CONGO BRAZZAVILLE : L’INDÉCENCE DÉSORMAIS INSTITUTIONNALISÉE !
Lelll
CÔTE D'IVOIRE Liste électorale : Le Pdci appelle à la réhabilitation des droits civiques de l'ancien Président Laurent GBAGBO
Les dictateurs africains, médiateurs de la paix en Ukraine !
Les dictateurs africains, médiateurs de la paix en Ukraine !
C’est l’hôpital qui se moque de la charité, et le ridicule ne tue plus en Afrique.
C’est l’épisode des pieds nickelés africains en Europe à la recherche de la solution pour la stabilité mondiale. Il s’agit de la blague de l’année dans les chancelleries occidentales.
Incapables d’instaurer la justice sociale, un climat propice à la démocratie et à la gestion saine des affaires publiques, six (6) despotes africains, et non des moindre au regard de leur pedigree, veulent sauver la paix dans le monde. Il s’agirait du général de corps d’armée Denis Sassou Nguesso du Congo-Brazzaville, du nouvel autocrate Macky Sall du Sénégal, du dictateur Yoweri Museveni de l’Ouganda, du maréchal Abdel Fattah al-Sissi de l’Égypte, du gestionnaire sulfureux des deniers publics Cyril Ramaphosa de l’Afrique du Sud, et de monsieur Hakainde Hichilema de la Zambie. C’est un attelage fait de bric et de broc sans cohérence idéologique, une initiative cavalière en dehors de l’Union africaine (UA).
Ces présidents africains, pour la plupart peu recommandables, se muent en hérauts de la paix sous l’instigation de leur mentor, monsieur Jean-Yves Ollivier, le sorcier Blanc de monsieur Denis Sassou Nguesso.
Décidemment la guerre entre la Fédération de Russie et l’Ukraine nous aura réservé beaucoup de surprises dans tous les domaines. L’Europe qui se croyait à l’abri de la guerre depuis des années s’est retrouvée en état de léthargie devant l’agression de l’Ukraine par la Fédération de Russie. Comme quoi la paix n’est jamais définitivement acquise, mais il y a lieu de la préserver avec l’adage « qui veut la paix prépare la guerre ».
Les guerres et les génocides sont omniprésents en Afrique, et les Occidentaux ne semblent pas s’en soucier car loin de leurs peuples et de leurs préoccupations. Après le triste génocide Rwandais aux yeux et à la barbe de la communauté occidentale qui avait fermé les yeux, 400 000 Congolaises et Congolais du Congo-Brazzaville furent massacrés en 1997, au cours d’une guerre civile sous le silence assourdissant de la France afin de permettre à monsieur Denis Sassou Nguesso de revenir aux affaires, pour garantir les intérêts de la France, notamment dans le secteur énergétique par le pillage des richesses du Congo-Brazzaville qui continue jusqu’à ce jour.
La guerre dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) sous l’instigation du Rwanda et de l’Ouganda ne semblent pas émouvoir les Occidentaux qui tirent profit de ce dépeçage à grande échelle, des richesses de ce pays nécessaires à la transition énergique et au contrôle du réchauffement climatique dans le monde. Les millions de morts occasionnés par la guerre dans l’Est de la RDC ne sont qu’une variable d’ajustement dans la Realpolitik que se livrent les grandes puissances de ce monde au grand dam du peuple congolais qui en subit les conséquences néfastes dans l’indifférence générale. C’est Joseph Staline qui disait : « La mort d'un homme est une tragédie. La mort d'un million d'hommes est une statistique ». Ils sont aussi cyniques que Joseph Staline car en RDC, nous sommes dans les statistiques. L’Union africaine (UA) financée par l’Union européenne (UE) est aux abonnés absents dans ce conflit.
La seule question qui se pose dans cette tragédie shakespearienne de la guerre entre la Fédération de Russie et l’Ukraine, est celle de savoir comment des Présidents africains, des dictateurs dépourvus d’empathie vis-à vis de leurs propres peuples peuvent prétendre apporter la paix à des belligérants qui n’ont aucune considération pour eux à défaut de servir de partenaires dociles faciles à rouler dans les affaires ? N’est-il pas normal de commencer à balayer devant sa porte avant d’aller se mêler des affaires d’autres ?
