DIOLA, l’épouse de Franck PING, le fils aîné de Jean PING, et Madame Danièle Sassou Nguesso née MBOUSSOU, l’épouse de Denis Christel Sassou Nguesso, sont deux sœurs de même père et de même mère. Leur mère n’est autre que l’actuelle présidente du Sénat gabonais, madame e de Lucie Mboussou née Milebou-Aubusson.

    Denis Sassou Nguesso qui s’est toujours cru plus malin que tout le monde finance discrètement Jean PING via des sociétés chinoises dirigées par le Franck PING. C’est ainsi que l’ogre de l’Alima a octroyé à ce dernier le juteux marché de la construction du fameux Village Olympique de Kintélé ayant servi aux Jeux Africains de 2015 à Brazzaville, pour un montant de125 millions de dollars US. Naturellement, la facture a bien sûre été réglée par la SNPC de Denis Christel Sassou Nguesso, le mari de la petite sœur de l’épouse du fils PING.

    D’autres marchés ont été attribués par l’ogre de l’Alima à la société chinoise représentée par Franck PING, notamment le tronçon de la route de deux voies, longue de 169 km, qui relie Ketta à Sembé. Montant de la facture payée au fils PING : plus de 101 milliards de francs Cfa (dont 56,65% supportés par le Congo et 43,35% par le Fonds africain de développement). Cette route a été inaugurée en grande pompe par l’ogre de l’Alima le 11 février 2016 en pleine campagne présidentielle.

    La Synohydro Corporation Limited représentée par le fils PING avait obtenu également le juteux marché de l’extension du Port autonome de Brazzaville.

    Tout homme averti sait que l’octroi de tous ces importants contrats à une même et seule société représentée par le beau-frère de Kiki (le petit nom de de Denis Christel Sassou Nguesso dit le pétrolier) n’est ni plus ni moins qu’une manière déguisée pour Denis Sassou Nguesso de soutenir financièrement Jean PING.

    Au plan politique :

    Tout d’abord il faut savoir que Denis Sassou Nguesso a toujours agit en intelligence avec l’écrivain français Pierre Péan dans la rocambolesque et abracadabrantesque histoire de la filiation d’Ali Bongo, qui serait  d'origine biafraise et aurait été adopté par notre défunt frère Omar Bongo Ondimba.

    La vérité est que dans cette affaire, le principal informateur de Pierre Péan n’est autre que l’ogre de l’Alima. L’objectif visé était d’empêcher Ali Bongo d’être candidat à cette élection présidentielle du 27 août 2016, conformément à l’article 10 de Constitution du Gabon. Je précise que Denis Sassou Nguesso et Pierre Péan sont très proches (ainsi que Robert Bourgi qui veut lui aussi à tout prix la tête d’Ali Bongo).

    N’ayant pas réussi leur coup de l’invalidation de la candidature d’Ali Bongo, Denis Sassou Nguesso est passé au plan B, c’est-à-dire obtenir coûte que coûte le ralliement des principaux candidats de l'opposition gabonaise à Jean PING.

    Comme à son habitude, il n’avance jamais à découvert, il avance toujours masquée. C’est ainsi que par l’entremise de son vieil ami Zacharie Myboto (qu’il avait d’ailleurs ouvertement soutenir en 2009 contre ce même Ali Bongo), il a fait discrètement pression les deux principaux ténors de l’opposition gabonaise, à savoir, Guy Nzouba Ndama et Casimir Oyé Mba, pour qu’ils retirent leurs candidatures et appellent à voter Jean PING contre Ali Bongo (dans le même temps, Robert Bourgi et Pierre Péan utilisaient la fille Chantal Myboto épouse Gondjout pour faire également pression sur son père dans ce sens).

    Dans cette élection présidentielle gabonaise le calcul politique de Sassou Nguesso était de placer à tout prix Jean PING en face d’Ali Bongo pour une raison évidente : leur lien de famille (PING étant le père des deux enfants de Pascaline Bongo) ferait que tous les déçus d’Ali Bongo au sein de la famille Bongo et dans le Haut-Ogooué voteraient volontiers pour l’ex-beau-frère. Et surtout, ce lien familial pourrait rassurer Ali Bongo qui, avec les conseils de sa sœur Pascaline, accepterait ainsi plus facilement de laisser le pouvoir sans chercher à s’y accrocher en usant de la force.

    Mais en bon prince machiavélien, Denis Sassou Nguesso a surtout en tête un autre calcul beaucoup plus subtil et beaucoup plus personnel. S’il cherche à se débarrasser à tout prix d’Ali Bongo (57 ans) et placer Jean PING (73 ans) à la tête du Gabon ce n’est certainement pas pour les beaux yeux de ce dernier et encore moins parce qu’il veut aider le peuple du Gabon à mettre fin au long règne de la dynastie Bongo. Bien au contraire.  

    En effet, alors que lui-même, Denis Sassou Nguesso, peut désormais se maintenir au pouvoir à vie, après 32 années d'exercice de pouvoir sans partage, et après avoir massacré son propre peuple, comment peut-on comprendre son obsession à vouloir faire en sorte qu'Ali Bongo Ondimba ne soit pas reconduit dans ses fonctions alors qu’il ne règne que depuis 7 ans ? Et quand on sait qu'il envisage de léguer le pouvoir en héritage à son fils Denis Christel Sassou Nguesso, on ne peut pas croire que Denis Sassou Nguesso soit guidé par de bonnes intentions "d'aider" les Gabonais à mettre un terme à l'emprise du clan Bongo sur le Gabon. Un tel argument ne tient pas debout car aucun Gabonais ne peut dire que Jean PING n'est pas un membre à part entière du clan Bongo.

