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26 mars 2012 1 26 /03 /mars /2012 20:29

 

 

 

 

   

      

           

 

LA BELLE LEÇON DE DEMOCRATIE DU PEUPLE SENEGALAIS AU MONDE ENTIER  

 

   

 

   

 

 

 

  

   

L'Afrique et de nombreux pays dans le monde ont applaudi lundi l'alternance pacifique du pouvoir au Sénégal qui a consacré la victoire de l'opposant Macky Sall sur le président sortant Abdoulaye Wade, y voyant un exemple pour l'ensemble du continent.


  Le Sénégal est souvent cité comme l'un des rares modèles de démocratie en Afrique, en particulier dans l'Ouest régulièrement secoué par des violences politico-militaires, comme le coup d'Etat qui a renversé la semaine dernière au Mali voisin le président Amadou Toumani Touré.


  Premier à réagir, le président français Nicolas Sarkozy a qualifié l'élection dimanche de Macky Sall de "très bonne nouvelle pour l'Afrique en général et pour le Sénégal en particulier".


  Le Sénégal, "un pays considérable d'Afrique", a été un "modèle de démocratie (...). Quand on voit ce qui se passe au Mali, c'est un facteur d'espérance pour toute l'Afrique", a dit sur la radio France Info le président de l'ancienne puissance coloniale.


  Dans un courrier au nouvel élu, Nicolas Sarkozy se dit "convaincu" que le Sénégal et la France sauront "entretenir et faire fructifier" leurs liens "exceptionnels" et leur "amitié profonde".
  Dans un courrier distinct au président sortant, Nicolas Sarkozy rend hommage à l'action d'Abdoulaye Wade "en faveur du réglement des conflits et des crises, notamment sur le continent africain".
  Abdoulaye Wade a reconnu sa défaite avant même les résultats officiels d'un deuxième tour qui s'est déroulé dans le calme alors que sa candidature pour un troisième mandat à 88 ans était contestée et que le premier tour avait été précédé de violences meurtrières.

  "Une source d'inspiration en Afrique"

  Le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour l'Afrique de l'Ouest, Said Djinnit, a félicité "le peuple sénégalais pour la belle victoire qu'il offre à la démocratie".
  "Cette alternance pacifique doit être une source d'inspiration en Afrique de l'Ouest et sur le continent africain", ajoute-t-il.


  L'Union africaine (UA) s'est également félicitée.
  "Le choix de l'alternance qui a été fait et la reconnaissance par le président sortant de la victoire de son adversaire sont le témoignage éloquent de la vitalité de la démocratie sénégalaise et de la maturité de sa classe politique qui font au honneur non seulement au Sénégal mais aussi au continent tout entier", écrit le président de sa commission, Jean Ping, dans un communiqué.


  M. Ping voit dans "la sérénité et le calme" du second tour "la preuve que l'Afrique, malgré les difficultés, continue à enregistrer des progrès significatifs sur la voie de la démocratisation et de la transparence électorale".
  L'Union européenne (UE) a salué de son coté "une grande victoire pour la démocratie au Sénégal et en Afrique".


  "Le Sénégal est un très bon exemple pour l'Afrique", a déclaré Michael Mann, porte-parole de la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton.


  A Berlin, le gouvernement allemand a souligné que "ces élections libres et justes, ainsi que la reconnaissance du résultat par tous les candidats, étaient un signe de la maturité démocratique du pays".
  "Une alternance politique pacifique reste en Afrique loin d'être une évidence", a ajouté le ministère des Affaires étrangères.


  Au Nigeria, le chef de l'Etat Goodluck Jonathan a estimé que l'élection "était une bonne chose pour le peuple sénégalais et pour notre sous-région, particulièrement à l'heure où un pays frère fait face à de graves défis en matière d'ordre constitutionnel", en référence au Mali.


  Il a recommandé à "tous les autres dirigeants africains de suivre l'exemple" du dirigeant sénégalais sortant qui a "reconnu avec grâce sa défaite, faisant preuve d'une grande maturité".


  Au Maroc, le roi Mohammed VI a déclaré que l'élection marquait "une alternance au pouvoir qui illustre la grande maturité politique du peuple sénégalais et constitue une consécration de la démocratie et du pluralisme politique".

 

   

ABDOULAYE WADE FELICITE MACKY SALL ET SAUVE LA FACE MAIS SORT PAR LA " PETITE PORTE "  

 

     

 

Sa candidature à un nouveau mandat avait suscité inquiétudes et violences meurtrières: en reconnaissant sa défaite face à Macky Sall avant même la publication des résultats officiels, Abdoulaye Wade a tenté de se rattraper en se plaçant dans la tradition démocratique du Sénégal.