Le propre des dictateurs africains, comme monsieur Denis Sassou Nguesso, c’est qu’ils aiment le culte de la personnalité. Se mettre en scène pour des futilités est devenu leur hobby au lieu de se consacrer à leurs peuples en y apportant la paix, la tranquillité, la justice sociale, le bien-être, etc.
Le cas de monsieur Denis Sassou Nguesso, ce marxiste-léniniste converti par pur opportunisme à la démocratie avec un bulletin de vote dans une main et une arme dans l’autre, est flagrant. Ce démocrate au pouvoir depuis plus de 38 années cumulées dirige d’une main de fer le Congo-Brazzaville sans se soucier des droits humains sous le regard bienveillant de la France, sa tutrice. Monsieur Jean-Yves Ollivier n’est-il pas un ressortissant français, artisan ardent de la Françafrique, cette nébuleuse qui maintient la tête sous l’eau un certain nombre de pays africains francophones ? .
Monsieur Jean-Yves Ollivier est Président de la Fondation de Brazzaville, très proche du régime du président Sassou Nguesso et de la droite française. « La Fondation de Brazzaville est une organisation à but non lucratif basée à Londres et enregistrée auprès de la Charity Commission for England and Wales. Créée en 2014 par Jean-Yves Ollivier dans le but de perpétuer l’esprit du protocole de Brazzaville, l'organisation promeut et développe des initiatives africaines dans les domaines de la paix (résolution des conflits internationaux et internes), de l'environnement (protection des écosystèmes de la biodiversité et des communautés) et de la santé (lutte contre les faux médicaments). Elle jouit du statut consultatif auprès du Conseil économique et sociale des Nations unies depuis 2018. Les critiques pointent son allégeance au président congolais Denis Sassou Nguesso, dont elle serait une officine de lobbying. »
La Fondation de Brazzaville n’a jamais apporté sa contribution à la résolution des différents conflits qui émaillent le Congo-Brazzaville sous une violence policière inégalée. À bien y voir la Fondation de Brazzaville est une coquille vide au service de la dictature du Congo-Brazzaville avec les Fonds du trésor public congolais. La boucle du copinage et des conflits d’intérêts est bouclée.
Quant à monsieur Macky Sall, c’est un visiteur assidu de monsieur Denis Sassou Nguesso dans son village à Oyo qui veut entrainer le Sénégal, jadis un modèle dans la gouvernance électorale, dans une crise infantile des Présidents voulant à tout prix briguer un troisième mandat. C’est sale et honteux pour la jeune génération des dirigeants africains que vous représentez. Monsieur Macky Sall renie sa parole de ne pas briguer un troisième mandat d’ailleurs écrit dans son livre : « Le Sénégal au cœur ».
En Ouganda avec monsieur Yoweri Museveni au pouvoir depuis le 26 janvier 1986, l’on se dirige vers une succession dynastique.
En Egypte, le maréchal Abdel Fattah al-Sissi règne en Raïs sans contre-pouvoir.
En Afrique du Sud, la gestion peu orthodoxe des affaires publiques de monsieur Cyril Ramaphosa pose des sérieux problèmes d’intégrité et d’éthique dans cette nation arc-en-ciel ; Nelson Mandela devrait se retourner dans sa tombe en voyant son héritage de bonne gouvernance galvaudé par ses successeurs.
En Zambie, il y a un nouveau Président élu à la botte des Américains dans leur combat contre les Chinois pour le contrôle de la Copperbelt, province de Zambie, particulièrement riche en gisements minéraux.
Le grand financier de cette initiative foireuse sans aucune chance de succès n’est autre que monsieur Denis Sassou Nguesso à travers la Fondation de Brazzaville de monsieur Jean-Yves Ollivier. Le trésor public congolais sera une nouvelle fois saigné afin de permettre au Roi fainéant de se mettre en scène sur le plan international après sa déconvenue lors des funérailles de la Reine Elisabeth II en Angleterre.
