L'ETAT CONGOLAIS TRANSGRESSE LE DROIT FRANÇAIS
LU POUR VOUS
LA CHASSE A L'HOMME SUR LE TERRITOIRE FRANCAIS
L'Etat terroriste du Congo-Brazzaville lance ses tueurs en France...
L'Etat terroriste du Congo-Brazzaville lance ses tueurs protégés par son Ambassade en France. La liste publiée dans le document ci-dessous est l'oeuvre des Services de l'Ambassade avec la complicité des Services des Préfectures de l'Etat français. Mais la France doit savoir, et elle est mieux placée que nous pour savoir que le régime de Brazzaville est un Etat terroriste. Les Combattants et Résistants Congolais cités dans la liste par les Tueurs à gage au service du régime dictatorial affectés en France pour ce faire, sont des Congolais qui luttent, dénoncent et se battent contre la dictature de Sassou pour faire changer les choses au Congo. Les services de l'Ambassade de M. ADADA demandent à la France d'expulser et/ou de lui livrer les combattants et résistants pour les assassiner. La France connaît très bien la nature criminelle de l'Etat congolais incarné par le pouvoir clanique des Sassou & Nguesso. Il n'y a pas besoin de dessin.
Si les Services français ne sont pas complices, comment les Tueurs de l'Ambassade du Congo en France ont-ils eu les informations concernant les personnes citées dans cette liste ? La France a le devoir et la responsabilité de protéger les personnes citées contre les Tueurs de Sassou et Adada en France. PRECISION : Il faut noter que le Cardinal Emile Biayenda, cité en référence à la fin du document, fut assassiné par SASSOU NGUESSO le 22 mars 1977 peu après l'assassinat du président Marien Gouabi par le même Sassou Nguesso. Et les Tueurs de Sassou en France voudraient comparer le Cardinal Biayenda à Mahomet. Ils assimilent donc la religion catholique à l'islamisme intolérant.
LA FRANCE EST INVITÉE A CHASSER DE SON TERRITOIRE TOUS LES TERRORISTES CONGOLAIS
Ce n’est pas du fait d’avoir échoué en occident et de vivre une vie d’indigence et de misère qu’on doit systématiquement cultiver une haine viscérale contre ceux qui réussissent ou ceux qui ont su tirer profit de leur intelligence ou de leur talent. Tout le monde n’est pas né pour briller. Mais, le travail et l’abnégation sont la seule force certaine qui peut faire de nous de parfaits modèles de succès. Ce n’est pas non plus parce qu’on fustige des manquements dans la gestion du patrimoine national ou l’on adhère moins ou pas du tout à la politique du parti au pouvoir que l’on doit nécessairement invectiver et agresser physiquement les hommes politiques au pouvoir ou les citoyens qui ont fait le choix de travailler au pays. Le combat politique est un combat d’idées et de visions. Il se livre sur le terrain. Mais ceux qui ont choisi la voie de la haine, de la jalousie, de la division et de l’illégalité feront face à la fureur de la justice.
Nous interpellons ainsi la France, pays qui a généreusement offert son hospitalité à ces groupuscules, et l’invitons à les assujettir aux règles du droit international et de la coopération bilatérale avec le Congo. Depuis quelques temps, certains congolais (ayant raté leur vie) résidant en France et détenteurs de titre de séjour menacent publiquement de mort leurs compatriotes à cause de leur appartenance politique. Ils agressent physiquement d’autres.
À plusieurs reprises ils ont mis le feu à l’ambassade du Congo dans le but prioritaire de tuer le plus de diplomates possible. La police française n’a pris aucune disposition sécuritaire opérante pour protéger ce patrimoine. Rappelons qu’il y’a peu, les intérêts de ce pays ami ont fait l’objet de sérieuses menaces d’attentat à Brazzaville. N’eut été la promptitude de la police congolaise, le pire serait sans doute arrivé. L’article 59 de la convention de Vienne stipule « l’Etat de résidence prend les mesures nécessaires pour protéger les locaux consulaires d’un poste consulaire dirigé par un fonctionnaire consulaire honoraire et empêcher qu’ils ne soient envahis ou endommagés et que la paix du poste consulaire ne soit troublée ou sa dignité amoindrie ».
Il est donc de la responsabilité de la France de protéger les bâtiments consulaires et les diplomates qui sont sur son sol. Dans leur panel d’agressions, les intérêts français ne sont pas épargnés. En effet, quelques cadres de Total Congo ont été roués de coups au motif qu’ils travaillent dans une société qui exercent ses activités en République du Congo.
Ce patchwork d’actes délictuels peut être légitimement qualifié de terrorisme. Ces terroristes congolais ont élu domicile en République française pour concevoir, planifier et commettre des attentats contre les Congolais et les intérêts du Congo en France. Ce pays attend donc qu’un congolais en mission de service ou en tourisme soit exécuté par ces groupuscules pour réagir ? Il est unanimement reconnu que c’est en partie à cause du laxisme des forces de sécurité françaises que les vies de nombreux individus ont été brutalement rompues dans les attentats terroristes. Le 26 juillet 2016 un prêtre est lâchement tué dans une église de Saint-Etiennedu-Rouvray par deux terroristes, dont l’un, adel Kermiche, était bien connu des services antiterroristes.
Le 14 juillet 2016 à Nice, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel fauche à mort 84 personnes. Le 1 octobre 2017, un homme, fichier S, assassine deux jeunes filles à Marseille. Aucun esprit censé ne peut approuver la barbarie de ces criminels et leur manie d’instiller et de répandre la peur dans la société. Les Congolais réprouvent ces pratiques inhumaines et n’aspirent simplement qu’à une vie de quiétude. Ils doivent être en sécurité partout où ils se rendent, comme le stipule l’article 12 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques « Quiconque se trouve légalement sur le territoire d’un Etat à le droit d’y circuler librement et d’y choisir librement sa résidence ». Cette liberté est de plus en plus menacée par des terroristes. Pour cette raison, Brazzaville Infos 242 appelle une réaction préventive de la France.
Nous demandons aux forces de l’ordre françaises d’arrêter et d’expulser ces groupuscules de terroristes vers leur pays d’origine, le Congo en particulier. Ils ne sont pas Français et ne sont détenteurs que de titre de séjour. Ils sont par conséquent citoyen congolais à part entière. Le non-respect de la loi exige leur reconduction à la frontière.
Au Canada, les mouvements similaires, notamment ceux initiés par des Congolais pour agresser leurs compatriotes, ont rapidement été anéanti par la police. Dans ce pays, les crimes d’agression commis par des étrangers entrainent quasi simultanément l’expulsion du criminel. C’est ce que nous attendons de la France. Nous saluons le député Féreold Ngassaki pour avoir su interpeller le premier ministre sur cette problématique. Voici un échantillon de ces terroristes vivant en France :