    La vérité est que Denis Sassou Nguesso rêve secrètement de voir dans 7 ans (alors que Jean PING aura 80 ans) son petit-fils Omar Denis Bongo ondimba, fruit de l’union de feu Omar Bongo Ondimba et la défunte Edith Lucie Bongo née Sassou Nguesso, diriger le Gabon pendant que son fils Denis Christel Sassou Nguesso, lui, dirigera le Congo.

    Ce qu’il faut bien comprendre c’est que pour l’ogre de l’Alima, son vrai problème ce n’est pas d’aider les Gabonais à mettre un terme à l’hégémonie du clan Bongo au Gabon. Son problème c’est qu’il veut continuer à contrôler le Gabon comme il le faisait sous l’ère Omar Bongo par l’entremise de sa défunte fille Edith Lucie. En plus, il considère que son petit-fils Omar-Denis Bongo ondimba, est, selon lui, plus légitime pour diriger le Gabon que ne l’est Ali Bongo qu’il appelle d’ailleurs en privé le Biafrais.

    En chassant Ali Bongo Ondimba du pouvoir au Gabon pour le remplacer par Jean PING (qui est lui sera totalement redevable), Denis Sassou Nguesso veut tout simplement couper une branche de la dynastie Bongo, celle représentée par Ali Bongo pour mieux préparer la conquête du pouvoir par l’autre branche du clan, celle de son petit-fils Omar-Denis Bongo-Ondimba, le seul héritier légitime à ses yeux pour régner sur le Gabon. C’est autant dire que les plus « idiots » dans cette affaire ce sont les Gabonais et Jean PING le premier, car il semble ne pas comprendre cette ruse et cette manipulation de l’ogre de l’Alima.

    Certes, jusqu’à présent le soutien de Denis Sassou Nguesso à Jean Ping portait essentiellement sur sa participation au financement de la campagne électorale de ce dernier, mais le pire reste à venir.

    En effet, selon nos informations, son soutien à Jean Ping pourrait très rapidement se muer en une politique ouvertement interventionniste après le déclenchement de la guerre civile post-électorale qui se profile à l'horizon au Gabon.

    En clair, son soutien à Jean Ping n’exclut pas l’appui et l’entraînement de combattants de l'opposition gabonaise dans sa base militaire privée de tsambitso, non loin d’Oyo, au cas où la crise post-électorale actuelle donnerait lieu à une guerre civile au Gabon.

    Alors Dah, à présent, je voudrais que tu me dises, après tout ce que je viens de te révéler et que ignorais sans doute, quelle est ta position par rapport à tout ce qui se passe au Gabon ?

    Pour moi, soutenir aveuglement et sans discernement Jean PING au nom d’une prétendue défense de la démocratie et de l’alternance, c’est faire preuve de naïveté et d’amateurisme politique.

     

     

    Bienvenu MABILEMONO

     

    http://www.africtelegraph.com/gabon-courrier-de-bienvenu-mabilemono/

     

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5 septembre 2016 1 05 /09 /septembre /2016 17:53

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    LES DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND: LE PLAN MACABRE DES BARBOUZES DU SASSOULAND

     

     

     

     

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    //URGENT - URGENT/// : Le plan Sassou - Okemba - Mboulou pour ''criminaliser'' et tenter d'écarter certains leaders de la Majorité républicaine victorieux du scrutin de mars 2016 qualifiés de ''radicaux'' par les faucons du pouvoir. (Large diffusion)

    Le Congo-Brazzavile est plongé depuis le 13 aout 2016 dans une impasse politique suite à l'illégitimité et l'illégalité consacrée du régime de Brazzaville, l'impasse est socio-économique parce en cessation de paiement imminent à défaut d'un concours financier international, enfin l'impasse sécuritaire est plus que visible au vu de l'état de siège de facto en cours, une centaine de prisonniers politiques ainsi qu'une région, celle du Pool sous la botte des hordes d'hommes en armes. Consécutif à la crise post-électoral en cours, c'est le moment qu'a choisi les faucons du régime pour se lancer dans un projet type stalinien, à savoir, l'organisation d'un procès ou l'ouverture d'une enquête judiciaire dont le seul but est d'éliminer ou emprisonner certains leaders qui se battent pour faire triompher la vérité des urnes et dits sans ambages, non au ''braquage électoral''.

    En effet, depuis le 04/04/2016 le Colonel Thomas Bakala Mayinda, le fameux DG des Renseignements Généraux a mené une vraie fausse enquête, faite de bric et de broc sur les fameuses attaques des 04 et 05/04/2016. En réalité cette simulation d'attaque orchestrée et ordonnée par le régime de Mr 8%, Sassou Nguesso à des fins politiques et sécuritaires vient de passer à sa phase terminale. Selon nos sources, sur instructions du ''Ministron'' Pierre Mabiala, lui même instruit par les faucons du pouvoir, Thomas Bakala Mayinda vient de remettre son fameux ''rapport d'enquête'' au fameux procureur de la République, l'homme des basses besognes Oko Ngakala.