Avec des dirigeants d’un tel acabit, il y a peu de lueur d’espoir pour la jeunesse africaine qui meurt dans le désert libyen ou se noie dans la méditerranée en tentant de fuir l’Afrique, la terre de leurs ancêtres, devenue l’enfer sur terre, nonobstant ses multiples richesses.
Nous allons assister à la balade des gens heureux nourris par le vol des deniers publics de leurs pays respectifs.
Cette initiative qui ressemble à une expérimentation hasardeuse n’honore pas les six (6) Chefs d’États africains, quand nous savons que la guerre entre la Fédération de Russie et l’Ukraine n’est que le continuum de la guerre froide réchauffée entre les États-Unis et la Fédération de Russie. Tel un cheveu dans la soupe, l’Afrique à travers six (6) despotes se déshonore de plus belle au lieu de s’attaquer efficacement aux problèmes qui minent le continent africain, et seul Dieu sait si les défis sont immenses notamment la corruption endémique, la pauvreté, la mal-gouvernance, les conflits armés, la gabegie, le despotisme, etc.
Le Soudan brûle, les Soudanaises et les Soudanais meurent, mais l’Union africaine (UA) et ses despotes ne semblent pas y prêter attention.
« L’Afrique est mal partie » de René Dumond est toujours d’actualité, mais ce n’est pas une raison de se complaire dans cette chienlit.
Il est temps de redonner à l’Afrique la place qui lui revient, celle de berceau de l’humanité.
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Patrice Aimé Césaire MIAKASSISSA
CÔTE D'IVOIRE Laurent GBAGBO UN ADVERSAIRE REDOUTABLE ET REDOUTER. Braquage BCEAO, Me Habiba Touré: "cette condamnation n'a jamais été signifiée au Président Gbagbo"
Me Habiba Touré révèle "cette condamnation n'a jamais été signifiée au Président Gbagbo".
La Commission Électorale Indépendante (CEI) maintient l’exclusion de l’ancien président Ivoirien de la liste des électeurs, publiée ce samedi 20 mai 2023. L’ex-chef de l’État ne pourra pas voter aux élections locales prévues le 2 septembre prochain. Si Laurent Gbagbo a été acquitté par la justice internationale de crimes contre l’humanité commis lors de la crise post-électorale de 2010-2011, il reste, selon la justice, sous le coup d’une condamnation à vingt ans de prison en Côte d’Ivoire pour le « braquage » de la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest (BCEAO) en 2011. Malgré la grâce accordée par le président Alassane Ouattara l’an dernier dans cette affaire, il reste déchu, toujours selon la justice de ses droits civiques et politiques. Invitée à un débat télévisé sur Life TV, ce lundi 22 mai 2023, Me Habiba Touré, après avoir fait un cour magistrale sur la procédure pénale en Côte d'Ivoire, a révélé que cette condamnation n'avait jamais été signifiée à Laurent Gbagbo.
« Cette condamnation du braquage de la BCEAO n'a jamais été signifiée au président Laurent Gbagbo. M Kuibiert-Ibrahime Coulibaly a l'air bien plus informé que l'intéressé lui-même. Mais maintenant, si lui, il dit que dans cette décision, il est marqué noir sur blanc que le président Laurent Gbagbo est déchu de ses droits civils et politiques, mais qu'il la publie. Je mets d'ailleurs au défi n'importe qui, détenteur de cette décision de la publier et que les Ivoiriens voient si dans cette décision, on a retiré au président Laurent ses droits civil et politique », a-t-elle lancé. Selon Me Habiba Touré, « dans un pays de droit, dans un pays qui a un code de procédure pénale comme la Côte d'Ivoire, quand on veut vous poursuivre, on doit vous en informer. Cet acte est remis par un commissaire de justice. On appelle cela la signification. En droit, on dit que la signification doit être faite à personne. C'est-à-dire, ce commissaire de justice doit venir vous voir vous-mêmes pour vous remettre l'acte. La signification à personne, comment ça se passe ? Avant toute procédure, par définition, vous n'avez pas encore un avocat puisqu'il n'y a pas de procédure. C'est quand on vous signifie, que vous êtes informés qu'il y a une procédure et que vous prenez un avocat. Quand on veut vous poursuivre, on vous envoie l'acte, que vous prenez attache avec votre avocat. Puis vous dites à votre avocat d'aller vous représenter éventuellement au civil ».