  "Je ne ferai pas moins que (Abdou) Diouf", son prédécesseur qui l'avait appelé pour le féliciter lors de sa première élection triomphale en 2000, n'avait cessé de marteler durant la campagne électorale le président Wade.


  Promesse tenue: trois heures et demi après la fermeture des bureaux de vote, il a appelé dimanche soir M. Sall pour le "féliciter" de sa victoire au second tour de la présidentielle et lui souhaiter "bonne chance afin qu'il réussisse sa mission à la tête du Sénégal".


  En téléphonant à Macky Sall, le président Wade "a respecté sa parole, son engagement devant le peuple", écrit le quotidien pro-gouvernemental Le Soleil.


  Pour Diouma Diakhaté, candidate battue au premier tour le 26 février, "Wade pouvait attendre ou même contester les premières tendances, afin d'attiser la tension pour brûler le pays parce que les gens s'attendaient à ce cas de figure".


  Elle salue en conséquence "la grandeur" de M. Wade qui a "pris de court tout le monde".
  Ce coup de fil du vaincu au vainqueur conforte l'image du Sénégal comme modèle démocratique en Afrique, un continent plus habitué aux transitions dynastiques, aux fraudes électorales et aux coups d'Etat, comme en témoigne celui qui a renversé le 22 mars le président malien Amadou Toumani Touré.
  Mais, relativise l'écrivain Mody Niang, Wade "n'avait pas d'autre choix que de l'appeler, tellement la victoire est écrasante", alors des chiffres non officiels donnent Macky Sall gagnant avec au moins 60% des voix.

  "Il a raté le coche"

  "C'est bien que Wade ait félicité Macky Sall. Ca le grandit et ça grandit la démocratie sénégalaise mais en réalité, il sort par la petite porte. La majorité du peuple a dit qu'il ne lui fait plus confiance", estime Alioune Tine, coordonnateur du Mouvement du 23 juin (M23).  "C'est la première fois qu'un président sort avec un tel score", note-t-il.


  Le M23, coalition de l'opposition et de la société civile, est à l'origine des manifestations contre la nouvelle candidature de Wade à la présidentielle, jugée anti-constitutionelle après deux mandats: durement réprimées par les forces de l'ordre, elle ont fait de six à quinze morts, au moins 150 blessés.


  M. Wade avait été élu une première fois en 2000 pour sept ans et réélu en 2007 pour cinq ans après une modification constitutionnelle. Après avoir déclaré en 2007 ne pouvoir se présenter car il avait "bloqué le nombre de mandats à deux", il s'était dédit en annonçant sa candidature dès septembre 2009.


  Le mouvement "Y en marre", formé de jeunes rappeurs et en pointe contre la candidature de Wade, avait composé une chanson intitulée "Faux! Pas forcé", un jeu de mots pour appeler M. Wade à éviter de "forcer" pour être candidat, "un faux pas" qui ferait trébucher le Sénégal.


  Les Etats-unis avaient appelé Wade à renoncer à un troisième mandat, synonyme de "danger pour la paix et la stabilité" au Sénégal et la France, ex-puissance coloniale et principal partenaire économique du pays, s'était prononcée pour "un passage des générations".


  "On pouvait bien se passer de ces morts si Wade avait fait montre de sagesse et savoir qu'à 85 ans (officiellement), il n'est pas raisonnable de solliciter un mandat de sept ans", fait remarquer Mody Niang qui ajoute: "il a raté le coche, sortir par la grande porte n'est plus possible".

   

  

LA PRESSE SENEGALAISE SALUE UNE VICTOIRE DE LA DEMOCRATIE 

  

  

 L'ensemble de la presse sénégalaise saluait unanimement lundi la victoire de l'opposant Macky Sall à l'élection présidentielle comme une "victoire du peuple" et de la démocratie dont pouvait s'ennorgueillir le Sénégal.


  "Chapeau mon peuple!", résume l'éditorial du Quotidien (privé), pour qui la défaite du président sortant Abdoulaye Wade "s'est muée en une victoire du peuple et de la démocratie sénégalaise".


  Même teneur d'autres titres de la presse privée: "Quel peuple!", salue ainsi Le Pop, tandis que Sud Quotidien, pour qui le "Sénégal a gagné"


dimanche, se félicite d'une "victoire de la démocratie et de la maturité".
  "Le scrutin a mis aux prises deux hommes, mais on peut dire en définitive que c'est son vaillant peuple qui en a été le principal gagnant", estime Le Soleil (gouvernemental).