    De la vraie-fausse attaque du 04/ et 05/04/2016

    Que savons nous des fameuses ''attaques'' des 04 et 05/04/2016 à Bifouiti, Makélékélé et Bacongo ? Il sied de rappeler que la proclamation des résultats du scrutin du 20 mars majoritairement contestés sur tout le territoire national et l'international se fait dans une ambiance tendue. Les congolais sont prêts à reprendre la rue pour marquer leur désapprobation au ''braquage électoral' perpetré par le pouvoir. Le pouvoir mit en place un plan d'attaque simulé pour faire valider par une Cour Constitutionnelle réticente sa forfaiture. Jean françois Denget et Hydevert Moigny sont à la manoeuvre avec le financement de Christel Sassou Nguesso. Les hommes de Jean François Denget, ceux de Hydevert Moigny, les 12 apôtres ainsi que des centrafricains supplétifs sont positionnés nuitamment pour la sale besogne. Des tirs de canons dissuasifs sont activés, d'autres éléments attaquent et brûlent les commissariats, causant au passage la mort de certains éléments de la police qui n'étaient dans le complot. Thomas Bakala Mayinda le sait, lui qui ce matin là se trouvait dans son bureau, tout en apprenant incrédule la mort d'un commissaire dans un PSP. Les mûrs ont tout vu, tout entendus, notamment les détenus dans les geôles des RG.

    Pendant ce temps, les membres de la Cour Constitutionnelle sont cueillis par les hommes de la Garde le Présidentielle, sommés par les officiers de proclamer les résultats le soir même, selon les instructions de Sassou Nguesso. Certains ont aperçu ces vrais-faux ninjas aux alentours du siège de la Cour Constitutionnelle, armes et lance roquette aux poings sous le regard complice des éléments de la Garde Présidentielle de Sassou Nguesso commis à la sécurité du siège.

    Autre élément qui tend à confirmer cette simulation d'attaque, la présence dans les médias de Leonidas Mottom, d'abord sur les ondes de la voix de l'Amérique, puis sur les ondes de RFI pour confirmer la présence des supposés ninjas du pasteur Frédéric Bintsamou Ntumi en cette matinée du 04/04/2016. Nommé plus tard''Ministron de la Culture'' sans nul doute pour service macabre rendu, celui-ci reconnaitra plus tard ne pas avoir vu des ''Ninjas'' en cette matinée. Par ailleurs, tous les témoignages concordants des populations de ces quartiers sud, rejettent toutes présences des ''Ninjas'' en cette matinée.

    Du volet judiciaire de la vraie-fausse attaque du 04/ et 05/04/2016

    Le régime de Brazzaville constate dit-on un flagrant délit en ces jours malheureux et tragiques des 04/04/2016. Des ''Ninjas'' qualifiés de ''terroristes'' en passant sont appréhendés, présentés devant les caméras de télévision. La police judiciaire n'est nullement saisie, on se refére plutôt à une antenne de la police politique, les renseignements généraux pour mener une enquête qui dure cinq (5) mois. Depuis aucun officier de police judiciaire, ni juge d'instruction n'est saisie.

    Cinq (5) mois plus tard on se retrouve avec un rapport d'enquête, contenant un volet dit ''confidentiel'' qui en réalité a listé des personnalités dites de ''l'opposition radicale'' incriminées dans un supposé complot orchestré le 04/04/2016. Des vrais-faux ninjas ont été interpellés pour accuser des personnalités politiques, ainsi déclencher une procédure judiciaire contre elles.

    Les congolais se souviendront de l'attentat de Maya-Maya et Cinéma Star orchestrés par le pouvoir de l'époque, Sassou Nguesso est déjà à la maneouvre pour mettre au verrou des personnalités politiques. Tout récemment, la simulation de l'attaque des plateaux de 15 ans des éléments de Denget, mis sur le dos du sieur giscard Michelino pour justifier l'attaque au domicile du Colonel Marcel Ntsourou. Attaque ayant occasionnée une trentaine de jeunes compatriotes assassinés.

    Du volet politique de la vraie fausse attaque des 04 et 05/04/2016

    Le pouvoir s'était assigné trois objectifs dans la simulation de cette attaque. A court terme, sous prétexte de riposter à une supposée attaque, permettre le déploiement des hommes en armes, engins lourds et autres dispositifs de répression pour dissuader toute possibilité de contestation massive des populations. 
    A moyen terme, l'objectif étant de déloger ou éliminer le révérend Ntumi Frédéric Bintsamou considérer par les faucons du pouvoir comme ''radical''.

    Enfin la finalité de cette grotesque et macabre simulation d'attaques est en réalité la mise à l'écart ou hors d'état de nuire des véritables vainqueurs du scrutin du 20/03/2016, notamment ceux qui à ce jour ont dit sans ambages , ce de manière catégorique, rejeter les résultats officiels donnant Sassou Nguesso vainqueur du scrutin. A défaut d'une élimination physique en bonne et due forme, il faut passer par des procès staliniens. 
    Ainsi, Zéphyrin Mboulou est en phase de créer moyennant ''guiris'' et autres facilités une plateforme dite de l'opposition pour l'organisation d'un dialogue à la sauce de Sassou Nguesso afin de déboucher par la suite à l'organisation des législatives pour se donner une certaine légitimité ou notabilité du régime.