Me Habiba Touré précise par ailleurs que « au pénal, cette représentation est impossible. Autrement dit, au pénal, vous avez l'obligation de comparaître. Si vous ne comparaissez pas, on rend un jugement par défaut. Ça veut qu'on constate que vous n'êtes pas présents alors que vous avez été dûment convoqués. Voilà que l'État de Côte d'Ivoire a transféré le président Laurent Gbagbo à la CPI. Donc ils savent très bien où il est. Mieux, ils signent un accord de coopération judiciaire avec la CPI. Encore mieux, ils vont ratifier le statut de Rome. Ça veut dire qu'il y aura une coopération absolue entre la CPI et la Côte d'Ivoire. Donc, lorsque vous voulez poursuivre Laurent Gbagbo, c'est un droit. Il n'y a pas de problème avec cela. Étant qu'il y a des accords de coopération, vous saisissez la CPI en lui disant que vous souhaitez entendre Laurent Gbagbo, tel jour, à telle heure, pour tel motif. Comme on coopère, ramenez-le nous, et après le procès, vous le reprendrez. C'est comme ça que ça se passe dans un État de droit. Mais qu'est-ce-qu'il s'est passé ? Le président Laurent Gbagbo ne va pas être informé. C'est par voie de presse qu'il va apprendre sa condamnation. Il n'a même pas été informé de la convocation à plus forte raison de la condamnation. C'est ce qui est gravissime », a-t-elle conclu.
Selon Dakoury Tabley qui était gouverneur de la BCEAO à cette époque, le vrai braquage de cette institution a eu lieu en 2003. À l'en croire, ce procès n’aurait jamais dû avoir lieu, pour la simple raison que le délit n’est pas constitué. Il a expliqué que la BCEAO n’avait jamais été braquée en 2011 et encore moins par le Président Gbagbo et ces trois co-accusés. « Observons qu’on nous a parlé à profusion du "braquage", mais rien n’a jamais été dit sur le mode opératoire des "braqueurs". Comment les prétendus voleurs s’y sont-ils pris pour dévaliser l’Agence Principale de la BCEAO sis à Abidjan Plateau ? L’Accusation est curieusement évasive sur ce sujet, de la même façon qu’elle fait preuve d’une grande discrétion sur les montants dérobés. Mais la réalité la plus déroutante est que la Banque Centrale n’a jamais porté plainte après ce "braquage". Mieux, avant le procès, la BCEAO et les banques commerciales, que le Pouvoir a tenté d’embarquer dans ce coup tordu, ont fait connaître, par écrit, qu’elles n’ont subi aucun préjudice de la part de qui que ce soit. (...) Le vrai braquage de la BCEAO a eu lieu en 2003 et a concerné principalement les agences de Bouaké et Man. Malgré les plaintes de la Banque, les auteurs de ces forfaits, quoique connus, courent toujours et ont aujourd’hui pignon sur rue en Côte d’Ivoire », avait-il confié.
Yannick_LAHOUA
by Yannick_LAHOUA (via Opera News )
JEAN YVES OLIVIER LE VRP A L'INTERNATIONAL DU VIEUX DICTATEUR SANGUNAIRE ET CORROMPU Denis SASSOU NGUESSO EST A LA MANOEUVRE : Des présidents africains prêts à mener une initiative de paix en Ukraine
CONGO BRAZZAVILLE : Conférence de presse: Clément Mierassa, Diogène Senny, Jean-Pierre Anangoye
Lelll
CONGO BRAZZAVILLE : COUP D’ÉTAT PLUS IMAGINAIRE QUE RÉEL AU CONGO !!!