  "Après 2000, l'année ou M. Wade avait pris le dessus sur Abdou Diouf pour une première alternance politique que le monde entier avait magnifiée, le Sénégal renoue avec une deuxième alternance, survenue dans le calme, la sérénité, la transparence", ajoute le quotidien.


  "Le pays de Léopold Sédar Senghor vient encore une fois d'administrer une belle leçon de démocratie à l'Afrique et au monde", souligne Le Soleil dans son éditorial.


  En téléphonant dès dimanche soir à son adversaire Macky Sall pour le féliciter de sa victoire, le président Wade "a respecté sa parole, son engagement devant le peuple", ajoute le journal.


  Le dirigeant sortant a répété le geste qu'avait eu son prédécesseur Abdou Diouf à son égard en 2000, rappelle Walfadjiri (privé), qui titre en Une "Wade battu par KO!", et estime lui aussi que le "peuple sénégalais vient de vivre encore une étape qui le grandit dans l'histoire, (...) c'est une victoire du peuple, tout court".


  "Quelle mouche a donc piqué Me Wade pour qu'il respecte sa dernière promesse faite au peuple sénégalais, à savoir qu'il se plierait au verdict des urnes en cas de défaite?", s'interroge pour sa part l'Enquête (privé), qui affiche en Une le titre "Wade terminus!".


  Le journal se dit "surpris de la rapidité avec laquelle Wade a pris le combiné du téléphone, sans même attendre que les résultats soient validés" au niveau des départements.


  "Le pouvoir en place aurait pu risquer des prolongations" si la différence n'était que de deux ou trois points entre les deux adversaires. "Mais l'écart est énorme", observe le quotidien, concluant lui aussi que "c'est finalement, et bien heureusement, le peuple sénégalais qui en sort grandi".


  "Sans grande surprise, le scrutin a tourné à l'avantage" de Macky Sall, constate Le Pop. L'ex-Premier ministre de Wade devenu son farouche opposant "a bénéficié du report de voix des militants et sympathisants de ses nombreux alliés, dont les 12 malheureux candidats du premier tour" et il "n'a fait qu'une bouchée de son ancien mentor".


  "Nous avons échappé à une crise politique majeure", et peut-être "à des désordres sanglants", toujours selon Le Pop, pour qui les Sénégalais ont "réussi, par le jeu des urnes, à contraindre (le président Wade) à ce coup de fil, sans originalité, mais libérateur".


  "Le peuple y croit et a signé hier avec le nouveau président un bail de de confiance. Le pari peut être gagné et doit l'être", veut croire Le Soleil.


  Mais l'état de gâce de Macky Sall "sera de courte durée", reconnaît d'ores et déjà Walfadjiri, qui souligne le "challenge" qui attend le nouvel élu.

 

  

  LE NOUVEAU PRESIDENT Macky SALL DOIT REPONDRE A D'IMMENSES ATTENTES

  

 

 Passée l'euphorie de la victoire, le nouveau président sénégalais Macky Sall, tombeur d'Abdoulaye Wade, va devoir dès lundi se préparer à répondre aux immenses attentes de ses compatriotes vivant pour la plupart dans la pauvreté et à celles des politiques qui l'ont soutenu.


  Prévisible, la victoire de Macky Sall, 50 ans, et sa reconnaissance quasi-immédiate par son ancien "maître" Abdoulaye Wade, 85 ans et au pouvoir depuis 12 ans, a représenté un immense soulagement au Sénégal après des violences meurières en février liées à la nouvelle candidature du président sortant.


  La reconnaissance très rapide par le président Wade de sa défaite, avant même la publication des premiers résultats officiels, a surpris: elle ne fait qu'illustrer son ampleur, les premières estimations officieuses donnant environ 70% des voix à Macky Sall.

  
  La victoire a été célébrée comme il se doit dans la nuit par des milliers de Dakarois en liesse, criant leur joie, dansant et chantant au son des djembés (tam-tam) et du mbalax, la musique la plus populaire du Sénégal, poussée à fond.


  Elle a été saluée à l'étranger, en particulier en France, ex-puissance coloniale et principal partenaire économique du pays, par le président Nicolas Sarkozy qui a parlé d'une "très bonne nouvelle pour l'Afrique en général et pour le Sénégal en particulier".
  Pour l'Union africaine (UA) également, l'élection sénégalaise a fait "honneur non seulement (au Sénégal) mais au continent (africain) tout entier".