    En somme, nous devons restez vigilants et attentifs face à la manoeuvre éhontée du pouvoir et la trahison de ceux qui ayant reçu le mandat du peuple oseront trahir la mémoire de nos martyrs. 
    Quoi qu'il arrive, privilégier la répression et la corruption est une voie sans issue, les 90% des congolais qui ont opté pour le changement sauront toujours compter sur ceux des leaders qui droit dans leurs bottes ont pris le pari de faire triompher par tous les moyens nécessaires la vérité des urnes.

     

     

     

     

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4 septembre 2016 7 04 /09 /septembre /2016 12:23

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    Après le Congo, le Tchad et la Guinée équatoriale, le Gabon vient de s’illustrer en continuant la série noire des pays pourfendeurs de la démocratie. Tout ceci au nez et la barbe des puissances occidentales, la « fameuse communauté internationale ». La République démocratique du Congo (RDC) est en embuscade. L’Occident ne nous montre point de puissance mais une connivence dans la perpétration des crimes contre l’Humanité. Priver un peuple de son droit de choisir librement ses dirigeants en est un.

    Ce malaise est d’autant plus profond qu’il révèle que nos indépendances découlent d’un lien incestueux entre nos anciens colonisateurs et certaines familles régnantes d’Afrique centrale. Ce modèle de gouvernance à vie existe et il s’appelle la monarchie qu’aucun pays d’Afrique centrale n’a choisi jusqu’à preuve du contraire. Tout ceci se fait au détriment du peuple africain longtemps plongé dans la misère, qui tire le diable par la queue et ne voit poindre aucune solution à l’horizon. Encore un autre jour de deuil dirais-je, un « black day », tant nos vies en Afrique noire sont toujours noires de malheur. Est-ce le fruit de nos pratiques ancestrales ou notre incapacité à sortir nos peuples de la mauvaise passe dans laquelle ils se trouvent ? Toutes ces politiques d’aide au développement sans évaluation n’ont servi à n’enrichir que les mêmes depuis toujours : les anciens colonisateurs et l’élite colonisée. Le bien et le mal deviennent des notions relatives.

    Dans tous ces pays, les différentes oppositions au pouvoir en place ont tenté en vain de venir à bout de ces dictatures que notre écrivain Alain Mabanckou qualifiait de petite vérole. Cette maladie infectieuse d’origine virale qui a pratiquement disparu de la terre. La variole qui est très contagieuse et endémique a défiguré le visage de l’Afrique centrale au point de nous rendre méconnaissable vis-à-vis du reste du monde. Encore une fois, nous sommes rattrapés par la tragédie du Roi nègre.

    « Celui qui ne connaît pas l’histoire de son pays est condamné à la répéter sans cesse. » C’est peut être là la cause de nos échecs successifs nous autres démocrates de l’Afrique centrale. Ces indépendances artificielles accordées depuis plus d’un demi siècle pour certains, ne nous permettent pas de vivre en Hommes dignes et libres. Cette liberté de disposer de nos richesses, cette liberté de choisir nos dirigeants et cette liberté de mener notre existence comme bon nous enchante dans un cadre préalablement établi. Nos pays sont devenus des prisons à ciel ouvert dans lesquels en supposé citoyens libres, nous sommes obligés de nous battre pour nos droits civiques comme du temps de l’esclavage aux USA et de l’apartheid en Afrique du sud. Nous sommes les plus nombreux, mais aussi les plus opprimés. Il est temps de changer encore une fois notre façon de faire de la politique. Car nous savons tous que c’est l’oppresseur qui détermine l’arme de l’opprimé.

    En Afrique centrale, le gouvernement, l’armée et le parti du pouvoir en place sont les lieux de rémunération les plus juteux, alors que ceux-ci ne sont créateurs d’aucune richesse. Ils n’apportent généralement rien à nos économies. Serions-nous différents de nos frères d’Afrique de l’Ouest ? Sans trop m’avancer, je dirai oui, car les autres pensent leur pays comme un projet collectif nécessitant l’implication de tous, alors qu’en Afrique centrale le pays est une propriété privée du dictateur en place.

    Je ne peux me résoudre à penser qu’il n’y a plus d’alternative car tous les jours qui se suivent se ressemblent. Nous autres assistons les bras croisés avec un œil complice au bal des tyrans dans l’espoir d’en récolter les miettes. Nous avons abdiqué et nos rêves aussi grands au départ s’amenuisent pour être réduits en peau de chagrin. Certains veulent prendre la vague ou le train en marche de la décadence. Nous devrions faire attention, car être dans le vent c’est avoir le destin d’une feuille morte. Et je ne puis m’imaginer que sans boussole, nous ne terminions notre course dans un brasier.

    Les massacres, les violences, la mauvaise gouvernance, les violations des droits humains continuent sans que la communauté internationale n’intervienne. Celle-ci nous considère-t-elle toujours comme des êtres humains ? Sous le prétexte de la non ingérence dans les affaires intérieures de nos pays respectifs, elle ne lève pas son doigt réprobateur. Car vaut mieux faire des affaires avec des dictateurs qui garantissent la paix des cimetières, que d’avoir à traiter avec ceux qui voudront discuter d’égal à égal. « Les états n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts » dixit de Gaulle. Détruire les monuments de Tombouctou est passible de la cour pénale internationale (CPI), alors que tuer quelques nègres dont le sort n’émeut pas grand monde reste anecdotique. Quand on en tue un c’est un drame, nombreux ce ne sont plus que des statistiques.