Depuis quelques jours circulent dans les réseaux sociaux, des informations persistantes au sujet d’une tentatives de coup d’État contre le pouvoir SASSOU, dont la révélation aurait été faite par le Président de la RDC au cours d’une visite à son homologue.
Curieusement, depuis que cette information est abondamment commentée sur la toile, les services répressifs du pouvoir, d’ordinaire très promptes à arrêter et jeter en prison les opposants, souvent suite à de simples déclarations, brillent par un silence qui pourrait confirmer ce qui est vraisemblablement un des grossiers montages policiers auxquels, voici un demi siècle de règne du PCT, ont habitué d’abuser le CONGO et le monde.
Des grossiers montages juridico- policiers ayant souvent servi de prétextes au système PCT, en vue de l’élimination physique ou politique de.plusieurs de nos élites, assassinés, jetés en prison où contraints à l’exil à l’étranger.
En effet, la tentative de coup d’État révélée depuis plusieurs jours, n’a accouché d’aucun nom, ni du principal bénéficiaire du putsch, ni de ses complices éventuels.
Aucune interpellation préventive de suspects dans le cadre d’une enquête qui n’est toujours pas ouverte. Fait rare au Congo dans les pratiques au pouvoir de l’oligarchie actuelle qui règne sans partage depuis une quarantaine d’années.
Alors qu’il a fallu de simples montages, avec des preuves fabriquées de toutes pièces par des agents de police souvent mal inspirés, pour que des dignes fils de notre beau pays, soient condamnés à mort ou à de lourdes peines de prison, comme par exemples :
– Alphonse MASSAMBA-DEBAT
– Jacques Joachim Yhombi Opango
– Pascal LISSOUBA
Jean Pierre Thystere Tchicaya
– Colonel David Mountsaka
– Colonel Marcel Ntsourou:
– et présentement le Général Jean Marie Michel MOKOKO et le Ministre André OKOMBI SALISSA embastillés voici plus de sept ans.
La liste exhaustive des élites Nationales dont les carrières, voire la vie tout court, ont été brisées, sous des coups d’État imaginaires, serait trop longue, car c’est par milliers que se comptent, voici un demi siècle, les suppliciés au Congo, pour la pérennisation du pouvoir incarné par le PCT et son oligarchie à vie, militaro-tribalo- bureaucratique.
Si ce coup d’État contre le pouvoir SASSOU est avéré, comment expliquer autrement le silence qui s’en suit, si ce n’est, pour les comploteurs, qu’un stratagème afin de gagner du temps pour trouver des bouc-émissaires, comme ce fut le cas, aux heures sombres qui suivirent l’assassinat du Président Marien NGOUABI le 18 Mars 1977, ou la version sur les auteurs présumés de cet odieux crime à changer au fil des heures, des jours et des années, pour demeurer énigmatique jusqu’à ce jour, 46 ans après ?
Face à ces montages grossiers, pour divertir la galerie, le peuple congolais résigné, condamné à la misère parce que délibérément privé de tout:
– alimentation saine;
– emplois ;
– eau potable, électricité ;
– voiries urbaines et transports de qualité ;
– système éducatif et socio sanitaire de qualité ;
– etc…
est pris pour un peuple imbécile à qui on peut faire avaler n’importe quel mensonge.
Notre pays en plein naufrage, est aujourd’hui empêtré dans une crise multidimensionnelle sans précédent, qui hypothèque l’avenir des générations futures.
Au lieu de poursuivre la diversion par l’annonce récurrente des coups d’État imaginaires, la Composante Jean Marie Michel MOKOKO ( CJ3M ), appelle la Parti Congolais du Travail ( PCT ) et son Président, au ressaisissement patriotique, afin que nous allions sans détour à l’essentiel pour sauver notre pays, c’est à dire à la mise en route du processus consensuel de sortie définitive de crise par :
* une véritable réconciliation nationale dont les actes forts sont là libération sans conditions des prisonniers politiques et l’amnistie générale en faveur de tous les compatriotes contraints à l’exil à l’étranger, par peur ou par des décisions judiciaires injustes.