  L'ensemble de la presse sénégalaise, unanime, saluait aussi l'élection de Sall comme une "victoire du peuple" et de la démocratie.
  Une victoire de la démocratie d'autant plus remarquable et encensée dans cette partie troublée de l'Afrique, qu'elle est intervenue quatre jours après un coup d'Etat militaire au Mali voisin ayant renversé le régime du président Amadou Toumani Touré avant une présidentielle qui y était aussi prévue le 29 avril.
  Dans sa première déclaration publiqué après son succès, Macky Sall a d'ores-et-déjà souligné que "l'ampleur de cette victoire aux allures de plébiscite exprime l'immensité des attentes de la population, j'en prends toute la mesure. Ensemble, nous allons nous atteler au travail".

  "Plusieurs urgences"

  "Les Sénégalais nous attendent sur des dossiers très concrets", a déclaré pour sa part Chekh Tidiane Gadio, ancien ministre des Affaires étrangères d'Abdoulaye Wade et candidat éliminé au premier tour du 26 février qui, comme tous les autres, avait appelé à voter Sall.
  M. Gadio a cité le coût de la vie, le prix du carburant, les inondations dans les banlieues de Dakar, les coupres d'électricité, l'emploi de jeunes.


  Dans un entretien accordé à l'AFP à la veille de son élection, M. Sall, plusieurs fois ministre, puis Premier ministre de Wade, avait indiqué avoir "plusieurs urgences", dont la "situation dramatique des finances publiques" et "le règlement de la situation alimentaire préoccupante de plus de 800.000 Sénégalais" menacés de famine dans le nord du pays à cause de la sécheresse.


  Face à la pauvreté qui frappe une majorité des treize millions de Sénégalais sans emploi stable et dont beaucoup préfèrent partir clandestinement vers l'Europe, parfois au péril de leur vie sur des pirogues de fortnue, une autre de ses priorités est de baisser les prix des denrées alimentaires de base.

  Il entend pour y parvenir revoir "très rapidement la gouvernance" pour "qu'on allège le fonctionnement de l'Etat", en réduisant en particulier les représentations diplomatiques du Sénégal et en baissant de moitié environ le nombre de ministres qui sont actuellement une quarantaine.


  Cette dernière mesure ne sera pas tâche facile: Macky Sall a bénéficié du soutien unanime des douze candidats éliminés au premier tour qu'il va falloir récompenser d'une manière ou d'une autre, en particulier les deux "poids lourds" de l'opposition Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng qui avaient cumulé à eux deux plus de 24% des voix au premier tour.

   

 L' élève a dépassé le maître, le peuple sénégalais a fait le choix de la raison mais pas du coeur 

 

Dakar, Cheriff FALL pour la Voix du Peuple.

      

 «Un dictateur n'a pas de concurrent à sa taille tant que le peulpe ne relève pas le défi » 

 

Pour une République Juste & Démocratique, Vous trompez le Peuple Nous dénonçons

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Nous avons tous  été confrontés un jour ou l’autre à un fait  choquant qui nécessitait d’être révélé à la face du monde.

Mais  désavantagés par l’absence de moyens de nous exprimer, nous avons fini par abandonner. Or, pesant

soigneusement les mots et en cherchant à trouver la bonne formule, il est possible de régler la majeure partie des

problèmes qui nous rongent.

La voix du peuple est cet espace qui nous faisait défaut. Elle a pour ambition l’information du  grand nombre dans la

dénonciation sans appel de toute dérive de nos responsables politiques congolais, tout bord confondu,  qui poseraient

des actes qui opposent le « mal au bien » du peuple congolais à travers des actions telles :

           -des abus de tout genre ;

           -des injustices vis-à-vis des plus faibles ;

           -des scandales économiques, politiques, judiciaires…

La voix du peuple a aussi pour mission, l’assistance des « sans voix » dans la publication de leurs opinions.

La voix du peuple est pour nous tous donc une arme qui nous permet de nous soulager de nos douleurs longtemps

comprimées, et aussi de faire respecter les droits que nous défendons. Désormais, nous parviendrons,  grâce  à elle, à

atteindre dans leurs tanières, leurs châteaux, leurs bunkers, leurs tours…, les intouchables, les protégés, les

invulnérables.

Enfin, se voulant porteuse des valeurs de vérité, de justice, de paix, de la morale, de la vertu et de l’unité de tous les

enfants du Congo du nord au sud, de l’ouest à l’est, la voix du peuple s’insurge, dans l’impartialité, contre des

agissements s’apparentant à de la propagande, au dénigrement matérialisés par :

           -des propos indélicats ; 

           -du culte de la division ;

           -des accusations affamantes ;

           -des observations désobligeantes ;

           -des contre vérités…

Aussi, au regard de ce qui précède, un article des « sans voix » qui ne respecterait point les dites prescriptions, sera

purement et simplement écarté.

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