     

    J’interpelle tous les démocrates d’Afrique centrale afin que nous puissions nous concerter pour mettre fin à cette gangrène. Nous serions intelligents nombreux. Si nous laissons faire, nous allons tous mourir de honte. Dans ce cas nous aurions encore trahi une fois de plus la mémoire de nos illustres figures telles que Lumumba, Nkrumah, Mandela, Sankara, Nyéréré, etc. Lumumba disait « si je meurs demain c’est qu’un blanc aura armé la main d’un noir. » Cela reste toujours vrai et d’actualité car le prédateur de l’homme noir c’est l’homme noir lui-même. Ceci ne devrait plus être un frein afin d’aller de l’avant. Nous avons fait le diagnostic, nous avons les ressources, les outils et la méthodologie, alors il ne tient plus qu’à nous de changer le monde. L’Occident ne viendra jamais à notre secours car nous n’attendrons rien des personnes qui bafouent les droits de leur propre minorité. Ils ne nous considèrent que comme des variables d’ajustement que nous ne sommes pas. Ils sont toujours préoccupés par nos situations post-électorales, doutent de la sincérité du vote, appellent à la retenue, réprouvent avec fermeté tout recours à la violence, pour finalement après reprendre langue avec nos dictateurs : « The show must go on : le spectacle doit continuer. »

    La seule leçon que nous devrions retenir est que le créateur a fait l’Afrique centrale belle et riche que les autres en sont mécontents. Ne leur laissons pas la possibilité de nous la détruire pendant qu’il est encore temps. J’ai mal pour l’Afrique centrale ce jour, mais seule la lutte libère et il ne peut en être autrement.

    Je terminerai par ce proverbe du Malawi : « Celui qui désire la pluie doit aussi accepter la boue. »

    Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA

     

    LES DERNIÈRES NOUVELLES DU SASSOULAND: LA DÉMOCRATIE ÉGORGÉE OU L' IMPOSSIBLE ALTERNANCE QUI SE RÉSUME A UN JEU ÉLECTORAL DE GROS COUILLONS.

    DÉSHABILLONS LES DICTATEURS. TOUT A ÉTÉ FAIT ET PENSÉ EN AMONT POUR ORGANISER UN HOLD-UP ÉLECTORAL A PERPÉTUITÉ.

    Décrétez officiellement le pouvoir à vie, vous épargnerez ainsi des vies humaines.

    Ils sont d’un cynisme sans égal. Dictateurs, ils sont. Dictateurs, ils mourront. Ils vous abreuveront toujours des mêmes rhétoriques, conscients d’avoir sciemment verrouillé le système en amont pour valider à perpétuité leurs hold-up électoraux. Un mouton présenté contre eux, l’emportera haut la main. Mais ils ont fait de telle sorte que pour les renverser par les urnes, c’est mission impossible. Autrement dit, c’est un cercle vicieux ou le serpent qui se mord la queue.

    CE QU’ILS VOUS DISENT :

    Nous sommes en démocratie. ( FAUX )
    Nous sommes dans un pays de lois. ( FAUX )
    On va organiser les élections. ( FAUX ), c'est la TRICHE organisée.
    Il y a des juridictions pour faire appel. ( FAUX )
    Vous avez la cour constitutionnelle pour contester les résultats des élections. ( FAUX )

    MAIS CE QU’ILS NE VOUS DIRONT JAMAIS, CES DICTATEURS :

    Ils ne quitteront jamais le pouvoir, quoi qu’il en soit. 
    Le verdict des urnes, ils s’en foutent royalement
    Pour eux, la démocratie c’est : Qui perd gagne.
    Ce sont les fervents adeptes des fraudes en tous genres. 
    Fichiers électoraux viciés et tronqués.

    VOICI Le MODUS OPERANDI :

    1 - Commissions électorales nationales Indépendantes, organes chargées de superviser et proclamer les résultats électoraux, n’ont d’indépendantes que de nom. Leurs membres sont une bande de copains, des chefs de milice, d'association bidons ou de parents nommés par leurs soins. La Cenap au Gabon, la Ceni au Congo. Elles ont pour mission, de proclamer de faux résultats (Première étape)

    2 - Cours constitutionnelles: Ce sont des passoires où ils ont placé parents et bandes de copains, chargés de valider leurs forfaitures électorales ( 2 ème étape).

    3- Barbouzes : ces leurs bras armés chargés de mater les populations en cas de contestation des résultats, Totalement acquis à leur cause, les dictateurs y ont placé à la tête des différentes écuries ; Police, Gendarmerie, Milices ou ce qui tient lieu d‘armée, des hommes de confiance, parents ou amis ( 3 ème étape).

    RÉSULTAT:
    Tout recours à la cour constitutionnelle est perdu d'avance, car la bande de copains ou de suppôts qui y siègent ne désavoueront jamais le hold-up électoral du dictateur.

    Dans 5 ou 7 ans, c'est rebelote, on est donc reparti pour un autre hold-up électoral et ainsi de suite.