* l’organisation d’un dialogue national inclusif et consensuel entre tous les acteurs politiques, pouvoir/opposition et de la société civile.
* l’impératif, a l’issue de ce dialogue inclusif, d’un large consensus sur un PACTE NATIONAL en vue du redressement national et de la reconstruction du Congo meurtri par plus de soixante ans de luttes fratricides pour le pouvoir dans une indépendance introuvable.
Brazzaville le 21 Mai 2023.
Pour le Bureau Coordonnateur National de la CJ3M
Le Président
Jean Félix DEMBA-NTELOJean Félix DEMBA-NTELO
SENEGAL : L'Entretien Aminata Touré, ex-Première ministre du Sénégal : "Macky Sall ne peut pas briguer de 3e mandat"
CÔTE D'IVOIRE, HYPOTHÉTIQUE PAIX: La Côte d'Ivoire a repris sa danse macabre. Et le pays joue encore avec le feu
LU POUR VOUS
Personne n'a oublié, en effet, qu'en raison de la rigueur de la loi, qui invalidait, en 2000, la candidature d'Alassane Ouattara à la présidentielle d'octobre et aux législatives de décembre, le pays a connu de graves troubles.
A cet effet, le quotidien Le Patriote titrait à sa Une, le 4 décembre 2000: "Trop, c'est trop." Et sous une carte de la Côte d'Ivoire coupée en deux d'est à l'ouest, le journal écrivait: "La Côte d'Ivoire au bord de la sécession."
Et, après le fiasco du "coup de la Mercédès noire" en janvier 2001, le pays a été confronté à une rébellion armée, à partir de septembre 2002. Objectif atteint, faire d'Alassane Ouattara "candidat à titre exceptionnel" à la présidentielle de 2010 et le placer ainsi au-dessus de la loi pour le retour de la paix.
Nous sommes en 2023 et cette hypothétique paix n'est toujours pas, comme le recommandait Houphouët-Boigny aux Ivoiriens, un comportement. C'est un vain mot dans un pays où, à l'issue de la signature, le 3 mai 2023, de l'accord de partenariat entre le RHDP (parti au pouvoir) et le FPI (opposition), il y aurait deux camps: celui de la paix et celui des revanchards.
C'est dans cette atmosphère de ni-paix ni-guerre que Le Patriote de ce mardi 16 mai 2023 est revenu à la charge. Ce quotidien, qui en appelait hier à l'insurrection pour violer la loi, milite aujourd'hui pour la légalité et l'observation rigoureuse des textes.
Condamné par contumace, le 29 octobre 2019, à 20 ans de prison ferme à Abidjan alors qu'il était en procès à la CPI, Laurent Gbagbo a aussi perdu ses droits civiques pour dix ans dans un procès en sorcellerie.
La BCEAO, que l'accusation prétend avoir été braquée, n'a jamais porté elle-même plainte. Par écrit, elle a même fait connaître qu'elle n'a subi aucun préjudice, selon Philippe Dacoury-Tabley, ancien gouverneur de la Banque.
Dénonçant une décision politique, la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples (CADHP) désavouait, le 25 septembre 2020, la justice ivoirienne.
Elle ordonnait ainsi à l'État ivoirien de "prendre toutes mesures nécessaires en vue de lever immédiatement tous les obstacles empêchant le requérant (Gbagbo) de s'enregistrer sur la liste électorale."
L'État a fait la sourde oreille. Il est resté ferme sur sa position qu'il maintient. Et Gbagbo est paria politique: ni électeur ni éligible.
F. M. Bally
Le seul moyen d'éliminer un adversaire politique dans une démocratie est la voie des urnes. Toute autre manipulation, peut remettre en cause la paix et la stabilité du pays. Un homme averti en vaut deux.
Yamoussoukro, Chantal Tanoh pour la Voix du Peuple
CÔTE D'IVOIRE:
Ces élèves devront désormais répondre de leurs actes. (Ph: Police nationale).