    CONCLUSION: C'EST LE SERPENT QUI SE MORD LA QUEUE

     

     

     

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Un Dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le Peuple ne rélève pas le défi

 
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3 septembre 2016 6 03 /09 /septembre /2016 16:48

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    Source :

     

    Présidentielle au Gabon: Jean Ping arrive en tête avec 59,14%, Ali Bongo 38,46%

     

                                                                                           ALI BONGO ONDIMBA

                                                              LE Résultat de recherche d'images pour "tricheur"

    Gabon: deux morts à Libreville où les tensions persistent https://t.co/Bj9Qvy4bTZ #AFP Deux hommes sont morts cette nuit dans un quartier de Libreville, à la suite d'affrontements avec les forces de sécurité, ont constaté des journalistes de l'AFP. Bekam Ella Edzang, étudiant en droit de 27 ans, est décédé des suites d'une blessure par balle à l'abdomen après son hospitalisation. Le corps d'un homme de 30 ans était par ailleurs emmené en procession par des manifestants dans le quartier de Nzeng Ayng, ont-ils noté.

     

    RESULTATS NATIONAUX – HORS DIASPORA 
    Pourcentage de voix obtenues PING Jean = 59,14%, BONGO ONDIMBA Ali = 38,46%. Autres candidats = 2,40%

    Nombre de voix obtenues
    PING Jean = 105 112
    BONGO ONDIMBA Ali = 68 355
    Autres candidats = 4 262
    Nombre d’inscrits au Gabon = 628.084
    Votants = 186806
    Bulletins blancs = 9077
    Suffrages exprimés = 177729

    RÉSULTATS PROVINCE DE L’ESTUAIRE G1
    Pourcentage de voix obtenues
    PING Jean = 65,00%
    BONGO ONDIMBA Ali = 33,09%  
    Autres candidats = 1,91%  
    Nombre de voix obtenues
    PING Jean = 58.555
    BONGO ONDIMBA Ali = 29.809
    Autres candidats = 1.717  
    Nombre d’inscrits au Gabon = 261.841
    Votants =  94.162
    Bulletins blancs = 4.084
    Suffrages exprimés = 90.078

    RÉSULTATS PROVINCE DU HAUT OGOOUE – G2  
    Pourcentage de voix obtenues
    PING Jean = 15,22%
    BONGO ONDIMBA Ali = 83,91%
    Autres candidats = 0,87%  
    Nombre de voix obtenues
    PING Jean = 3 083
    BONGO ONDIMBA Ali = 16 999
    Autres candidats = 177
    Pourcentage de voix obtenues = 71.123  
    Nombre d’inscrits dans la province du Haut Ogooué – G2
    Votants = 21232
    Bulletins blancs = 973
    Suffrages exprimés = 20.259
             

    PROVINCE DU MOYEN OGOOUE – G3  
    Pourcentage de voix obtenues
    PING Jean = 68,25%
    BONGO ONDIMBA Ali = 29,08%
    Autres candidats = 2,67%
    Nombre de voix obtenues
    PING Jean = 6 470
    BONGO ONDIMBA Ali = 2 757
    Autres candidats = 253
    Pourcentage de voix obtenues = 28.829  
    Nombre d’inscrits dans la province du Moyen Ogooué – G3
    Votants = 10114
    Bulletins blancs = 634
    Suffrages exprimés = 9480

    RÉSULTATS PROVINCE NGOUNIE – G4 =
    Pourcentage de voix obtenues =
    PING Jean = 55,74%
    BONGO ONDIMBA Ali = 37,08%
    Autres candidats = 7,18%
    Nombre de voix obtenues
    PING Jean = 6 214
    BONGO ONDIMBA Ali = 4 134
    Autres candidats = 800
    Pourcentage de voix obtenues =
    Nombre d’inscrits dans la province de la Ngounié  57.875
    Votants = 11895
    Bulletins blancs = 747
    Suffrages exprimés = 11148

    RÉSULTATS PROVINCE DE LA NYANGA  G5
    Pourcentage de voix obtenues =
    PING Jean = 54,64%
    BONGO ONDIMBA Ali = 40,73%
    NDONG SIMA Raymond = 4,63%
    Nombre de voix obtenues
    PING Jean = 4 298
    BONGO ONDIMBA = 3 204
    Ali NDONG SIMA Raymond = 364 =
    Nombre d’inscrits dans la province de la Nyanga – G5 = 25.228
    Votants = 8416
    Bulletins blancs = 550
    Suffrages exprimés = 7866

    RÉSULTATS DE L’ETRANGER
    Pourcentage de voix obtenues
    PING Jean = 65,82%
    BONGO ONDIMBA Ali = 32,58%
    NDONG SIMA Raymond = 0,89%
    MAGANGA MOUSSAVOU = 0,24%
    MOUBAMBA Bruno Ben MBA = 0,21%
    ABESSOLE Paul ABA’A = 0,14%
    MINKO Roland = 0,00%
    Désiré MINLAMA MINTOGO = 0,05%
    MOUSSAVOU KING Augustin = 0,02%
    ELLA NGUEMA Gerard = 0,02%
    MBOMBE NZOUNDOU Abel = 0,02%
    Nombre de voix obtenues
    PING Jean = 2 800
    BONGO ONDIMBA Ali = 1 386
    NDONG SIMA Raymond = 38
    MAGANGA MOUSSAVOU = 10
    MOUBAMBA Bruno Ben MBA = 9
    ABESSOLE Paul = 6
    ABA’A MINKO Roland = 0
    Désiré MINLAMA MINTOGO = 2
    MOUSSAVOU KING Augustin = 1
    ELLA NGUEMA Gerard = 1
    MBOMBE NZOUNDOU Abel = 1
    Nombre d’inscrits à l’étranger = 8.385 =
    Bulletins blancs = 159
    Suffrages exprimés = 4254

    RÉSULTATS PROVINCE DE L’OGOOUE IVINDO – G6 
    Pourcentage de voix obtenues =
    PING Jean = 45,09%
    BONGO ONDIMBA Ali = 53,59%
    Autres candidats = 1,32%
    Nombre de voix obtenues
    PING Jean = 2 427
    BONGO ONDIMBA Ali = 2 885
    Autres candidats = 71
    Nombre d’inscrits dans la province de l’Ogooué Ivindo – G6  29.945
    Votants = 5770
    Bulletins blancs = 387
    Suffrages exprimés = 5383

    RÉSULTATS PROVINCE DE L’OGOOUE LOLO – G7  
    Pourcentage de voix obtenues =
    PING Jean = 70,93%
    BONGO ONDIMBA Ali = 26,94%
    Autres candidats = 2,14%
    Nombre de voix obtenues PING Jean = 1.593
    BONGO ONDIMBA Ali = 605
    Autres candidats = 48
    Nombre de voix obtenues Nombre d’inscrits dans la province de l’Ogooué Lolo – G7 = 28.063
    Votants = 2480
    Bulletins blancs = 234
    Suffrages exprimés = 2246

    RÉSULTATS PROVINCE DE L’OGOOUE MARITIME – G8  
    Pourcentage de voix obtenues
    PING Jean = 68,38%
    BONGO ONDIMBA Ali = 29,18%
    Autres candidats = 2,44%
    Nombre de voix obtenues
    PING Jean = 10.345
    BONGO ONDIMBA Ali = 4 415
    NDONG SIMA Raymond = 369
    Nombre d’inscrits dans la province de l’Ogooué Maritime – G8 = 62.133
    Votants = 15.914
    Bulletins blancs = 785
    Suffrages exprimés = 15.129

    RÉSULTATS PROVINCE DU WOLEU NTEM – G9 
    Pourcentage de voix obtenues =
    PING Jean = 75,14%
    BONGO ONDIMBA Ali = 21,98%
    Autres candidats = 2,89% =
    Nombre de voix obtenues =
    PING Jean = 12.127
    BONGO ONDIMBA Ali = 3.547
    Autres candidats = 466
    Nombre d’inscrits dans la province du Woleu-Ntem – G9 = 54.662
    Votants = 16823
    Bulletins blancs = 683
    Suffrages exprimés = 16140

    Source:http://apr-news.fr/fr/actualites/presidentielle-au-gabon-jean-ping-arrive-en-tete-avec-5914-ali-bongo-3846

     

     

     

     

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3 septembre 2016 6 03 /09 /septembre /2016 08:09

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    Auprès de Sassou, Tshisekedi rejette une fois de plus le dialogue « facilité » par Kodjo

     

    L’aile de l’opposition de la RDC qui est sous la coupe d’Etienne Tshisekedi a déclaré à l’issue d’une rencontre avec le président Denis Sassou Nguesso, un des médiateurs de la crise en RDC, son refus de participer au dialogue conduit par Edem Kodjo, le facilitateur désigné par l’Union africaine.

     

    "Nous avons réitéré ce que nous avons déjà dit : nous ne participeront pas au dialogue convoqué par Edem Kodjo…" a indiqué Martin Fayulu, membre de la délégation d’opposants qui a accompagné M. Tshisekedi à cette rencontre.

    Edem Kodjo, le facilitateur, a suspendu les travaux du dialogue démarrés la veille et sollicité la médiation du président Sassou, des chefs religieux et d’autres opposants pour tenter de convaincre l’aile de l’opposition qui boycotte ces assises.

    "Il n’est nullement question d’aller participer à ce dialogue…. Nous avons remis un mémo au président Sassou… Il n'y a pas de concession. Nous voulons un dialogue (qui se tiendra) selon la résolution 2277 du Conseil de sécurité des Nations unies", a précisé M. Fayulu appuyé par Felix Tshisekedi, le fils du leader de l’opposition et un des responsables de l’Udps.

    Le président Sassou a également rencontré son homologue de la RDC et d’autres représentants du pouvoir. Il devrait recevoir la société civile par la suite.

    L’opposition se dit non-satisfaite de la libération de quelques prisonniers d’opinion par le pouvoir. Elle conditionne sa participation au dialogue à "la libération de tous les prisonniers politiques, la fin des poursuites judiciaires des opposants sous divers prétextes et la réouverture effective des médias privés" fermés pour avoir critiqué le pouvoir.

    L’opposition accuse le président Joseph Kabila, au pouvoir depuis 2001, de tenter de rester au pouvoir au-delà de son mandat qui se termine le 20 décembre. La constitution lui interdit de se représenter pour un troisième mandat. 

     

     

     

     

                                                                                           

                                                              

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    Sassou Nguesso a rencontré une délégation du Rassemblement ce vendredi 2 septembre 2016 au Fleuve Congo Hôtel en début d’après-midi. La délégation composée notamment d’Etienne Tshisekedi, de Félix Tshisekedi, de Martin Fayulu et de Charles Mwando Nsimba a réitéré les préalables posés avant d’entamer une quelconque discussion avec le camp présidentiel.