Par Fratmat.info- Adjamé. Un groupe d’élèves dans les filets de la Police pour vol de sac à main.
Quatre élèves ont été appréhendés le jeudi 11 mai 2023, dans la commune d’Adjamé (Abidjan), par la police pour vol portant sur un sac à main contenant une somme d’argent et un téléphone portable. L'opération a été menée par les équipages de police recours et ceux du commissariat de police du 7e arrondissement de ladite commune.
Selon les faits rapportés par la police nationale, le commissariat du 7e arrondissement a été informé de la présence d’élèves qui venaient de commettre un vol à l’arrachée au préjudice d’une dame, au niveau de l’échangeur de l’Indenié (Adjamé).
La réception de ce message a coïncidé avec le passage du Commandant de la police recours zone Adjamé-Plateau. Ce dernier, il faut le dire, faisait la ronde de ses dispositifs. Il a été donc approché par un officier de police en service au 7e arrondissement d'Adjamé en vue de la conjugaison de leurs efforts pour l’arrestation de ces individus.
La synergie d’action a eu pour conséquence l’interpellation de quatre élèves. Il s'agit de D.M, 15 ans ; S.S, 14 ans ; T.M, 16 ans et M.M, 16 ans. Ils ont été mis aux arrêts avec en leur possession le sac à main de la victime. Il a été retrouvé la somme de 80 000 FCfa au lieu de 100 000 FCfa.
Interrogés, ils ont tous reconnu les faits qui leur ont été reprochés.
Si les policiers ont pu retrouver une grande partie de la somme que contenait le sac de la victime, le téléphone portable non.
Édouard Koudou
Si "le rôle de la police nationale est d' assurer la sécurité des personnes, des biens et des institutions. Maîtriser les flux migratoires et lutter contre l'immigration illégale. Lutter contre la criminalité organisée, la grande délinquance et la drogue. Protéger le pays contre la menace extérieure et le terrorisme."
Au Congo Brazzaville c'est tout le contraire d'une police républicaine, la police terrorise les populations, paticipe aux braquages et laisse prospérer le banditisme, la délinquance, et des crimes gratuits au détriment de la quiétude des populations.
Brazzaville, Steve OBORABASSI pour la Voix du Peuple
EDITORIAL
Nous avons tous été confrontés un jour ou l’autre à un fait choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.
Mais désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant
soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des
problèmes qui nous rongent.
La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du grand nombre dans la
dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu, qui poseraient
des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :
-des abus de tout genre ;
-des injustices vis-à-vis des plus faibles ;
-des scandales économiques, politiques, judiciaires…
La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.
La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps
comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons, grâce à elle, à
atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les
invulnérables.
Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les
enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des
agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :
-des propos indélicats ;
-du culte de la division ;
-des accusations affamantes ;
-des observations désobligeantes ;
-des contre vérités…
Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera
purement et simplement écarté.
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Non à la dictature
L' INCORRUPTIBLE
La colombe de la paix et de l'esperance
Non à l' omerta
BONGO - CHIRAC - SASSOU les principaux acteurs
du coup d' Etat sanglant du 5 Juin 1997 au Congo Brazzaville
Pour une Jusitce transparente et équitable
Au pillage des richesses en Afrique
Kwame NKRUMAH
Emery Patrice LUMUMBA
Alphonse MASSAMBA - DEBAT
Marien NGOUABI
Cardinal Emile Biayenda
Thomas SANKARA
Martin Luther KING
Mahatma GANDHI
Nelson MANDELA
John Fitzgerlald KENNEDY
Pour une alternance démocrtique au Congo
à la santé des Biens mal acquis
Le TonTon
Un grand et un petit
Non à la chasse à l' homme
La métamorphose
La tour de contrôle
Des jeunes patriotes Ivoiriens tombés sous les bales
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L'eau une denrée rare à Brazzaville, pourtant vitale
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Le bord du fleuve Congo à Brazzaville pourtant les habitants manquent cruellement l' eau potable
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