    Elle a également rappelé la récusation d’Edem Kodjo et a déposé une copie de la feuille de route produite par le Rassemblement. D’autres politiciens comme Azarias Ruberwa et Thomas Luhaka ont également été reçus.

     

     

     

     

     

     

     

     

    LES DERNIÈRES NOUVELLES DU KABILALAND : BRAVO A ETIENNE TSHISEKEDI. MAIS DE QUOI SE MÊLE SASSOU?

    CE DANGEREUX VIRUS EBOLA NOMMÉ SASSOU.

    En voici au moins un, Etienne Tshisekedi, qui a compris tout le danger que représente Denis Sassou Nguesso dans son obsession à sauver coûte que coûte Kabila..

    Qui dit Sassou, dit Kabila. Qui dit Edem Kodjo, dit Kabila. Ces deux là, son les pions de Kabila. Le dialogue en cours au Kabilaland est une vraie mascarade, à l'instar du dialogue organisé par Sassou à sibiti avec ses partisans et des faux partis d'opposition fabriqués de toute pièce, écartant de fait les vrais partis d'opposition opposés à son projet funeste, faux dialogue dont les conclusions avaient servi d’alibi à Sassou pour changer sa constitution pour se maintenir au pouvoir.

    Ce faux dialogue à la con en RDC en prend le chemin. On le voit bien Kabila fils n'a aucune intention de quitter le pouvoir.

    Que Sassou règle d'abord la grosse crise chez lui, née de son holdup électoral. Qu'Edem Kodjo s'occupe quant à lui de la dynastie Eyadema qui a pris nos frères togolais en otage depuis des décennies. La constitution de la RDC est claire. Kabila a fait ses mandats. Il doit tout simplement dégager le plancher. POINT BARRE.

    Surtout ne pas tomber dans ce piège grotesque tendu par Sassou et Edem Kodjo avec leur dialogue à la con, au risque de voir nos frères de la RDC manger encore du Kabila pendant des années.

     

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La Voix Du Peuple

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POUR UN CONGO LIBRE ET DEMOCRATIQUE

 

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 fl8.jpg EDITORIAL                                               

 

 

Nous avons tous  été confrontés un jour ou l’autre à un fait  choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.

Mais  désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant

soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des

problèmes qui nous rongent.

La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du  grand nombre dans la

dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu,  qui poseraient

des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :

           -des abus de tout genre ;

           -des injustices vis-à-vis des plus faibles ;

           -des scandales économiques, politiques, judiciaires…

La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.

La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps

comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons,  grâce  à elle, à

atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les

invulnérables.

Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les

enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des

agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :

           -des propos indélicats ; 

           -du culte de la division ;

           -des accusations affamantes ;

           -des observations désobligeantes ;

           -des contre vérités…

Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera

purement et simplement écarté.

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dpeuplelavoix@yahoo.fr  

 

 

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  Le symbole de la liberté

  

         Non à la dictature

    

   

   

 

      L' INCORRUPTIBLE       

     Légende d'Afrique

  

  

 

       La colombe de la paix et de l'esperance

        

 

 

 

         Non à l' omerta

   

 

 

BONGO - CHIRAC - SASSOU les principaux acteurs

du coup d' Etat sanglant du 5 Juin 1997 au Congo Brazzaville

   

   

 

 

 

  Pour une Jusitce transparente et équitable

  

 

     

 

   

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  undefinedAu pillage des richesses en Afrique

 

 

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     Kwame NKRUMAH

   

 

        Emery Patrice LUMUMBA

   

 

  Alphonse MASSAMBA - DEBAT

          

 

  

        Marien NGOUABI

       

 

        Cardinal Emile Biayenda

  

             Thomas SANKARA

  

          drapeau des états unis

       Martin Luther KING

  

 

    

   

 

       Mahatma GANDHI

   

 

         Nelson MANDELA

    

 

          John Fitzgerlald KENNEDY  

    

 

       

 

   Pour une alternance démocrtique au Congo

     

     à la santé des Biens mal acquis  

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                              drapeau france

    

                          Le TonTon

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           Un grand et un petit

   

 

 

         

                   Non à la chasse à l' homme

        

 

     

      

 

        

 

                

   

 

     

 

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               La métamorphose

      

 

           

            La tour de contrôle

      

 

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         billet 500 euros

           portefeuille dollard

        

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        Aux massacres

        

 

            

         Des jeunes patriotes Ivoiriens tombés sous les bales

        

 

   Bombardement  de la résidence de Laurent GBAGBO

                          

       Des hélicoptères ont bombardé la résidence de Laurent Gbagbo.

 

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     Le  chemin  d' avenir, le chemin sans issue

                  

            

 

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      L'eau une denrée rare à Brazzaville, pourtant vitale

      

 

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                          Le fleuve Congo

        

     Le bord du fleuve Congo à Brazzaville pourtant les habitants manquent cruellement l' eau potable

         

 

       

 

                    

 

        arton42-100x29

 

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        Leparisien

 

        nouvelobs

 

         butin azuréen

 

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        Révélations effarantes de John Perkins ancien assassin économique

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          DES FEMMES ATYPIQUES

 

           

 

           

              

        

 

       

 

           

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  Gold Man sachs - LA BANQUE QUI DIRIGE LE MONDE

 

     

     

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